Bonsoir à tous,
Aujourd'hui, retour sur Gustav MAHLER, personnage assez compliqué, révant de simplicité.
Seulement, en difficulté avec son époque et la société, sa famille lui pose des problèmes, ses attributions professionnelles aussi, son appartenance religieuse en plus, et pour clore le tout, sa santé !
Dans ces conditions il n'est pas étonnant qu'il se mette à rever d'un monde idéal.
Donc j'ai réécouté le 1er Mvt de la 3ème symphonie monstre de 33' pour une symphonie de 1 h 35'
Ce premier mouvement est intitulé, "ce que me content les rochers", titre final, parce que auparavant il avait tenté d'autres titres comme "l'arrivée de l'été ; l'éveil de Pan ; le cortège de Bacchus."
Musique des ténèbres et du chaos, tellurique et magmatique, ce premier mouvement est d'une longueur extrème et révolutionne le genre symphonique...
Tenter de le comprendre est incontournable, parce qu'il rassemble sur sa personne tellement de gens qui ont eux aussi des difficultés de cette nature et de voir comment il transcende ses problèmes dans l'art et la beauté, qu'il se mérite qu'on y aille de notre oreille.
Cependant c'est du mouvement lent que tout le monde à l'époque se soucie, "le plus beau Mvt lent depuis Beethoven" disent-ils...
Il est indéniable, patent que le talent de MAHLER pour les mouvements lents est saisissant, tous, je dis bien tout ses mouvements lents méritent de figurer au Panthéon de la musique, tout genre confondu.
Quelqu'un qui ne vibrerait pas a cette musique là, est mis en demeure de s'expliquer... sur le champ !
Le Wienner Philarmonique est superbe, Boulez aux commandes semble bien rentrer dans cette musique difficile et complexe, et ils réussisent à nous plonger dans une écoute concentrée.
La musique de Mahler a sa place dans des CD de démonstration, et si vous l'écoutez un peu fort, le grand orchestre utilisé dans tous ses registres, vous décoiffent à coup sur, prévenez vos voisins !
Encore une fois bien bavard....
Cordialement
Helvet...
Ecoutes du jour, 2006 - 2007 - 2008
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Sergail
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- Localisation : VITRE dans le Trois Cinq en Bretagne, yoh !
Ce soir, un p'tit live de Scorpion (souvenirs souvenirs) unplugged :
http://www.amazon.fr/Acoustica-Scorpions/dp/B00005J79H
Un très bon album pour découvrir ou redécouvrir que sous les riffles et la pêche, il y a de bien belles balades et la superbe voix de Klaus Meine...
Quand les Hardos font dans les cordes et la dentelle, c'est généralement très beau...
Surprenant album à découvrir.
http://www.amazon.fr/Acoustica-Scorpions/dp/B00005J79H
Un très bon album pour découvrir ou redécouvrir que sous les riffles et la pêche, il y a de bien belles balades et la superbe voix de Klaus Meine...
Quand les Hardos font dans les cordes et la dentelle, c'est généralement très beau...
Surprenant album à découvrir.
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alain
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- Localisation : Angevin d'origine
le frere de Shenker (pas sûr de l'ortographe ) jouait dans un groupe UFO quelqu'un se souviendrait-il d'eux? D'après ce que je me souviens ( ma mémoire me fait défaut à mon âge ) ce n'était pas mal du tout.
Un autre groupe que l'on entend plus parler depuis cette époque CAMEL ( pas les cigarettes bien sûr
)
ALAIN.
Un autre groupe que l'on entend plus parler depuis cette époque CAMEL ( pas les cigarettes bien sûr
)ALAIN.
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Sergail
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- Localisation : VITRE dans le Trois Cinq en Bretagne, yoh !
Michael et Rudolf Schenker :
http://fr.wikipedia.org/wiki/Rudolf_Schenker
p://fr.wikipedia.org/wiki/Michael_Schenker
Rudolf est toujours resté avec Scorpion alors que Michael a fondé son propre groupe : MSG, Michael Schenker Group
MSG existe toujours, sous des formes différentes avec un turn over important par rapport au groupe de base... Mais la patate est toujours là, Rock will never die !
UFO existe toujours : http://fr.wikipedia.org/wiki/UFO_%28groupe%29
http://fr.wikipedia.org/wiki/Rudolf_Schenker
p://fr.wikipedia.org/wiki/Michael_Schenker
Rudolf est toujours resté avec Scorpion alors que Michael a fondé son propre groupe : MSG, Michael Schenker Group
MSG existe toujours, sous des formes différentes avec un turn over important par rapport au groupe de base... Mais la patate est toujours là, Rock will never die !
