Ecoutes du jour, 2006 - 2007 - 2008
Bonsoir à tous,
Depuis quelques jours, en immersion totale dans Brahms, le concerto N° 1 pour piano, ensuite je ferais le 2 et ensuite le double concerto pour violon et orchestre...
D'abord le 1, versions en présence : Rudolph Serkin et georges Szell, Claudio Arrau et Schmidt-Isserstedt, puis Maurizio Pollini et Abbado.
Pas recu Nelson Freire et Ricardo Chailly.
Ce n'est pas très important, parceque déjà il s'agit de 3 pointures mondiales, le 4ème aussi et avec un Diapason d'or en plus donc c'est dans le niveau de performance.
J'ai bien du mal à faire une discrimination, les 3 sont vraiment superbes, tant pour l'orchestre que pour les pianistes, du grand art total et absolu...seulement une différence de vitesse le plus lent Arrau avec 49'06 et le plus rapide Pollini avec 44'37, tandis que Serkin est à 46'35
L'introduction, environ 3'30 est égale pour chacun à peu près, je trouve que c'est une bonne idée parcequ'elle sert de piedestal au piano, en même temps qu'elle pose le sujet de dissertation !!!
Connaissant les modes de constructions issus des modes de pensées connus de Brahms (Si tant est que cela soit possible, mais faisons comme si puisque les historiens s'accordent a penser que...)
Je dirais que ce premier mouvement peut s'interpreter comme l'état dans lequel Brahms trouve le monde ou la vie et que cela ne lui plait pas plus que cela l'espace psychologique, social, culturel dans lequel il vit ne lui va pas très bien, il sait aussi qu'il est au bout d'une branche de l'évolution des idées ou de la musique ou des deux, il sait qu'il est le dernier représentant de cette écriture "classique".
Je mets des guillemets, parceque en fait c'est un vrai romantique dans ses ressentis, mais dans ses expressions il veut faire tenir son romantisme dans le discours classique et cela c'est pas facile, et cela s'entend !!!
Donc 1er mouvement état des lieux, et c'est vivant et cela débat avec véhémence, avec violence, même si le ton reste controlé.
Un petit indice qui me fait penser qu'il s'agit la d'une prise de col avec le destin, c'est qu'il fait entrer dans tout l'orchestre (comme également dans le concerto pour violon) le thème très cher et très connu de la 5ème de Beethoven, les fameux 4 coups du destin...et jusque dans la coda de ce 1er Mvt, on le retrouve. Et il est impossible que cela échappe à Brahms, je dirais même qu'il le fait exprès...
Le 2ème mouvement, adagio, est seulement un moment de repos, mais rien ne se règle, pas de résolution, on se repose, dans la nature si possible, mais surtout dans son esprit... pas d'échapatoire joyeuse, rien, concentration, repos et cela repart...pas de prière, pas de pleurs, pas de plainte lyrique. Ce qui est est et il faut faire avec....
Le 3ème mouvement la discorde reprend, pied à pied, là ou dans le concerto pour violon, il semblait retrouver le monde des hommes et faire la fète, là on sent bien que le coeur n'y est pas, même s'il essaie timidement, cela ne démarre pas, décidement...
Ce n'est pas vraiment triste, pas vraiment dramatique, une forme d'acceptation sur ce qui est et contre lequel on ne peut pas grand chose..
Quelques beautés, mais pas plus lyrique que cela... c'est du débat intellectuel pur et dur...il ne donne pas de solution pour ceux qui seraient dans les mêmes modes de pensées que lui. Il expose, il débat, il prend à témoin, mais il avance tout seul !!! point barre !!!
Voilà ce que je trouve a penser de ce travail musical tout de même très conséquent, dense, et parfait dans sa forme sonate : exposition, reexposition, développement, coda.
Je verrais la progression, parceque ce concerto 1 c'est 1855/1858, le 2 c'est 1878/1881, donc 20ans c'est pas rien pour la psyché !!!
Bien à vous
Helvet...
Depuis quelques jours, en immersion totale dans Brahms, le concerto N° 1 pour piano, ensuite je ferais le 2 et ensuite le double concerto pour violon et orchestre...
D'abord le 1, versions en présence : Rudolph Serkin et georges Szell, Claudio Arrau et Schmidt-Isserstedt, puis Maurizio Pollini et Abbado.
Pas recu Nelson Freire et Ricardo Chailly.
Ce n'est pas très important, parceque déjà il s'agit de 3 pointures mondiales, le 4ème aussi et avec un Diapason d'or en plus donc c'est dans le niveau de performance.
J'ai bien du mal à faire une discrimination, les 3 sont vraiment superbes, tant pour l'orchestre que pour les pianistes, du grand art total et absolu...seulement une différence de vitesse le plus lent Arrau avec 49'06 et le plus rapide Pollini avec 44'37, tandis que Serkin est à 46'35
L'introduction, environ 3'30 est égale pour chacun à peu près, je trouve que c'est une bonne idée parcequ'elle sert de piedestal au piano, en même temps qu'elle pose le sujet de dissertation !!!
Connaissant les modes de constructions issus des modes de pensées connus de Brahms (Si tant est que cela soit possible, mais faisons comme si puisque les historiens s'accordent a penser que...)
Je dirais que ce premier mouvement peut s'interpreter comme l'état dans lequel Brahms trouve le monde ou la vie et que cela ne lui plait pas plus que cela l'espace psychologique, social, culturel dans lequel il vit ne lui va pas très bien, il sait aussi qu'il est au bout d'une branche de l'évolution des idées ou de la musique ou des deux, il sait qu'il est le dernier représentant de cette écriture "classique".
Je mets des guillemets, parceque en fait c'est un vrai romantique dans ses ressentis, mais dans ses expressions il veut faire tenir son romantisme dans le discours classique et cela c'est pas facile, et cela s'entend !!!
Donc 1er mouvement état des lieux, et c'est vivant et cela débat avec véhémence, avec violence, même si le ton reste controlé.
Un petit indice qui me fait penser qu'il s'agit la d'une prise de col avec le destin, c'est qu'il fait entrer dans tout l'orchestre (comme également dans le concerto pour violon) le thème très cher et très connu de la 5ème de Beethoven, les fameux 4 coups du destin...et jusque dans la coda de ce 1er Mvt, on le retrouve. Et il est impossible que cela échappe à Brahms, je dirais même qu'il le fait exprès...
Le 2ème mouvement, adagio, est seulement un moment de repos, mais rien ne se règle, pas de résolution, on se repose, dans la nature si possible, mais surtout dans son esprit... pas d'échapatoire joyeuse, rien, concentration, repos et cela repart...pas de prière, pas de pleurs, pas de plainte lyrique. Ce qui est est et il faut faire avec....
Le 3ème mouvement la discorde reprend, pied à pied, là ou dans le concerto pour violon, il semblait retrouver le monde des hommes et faire la fète, là on sent bien que le coeur n'y est pas, même s'il essaie timidement, cela ne démarre pas, décidement...
Ce n'est pas vraiment triste, pas vraiment dramatique, une forme d'acceptation sur ce qui est et contre lequel on ne peut pas grand chose..
Quelques beautés, mais pas plus lyrique que cela... c'est du débat intellectuel pur et dur...il ne donne pas de solution pour ceux qui seraient dans les mêmes modes de pensées que lui. Il expose, il débat, il prend à témoin, mais il avance tout seul !!! point barre !!!
Voilà ce que je trouve a penser de ce travail musical tout de même très conséquent, dense, et parfait dans sa forme sonate : exposition, reexposition, développement, coda.
Je verrais la progression, parceque ce concerto 1 c'est 1855/1858, le 2 c'est 1878/1881, donc 20ans c'est pas rien pour la psyché !!!
Bien à vous
Helvet...
-
- Intarissable
- Messages : 2878
- Enregistré le : jeu. 05 oct. 2006 14:29
- Localisation : VITRE dans le Trois Cinq en Bretagne, yoh !
Cotes du Rhone : Vacqueyras ou Gigondas ?
J'aime les deux...
http://www.vacqueyras.tm.fr/index.htm
http://www.cave-gigondas.fr/
================================= hips =============

