
Pour les appareils Cabasse, le système Sphère est en XLR entre le processeur et les amplis chez mon revendeur. Je regarderai demain si une conexion asymétrique est possible, mais je ne crois pas.
Philippe MULLER a écrit :Les apparences sont parfois trompeuses. La grande mode audiophile consiste à prendre un câble à deux conducteurs + tresse, à utiliser un des conducteurs pour la masse et à ne raccorder la tresse que d'un côté (souvent l'entrée). L'immunité contre les perturbation n'est pas suffisante. Cela ne fonctionne qu'en situation quasi parfaite en terme de pollution électromagnétique. Les câbles de modulation asymétriques qui n'utilisent qu'un seul conducteur et un blindage sont les plus efficaces. Il faut partir de là!
Une fois que vous serez assuré que les liaisons sont simples et saines, vous vous attaquerez à l'optimisation du raccordement à la terre pour éviter les boucles de masse (j'en ai encore fait l'expérience il y a deux jours avec un ampli de puissance).
Ce n'est que lorsque tout sera en ordre que vous pourrez tester des câbles "de caractère".
Pour info, les labos utilisent quasiment toujours des câbles simples (Ondo câble, par exemple, chez Cabasse-Kergonan mais ça n'existe plus), Gotham GAC1 chez B&W. Les câbles ésotériques c'est pour faire audiophile dans les salons.
Il faut dire que les marques sus-citées ne sont ou n'étaient pas vraiment des bricoleurs du dimanche qui assemblaient des électroniques sur une table en formica recouverte d'une nappe à carreau.Scytales a écrit :Ah ! !a ! la !
Le coup de la colle au pistolet pour faire tenir les gros composants ensemble au montage !
Pas très amical pour les techniciens en cas de réparation. Dans le passé, Yamaha, Onkyo, Nakamichi, Sansui et quelques autres employaient une méthode tout aussi efficace mais plus propre et qui facilitait la maintenance : des pièces en mousse ou en caoutchouc formées pour s'adapter à l'implantation des composants. C'était tout de même plus sérieux.
Ah ! La bonne vieille qualité de fabrication d'antan.