UFO existe toujours : http://fr.wikipedia.org/wiki/UFO_%28groupe%29
Modifié en dernier par Sergail le ven. 01 juin 2007 19:44, modifié 1 fois.
Bonsoir à tous,
Je poursuis mon écoute de Gustav MAHLER avec la 4ème.
Plus courte, mais plus dense polyphoniquement, l'exploitation thématique est prodigieuse.
Il faut travailler dur de ses oreilles pour "attraper au vol" les déformations de telle portion de thème pour sa mutation en un autre, soit transposé sur un autre mode, soit de croches en noires, voire en blanches.
Le résultat en est que le tissu contrapunctique et polyphonique est vraiment très serré. Malgré tout on voit très bien la présence du thème initial dans chacun des 4 mouvements.
Est-ce par une déformation de mon écoute que j'entends encore des citations du fameux thème beethovénien de la 5ème à plusieurs reprises....
Peut-être n'est-ce pas forcément étonnant, cette quatrieme est la plus
"viennoise" des symphonies de Mahler et en même temps l'expression de la certitude que c'est en retrouvant l'innocence de l'enfance que l'on accède au paradis céleste.
Ce qui est une manière, somme toute, bien que différente de parler encore de destin ?
Voila donc l'essentiel "programme" de cette 4ème.
Encore une fois c'est vraiment d'une grande beauté, le mouvement lent est tout aussi exceptionnel que les autres, le sourire à travers les larmes...
Arrivé à ce point je me demande s'il ne faut pas s'arreter de parler de MAHLER, je vais finir, si ce n'est déjà fait, par me répeter.
Je ne saurais vous conseiller plus de vous atteler à l'écoute de ce compositeur, quelquefois, souvent même, plutot difficile mais avec des beautés hors normes, tout autant.
Il faut se le mettre dans l'oreille.
Quant à moi je vais poursuivre vers ses compositions plus dramatiques, parce que la vie ne l'épargne pas, mais il nous propose chaque fois ; et en cela il diffère beaucoup de Beethoven ; une forme de réponse-consolation par le lyrisme d'un rève de vie celeste, et même si l'on y croit pas, c'est d'une telle beauté que l'on va mieux, comme lui !
Tandis que Beethoven ne se réfugie nulle part, il affronte coute que coute par son mental, même s'il est en lambeaux....
Pour les deux, et par leur chemin respectif, ils accèdent a la beauté, au sublime, et a l'universel.
Je vous en parlerais bien sur, mais peut-être faut-il surtout y aller voir soi-même ?
A ce propos, je crois que certains sont allés voir du coté de Furtwangler et Beethoven, voila déjà une semaine, qu'en est-il ?!
Bien cordialement
Helvet...
Je poursuis mon écoute de Gustav MAHLER avec la 4ème.
Plus courte, mais plus dense polyphoniquement, l'exploitation thématique est prodigieuse.
Il faut travailler dur de ses oreilles pour "attraper au vol" les déformations de telle portion de thème pour sa mutation en un autre, soit transposé sur un autre mode, soit de croches en noires, voire en blanches.
Le résultat en est que le tissu contrapunctique et polyphonique est vraiment très serré. Malgré tout on voit très bien la présence du thème initial dans chacun des 4 mouvements.
Est-ce par une déformation de mon écoute que j'entends encore des citations du fameux thème beethovénien de la 5ème à plusieurs reprises....
Peut-être n'est-ce pas forcément étonnant, cette quatrieme est la plus
"viennoise" des symphonies de Mahler et en même temps l'expression de la certitude que c'est en retrouvant l'innocence de l'enfance que l'on accède au paradis céleste.
Ce qui est une manière, somme toute, bien que différente de parler encore de destin ?
Voila donc l'essentiel "programme" de cette 4ème.
Encore une fois c'est vraiment d'une grande beauté, le mouvement lent est tout aussi exceptionnel que les autres, le sourire à travers les larmes...
Arrivé à ce point je me demande s'il ne faut pas s'arreter de parler de MAHLER, je vais finir, si ce n'est déjà fait, par me répeter.
Je ne saurais vous conseiller plus de vous atteler à l'écoute de ce compositeur, quelquefois, souvent même, plutot difficile mais avec des beautés hors normes, tout autant.