http://www.amazon.fr/Iron-Maiden-Rock-S ... B0000667LK
Ce jour, concert de Iron Maiden à RIO...
Grand moment d'énergie !
Toujours cette puissance doublée d'une partie mélodique qui fait le cachet de groupe mythique... De très belles images et un groupe au sommet de son art.
L'intro est grandiose, les choeurs permettent la mise en place de l'atmosphère bien particulière d'Iron Maiden.
The Wicker man "chauffe" le public...
Et c'est parti pour deux heures de bonheur...
Un must à avoir.
J'aime les deux...
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Ce jour, concert de Iron Maiden à RIO...
Grand moment d'énergie !
Toujours cette puissance doublée d'une partie mélodique qui fait le cachet de groupe mythique... De très belles images et un groupe au sommet de son art.
L'intro est grandiose, les choeurs permettent la mise en place de l'atmosphère bien particulière d'Iron Maiden.
The Wicker man "chauffe" le public...
Et c'est parti pour deux heures de bonheur...
Un must à avoir.
Pour moi, ce sera Cote rotie et Chateauneuf du pape, et j'en offirais une bouteille à Réglisse le jour ou il voudra bien daigner nous faire part de son histoire musicale plutot que de nous balancer des images et quelques bribes qui en disent long mais trop en silence...
Ceci dit si je peux me permettre en toute amitié, mais M...e quand même !
Helvet...
Ceci dit si je peux me permettre en toute amitié, mais M...e quand même !
Helvet...
C'est joli les images...
Ah une Cote rotie...

