
http://www.amazon.fr/o/ASIN/B000024UM7/ ... d_i=405320
Dédé,dédé46 a écrit :Syber,
http://www4.fnac.com/Shelf/article.aspx ... 333A9&Fr=3
A priori, ils l'ont.
Il est excellent.
dédé
helvet a écrit : La première impression, c'est que je me demande ce qui se passe avec les partitions, les doubles barres de reprises, parceque comment est-il possible de passer de 19'30 à 11'30 pour le même mouvement du plus long au plus court.
Je n'ai pas de réponse sur le phénomène parce que je n'ai pas les partitions.
J'ai déjà noté celà (en tant que novice) sans avoir de réponse, à propos de la 9° de Dvorak, dont je possède plusieurs interprétations. Est-ce que les indications de rythmes sur les partitions correspondent vraiment à une cadence précise ? Je ne crois pas. Celà laisserait une marge de manoeuvre, une latitude au chef d'orchestre ? Comment savoir le réel rythme voulu par le compositeur ? Y a t-il eu des études à ce sujet ?
Par contre, j'ai des documents livresques d'analyses spécialisées et spécifques qui mentionnent que le nombre de mesures est relativement proche, au point qu'on peut conclure que chaque mouvement du 1 au 4 sur cette 9ème devrait faire environ 15 à 16'.
Tu veux parler d'un nombre de mesure équivalent pour les 4 mouvements de la symphonie ? Mais deux mesures différentes comportant le même nombre de notes peuvent être jouées plus ou moins rapidement, me semble t-il. Est-ce alors une bonne indication de ce que les quatre mouvements de la 9° de Beethoven devraient être de longueur proche ?
Personnellement je dirais que la musique de Beethoven doit être jouée (euh... je préfèrerais...) dans une battue et une scansion "organique", elle doit être ressentie dans les rhytmes du vivant, la marche normale ou méditative, les battements du coeur de 55 à 75, ainsi que de la respiration diurne ou du bercement en binaire ou nocturne en ternaire.
Ca me parle. Celà correspond bien à l'idée que je me fais de la 9°. Toutefois que veux-tu dire par "bercement en binaire" ou "nocturne en ternaire".
J'ai conscience que la musique peut aussi être autre chose que ces approches complexes, mais alors on peut se contenter du Top 50.
La difficulté est que je n'arrive pas vraiment à me mettre dans un état réceptif tel que je ressente vraiment les émotions véhiculées par les symphonies. J'ai beaucoup plus de facilité d'accès avec des pièces plus courtes. Question de maturité musicale, sans doute. Mais ça viendra. Et il est vrai que celà restreint nos échanges, malheureusement.