Il faut se le mettre dans l'oreille.
Quant à moi je vais poursuivre vers ses compositions plus dramatiques, parce que la vie ne l'épargne pas, mais il nous propose chaque fois ; et en cela il diffère beaucoup de Beethoven ; une forme de réponse-consolation par le lyrisme d'un rève de vie celeste, et même si l'on y croit pas, c'est d'une telle beauté que l'on va mieux, comme lui !
Tandis que Beethoven ne se réfugie nulle part, il affronte coute que coute par son mental, même s'il est en lambeaux....
Pour les deux, et par leur chemin respectif, ils accèdent a la beauté, au sublime, et a l'universel.
Je vous en parlerais bien sur, mais peut-être faut-il surtout y aller voir soi-même ?
A ce propos, je crois que certains sont allés voir du coté de Furtwangler et Beethoven, voila déjà une semaine, qu'en est-il ?!
Bien cordialement
Helvet...
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syber
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- Enregistré le : jeu. 14 sept. 2006 18:46
- Localisation : Hauts de Seine
Par le plus grand des hasard, j'ai écouté aujourd'hui :
http://www.amazon.fr/exec/obidos/ASIN/B ... /ref=nosim
Euh
... 
beuh ... 
... ben ...
Moi aussi j'aime bien ! 
http://www.amazon.fr/exec/obidos/ASIN/B ... /ref=nosim
Euh
... beuh ... ... ben ... Moi aussi j'aime bien ! Syber,
Je ne connais pas l'interprétation de Reiner et chicago, cependant la qualité technique doit etre bien bonne avec cette collection.
Sur ce sujet tu peux nous en dire plus ?
Je suis par ailleurs bien persuadé que ton oreille si elle est exercée, comme je le crois a entendre la multiplicité des idées dans le jazz, tu dois alors pouvoir le faire dans le classique.
Remarque qu'il est probable que ce n'est pas pour rien que l'image de couverture est un angelot...si l'on considère que cette symphonie est la recherche d'un refuge dans une "innocente félicité celeste" !...contre ce monde douloureux...au moins pour Mahler ?
C'est dommage si tu ne l'entends pas quand même, mais bon tu dis que cela te plait, c'est déjà bien, tu es allé au bout ? si oui, c'est encore mieux et encourageant.
Pour moi c'est la version de Chailly - Amsterdam et Boulez - Cleveland et Bernstein - Vienne. Les trois sont sublimes.
Bien à toi
Helvet...
Je ne connais pas l'interprétation de Reiner et chicago, cependant la qualité technique doit etre bien bonne avec cette collection.
Sur ce sujet tu peux nous en dire plus ?
Je suis par ailleurs bien persuadé que ton oreille si elle est exercée, comme je le crois a entendre la multiplicité des idées dans le jazz, tu dois alors pouvoir le faire dans le classique.
Remarque qu'il est probable que ce n'est pas pour rien que l'image de couverture est un angelot...si l'on considère que cette symphonie est la recherche d'un refuge dans une "innocente félicité celeste" !...contre ce monde douloureux...au moins pour Mahler ?
C'est dommage si tu ne l'entends pas quand même, mais bon tu dis que cela te plait, c'est déjà bien, tu es allé au bout ? si oui, c'est encore mieux et encourageant.
Pour moi c'est la version de Chailly - Amsterdam et Boulez - Cleveland et Bernstein - Vienne. Les trois sont sublimes.
Bien à toi
Helvet...
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syber
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- Localisation : Hauts de Seine
Irrésistible et hautement recommandable ! 
Curtis Mayfield
http://www.amazon.fr/Curtis-Mayfield/dp ... 038&sr=8-1
Curtis Mayfield
http://www.amazon.fr/Curtis-Mayfield/dp ... 038&sr=8-1
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syber
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- Enregistré le : jeu. 14 sept. 2006 18:46
- Localisation : Hauts de Seine
Et comme je suis de bonne humeur aujourd'hui, un deuxième disque - de jazz, cette fois - également hautement recommandable !
http://www.amazon.fr/Blues-Abstract-Tru ... 924&sr=1-2
http://www.amazon.fr/Blues-Abstract-Tru ... 924&sr=1-2
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Sergail
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- Localisation : VITRE dans le Trois Cinq en Bretagne, yoh !