http://www.terroirs-france.com/region/r ... erotie.htm
http://coterotie.75cl.com/

Ah une Cote rotie...

http://www.terroirs-france.com/region/r ... erotie.htm
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écoute ce jour de i am a kloot : Natural History.
En sirotant un délicieux pack de Castelvin 2007, Formidable !
(pour rester dans le ton que prend ce post...)

http://www.amazon.fr/Natural-History-I- ... 719&sr=1-2
Je vous parlerai d'un (très) bon disque de POP Anglaise... Des p'tits gars de Manchester... A découvrir !
Vos esgourdes vous en seront reconnaissantes...
NB : Merci à Dédé, Helvet et Réglips de m'avoir inspiré l'écoute de cette album.

En sirotant un délicieux pack de Castelvin 2007, Formidable !
(pour rester dans le ton que prend ce post...)


http://www.amazon.fr/Natural-History-I- ... 719&sr=1-2
Je vous parlerai d'un (très) bon disque de POP Anglaise... Des p'tits gars de Manchester... A découvrir !
Vos esgourdes vous en seront reconnaissantes...
NB : Merci à Dédé, Helvet et Réglips de m'avoir inspiré l'écoute de cette album.

Bonsoir à tous,
Pas eu le temps avant maintenant, mais j'y suis quand même.
Aujourd'hui, jazz à gogo pour commencer, Benny Goodman, histoire de swinguer un peu, puis Duke Ellington à Newport 1956, tout cela pour être en phase avec le sujet des solos...
Pour moi cette période du jazz me satisfait bien, c'est facile et ça bouge, les liaisons intros et développement, lorsque le swing rentre, c'est un vrai plaisir d'entendre la mise en place et ça envoie, SUPER !
Ensuite deux versions du concerto N° 2 pour piano de Brahms, il me reste la 3ème version et si je l'ai recu ces jours prochains la quatrième.
Je peux déjà dire que c'est plus lourd que le concerto N° 1...dès que j'en ai terminé je vous en parle plus...
Voilà pour l'instant...
Bien à tous
Helvet...
Pas eu le temps avant maintenant, mais j'y suis quand même.
Aujourd'hui, jazz à gogo pour commencer, Benny Goodman, histoire de swinguer un peu, puis Duke Ellington à Newport 1956, tout cela pour être en phase avec le sujet des solos...
Pour moi cette période du jazz me satisfait bien, c'est facile et ça bouge, les liaisons intros et développement, lorsque le swing rentre, c'est un vrai plaisir d'entendre la mise en place et ça envoie, SUPER !
Ensuite deux versions du concerto N° 2 pour piano de Brahms, il me reste la 3ème version et si je l'ai recu ces jours prochains la quatrième.
Je peux déjà dire que c'est plus lourd que le concerto N° 1...dès que j'en ai terminé je vous en parle plus...
Voilà pour l'instant...
Bien à tous
Helvet...
Je me délecte d'un bon petit blend
(soir de semaine oblige) et de LA TOURNEE DES GRANDS ESPACES DE BASCHUNG...
Inoubliable
http://www.amazon.fr/tourn%C3%A9e-grand ... 504&sr=8-2