MIOSSEC - BOIRE
(c'est de circonstance sur ce forum semble-t-il, mais bon je ne veux me fâcher avec personne, surtout pas Walt, passqui parait que bon, ça le regarde, mais y devrait pas se mettre dans ces états, mais bon ce que j'en dis moi... )
http://www.amazon.fr/Boire-Miossec/dp/B00000868Q
Un certain renouveau de la chanson Française...
Accompagnements minimalistes, guitare, quelques violons, la force des paroles en est renforcées... Avec quelques chansons ultra connues et non moins belles...
Excellent premier opus de Miossec.
(c'est de circonstance sur ce forum semble-t-il, mais bon je ne veux me fâcher avec personne, surtout pas Walt, passqui parait que bon, ça le regarde, mais y devrait pas se mettre dans ces états, mais bon ce que j'en dis moi... )
http://www.amazon.fr/Boire-Miossec/dp/B00000868Q
Un certain renouveau de la chanson Française...
Accompagnements minimalistes, guitare, quelques violons, la force des paroles en est renforcées... Avec quelques chansons ultra connues et non moins belles...
Excellent premier opus de Miossec.
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syber
- Intarissable
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- Enregistré le : jeu. 14 sept. 2006 18:46
- Localisation : Hauts de Seine
J'ai ré-écouté le 1° mouvement de la 9° de Beethoven par Furtwangler, puis par Karajan.
Mais de façon "détourné".
Je m'explique. Pour ma musique de prédilection, le Jazz, je ne cherche que très rarement à acheter un disque pour ses seules qualités d'enregistrement.
Parce que j'entend la musique au delà des notes jouées. La qualité vient après dans l'ordre des priorités.
C'est un peu comme un bon livre : pas besoin d'une édition de luxe pour l'apprécier. Une édition de poche suffit ... mais une belle édition ajoute au plaisir.
Je me suis fait la remarque, que pour la musique classique, à laquelle je suis moins habitué culturellement, je suis beaucoup plus sensible aux qualités d'enregistrement du disque. Sans doute parce que je n'entend pas l’essentiel de la musique et m'attache, ou me raccroche, aux détails.
Comme la version de Furtwangler présente une bien piètre qualité d’enregistrement, de façon à "niveler" les qualités d'enregistrement des deux interprétations, je les ai écouté dans une autre pièce que celle où la HiFi est située.
Le résultat est probant : l'essentiel de la musique est perçu !
... et les différences d'intention sont flagrantes.
Furtwangler fait une promenade terrienne et méditative. On suit pas à pas, ses interrogations sur les éléments.
Karajan semble se poser bien moins de question. Les éléments se résument à une tempête océane qu’il affronte et dont l’énergie le nourrit.
Deux tempéraments bien différents.
Mais de façon "détourné".
Je m'explique. Pour ma musique de prédilection, le Jazz, je ne cherche que très rarement à acheter un disque pour ses seules qualités d'enregistrement.
Parce que j'entend la musique au delà des notes jouées. La qualité vient après dans l'ordre des priorités.
C'est un peu comme un bon livre : pas besoin d'une édition de luxe pour l'apprécier. Une édition de poche suffit ... mais une belle édition ajoute au plaisir.
Je me suis fait la remarque, que pour la musique classique, à laquelle je suis moins habitué culturellement, je suis beaucoup plus sensible aux qualités d'enregistrement du disque. Sans doute parce que je n'entend pas l’essentiel de la musique et m'attache, ou me raccroche, aux détails.
Comme la version de Furtwangler présente une bien piètre qualité d’enregistrement, de façon à "niveler" les qualités d'enregistrement des deux interprétations, je les ai écouté dans une autre pièce que celle où la HiFi est située.
Le résultat est probant : l'essentiel de la musique est perçu !
... et les différences d'intention sont flagrantes.
Furtwangler fait une promenade terrienne et méditative. On suit pas à pas, ses interrogations sur les éléments.
Karajan semble se poser bien moins de question. Les éléments se résument à une tempête océane qu’il affronte et dont l’énergie le nourrit.
Deux tempéraments bien différents.
Bonsoir à tous,
Je suis en immersion dans la musique de MAHLER, pour continuer ce que je vous disais dans les précédents posts, avec la 5ème aujourd'hui, Chailly et Bernstein, les deux sont des spécialistes et je ne chercherais pas à les départager.
Le niveau d'interprétation est tel que l'une ou l'autre version convient aussi bien.
Encore une fois si vous voulez tenter d'écouter ces symphonies, prenez votre temps, il y faut une certaine accoutumance, quelques distorsions harmoniques feraient grincer bien des dents, mais dans ce cas c'est le sens qui prime, pas la beauté d'abord.
Les conditions d'écriture de cette symphonie se trouvent être plutot douloureuses, au mois de Février, il est sauvé de justesse d'un sérieux problème de santé.
On y retrouve donc a la fois un caractère funèbre et désespéré et aussi, dans le scherzo, une pensée de reconnaissance d'un convalescent qui reprend espoir.
Le mouvement lent est vraiment une réussite exceptionnelle. Comme je l'ai déjà dit, je crois qu'il fait partie des plus belles pages de musique jamais écrites.
J'aimerais bien que tous vous puissiez entendre cela et le ressentir, mais bon, bien évidement chacun ses gouts.
La musique comme langage non verbal est une évidence, mais pour l'entendre il faut s'entrainer et probablement commencer par Bach.
On ne discute pas les gouts et les couleurs, parce que c'est affaire de culture du temps et d'éducation, bien sur on peut acquérir une corde de plus à son arc.... alors travailler en s'aidant des ouvrages sur la musique.
Donc bien lourde symphonie cette 5ème de Mahler, je continuerais dans l'ordre mais j'attendrais un peu pour vous en parler d'en avoir terminer avec les "instrumentales" : 5 ; 6 ; 7 .
La 8ème "des mille" est une "messe" énorme plus de trois cents exécutants...on verra cela.
N'oubliez pas que même si ce n'est pas votre tasse de thé, certains passages peuvent servir de test ou démo de nos systèmes...
Bien cordialement
Helvet...
Je suis en immersion dans la musique de MAHLER, pour continuer ce que je vous disais dans les précédents posts, avec la 5ème aujourd'hui, Chailly et Bernstein, les deux sont des spécialistes et je ne chercherais pas à les départager.
Le niveau d'interprétation est tel que l'une ou l'autre version convient aussi bien.
Encore une fois si vous voulez tenter d'écouter ces symphonies, prenez votre temps, il y faut une certaine accoutumance, quelques distorsions harmoniques feraient grincer bien des dents, mais dans ce cas c'est le sens qui prime, pas la beauté d'abord.
Les conditions d'écriture de cette symphonie se trouvent être plutot douloureuses, au mois de Février, il est sauvé de justesse d'un sérieux problème de santé.
On y retrouve donc a la fois un caractère funèbre et désespéré et aussi, dans le scherzo, une pensée de reconnaissance d'un convalescent qui reprend espoir.
Le mouvement lent est vraiment une réussite exceptionnelle. Comme je l'ai déjà dit, je crois qu'il fait partie des plus belles pages de musique jamais écrites.
J'aimerais bien que tous vous puissiez entendre cela et le ressentir, mais bon, bien évidement chacun ses gouts.
La musique comme langage non verbal est une évidence, mais pour l'entendre il faut s'entrainer et probablement commencer par Bach.
On ne discute pas les gouts et les couleurs, parce que c'est affaire de culture du temps et d'éducation, bien sur on peut acquérir une corde de plus à son arc.... alors travailler en s'aidant des ouvrages sur la musique.
Donc bien lourde symphonie cette 5ème de Mahler, je continuerais dans l'ordre mais j'attendrais un peu pour vous en parler d'en avoir terminer avec les "instrumentales" : 5 ; 6 ; 7 .
La 8ème "des mille" est une "messe" énorme plus de trois cents exécutants...on verra cela.
N'oubliez pas que même si ce n'est pas votre tasse de thé, certains passages peuvent servir de test ou démo de nos systèmes...
Bien cordialement
Helvet...
Syber,
Tu peux t'y prendre de la manère qui te convient, l'essentiel c'est de s'y atteler, et plus ça ira plus tu entendras et c'est le principal.
Ensuite c'est ton imaginaire qui te permets de reconstituer une cohérence, si possible au plus près non pas du chef d'orchestre mais du compositeur.
Bravo
Helvet...
Tu peux t'y prendre de la manère qui te convient, l'essentiel c'est de s'y atteler, et plus ça ira plus tu entendras et c'est le principal.
Ensuite c'est ton imaginaire qui te permets de reconstituer une cohérence, si possible au plus près non pas du chef d'orchestre mais du compositeur.
Bravo
Helvet...