Inoubliable


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Bonsoir à tous,
Aujourd'hui, continué avec le Jazz, à la fois pour la musique et les rythmes, et l'écoute gratifiante du sytème....Duke Ellington et Johny Hodges, super pour moi...
Ensuite terminé les écoutes du Brahms concerto N°2 par les mêmes Rudolph Serkin-Georges Szell, Claudio Arrau, et Maurizio Pollini.
Les trois versions indifférement, sont superbes comme je l'ai déja dit pour le 1.
Parler du N° 1 était relativement facile...Pour le N°2 c'est une autre paire de manches...25 ans les sépare.....
Déja, l'unité de l'ensemble, la cohérence, les réminiscences des thèmes est telle que l'on aurait l'impression qu'il s'agit d'une rhapsodie en un seul mouvement, alors qu'il y en à 4.
Les références traditionnelles de la musique romantique, lutte, combat, pianissimi et tutti sont resserés, si bien qu'il semble n'y avoir que très peu de fortissimi.
Grande densité, très serrée. La beauté n'est pas évidente, et pourtant le discours est volubile et constant, si bien qu'on l'écoute sans ennui aucun.
Il faut y retourner, 2 ou 4 fois avant que d'apercevoir et ressentir assez pour y mettre un peu de sens...et que la beauté surgisse !!!
Je dirais en l'occurence qu'à mon avis, nous ne sommes pas dans le monde des hommes, les passions véhémentes sont absentes, ou bien controlées.
Une musique ésotérique, culte secret réservé à des initiés, à ceux qui sont allés de l'autre coté de la souffrance, et qui y sont restés !!! musique idéaliste utopique du rève de paradis...
L'écoute est délicate, "sentiments si compliqués, d'une netteté si délicate qu'ils se brouillent dès que ma réflexion s'en mèle."(Marivaux)
"Rèves sombres, représentation vivante et instantanée de l'inexprimable" (Goethe)
La musique devenue paradis ou tout n'est que beauté, la tristesse n'est que tristesse, pas trajédie, le destin n'est pas une occasion de se battre, seulement une route à suivre.
Mysticisme serein, quelques regrets faisant perler les larmes, stoique, fier et serein mais pas hurler de douleur et de colère...
La Beauté extatique, focalisation absolue sur une nostalgie acceptée du toisième mouvement est une des plus grandes pages de la musique,(à mon sens) et Rudolph Serkin me parait insurpassable, absolument fantastique...L'intellectualisation surpasse l'émotion pourtant puissante...
Cette fois, je crois que l'on est plus proche de SCHUBERT que de Beethoven, bien que le thème du destin apparait encore mais si modifié...
Voilà, une page exceptionnelle de la musique, fin d'une époque classique dans la forme et romantique dans l'ame... après on passe à Wagner, Chopin, Liszt....Et Brahms lui résume à lui seul toute la musique des 2 siecles précédents... INCONTOURNABLE !!!
Un très grand moment, vraiment, difficile cependant, je vous le conseille, mais en plusieurs fois, une boussole n'y suffit pas il faut un GPS !!!
Bien, je ne sais pas si vous pouvez tirer quelque chose de tout cela, mais je vais passer au double concerto pour corde, et saluer Crao de nouveau...
Bien cordialement
Helvet...
Aujourd'hui, continué avec le Jazz, à la fois pour la musique et les rythmes, et l'écoute gratifiante du sytème....Duke Ellington et Johny Hodges, super pour moi...
Ensuite terminé les écoutes du Brahms concerto N°2 par les mêmes Rudolph Serkin-Georges Szell, Claudio Arrau, et Maurizio Pollini.
Les trois versions indifférement, sont superbes comme je l'ai déja dit pour le 1.
Parler du N° 1 était relativement facile...Pour le N°2 c'est une autre paire de manches...25 ans les sépare.....
Déja, l'unité de l'ensemble, la cohérence, les réminiscences des thèmes est telle que l'on aurait l'impression qu'il s'agit d'une rhapsodie en un seul mouvement, alors qu'il y en à 4.
Les références traditionnelles de la musique romantique, lutte, combat, pianissimi et tutti sont resserés, si bien qu'il semble n'y avoir que très peu de fortissimi.
Grande densité, très serrée. La beauté n'est pas évidente, et pourtant le discours est volubile et constant, si bien qu'on l'écoute sans ennui aucun.
Il faut y retourner, 2 ou 4 fois avant que d'apercevoir et ressentir assez pour y mettre un peu de sens...et que la beauté surgisse !!!
Je dirais en l'occurence qu'à mon avis, nous ne sommes pas dans le monde des hommes, les passions véhémentes sont absentes, ou bien controlées.
Une musique ésotérique, culte secret réservé à des initiés, à ceux qui sont allés de l'autre coté de la souffrance, et qui y sont restés !!! musique idéaliste utopique du rève de paradis...
L'écoute est délicate, "sentiments si compliqués, d'une netteté si délicate qu'ils se brouillent dès que ma réflexion s'en mèle."(Marivaux)
"Rèves sombres, représentation vivante et instantanée de l'inexprimable" (Goethe)
La musique devenue paradis ou tout n'est que beauté, la tristesse n'est que tristesse, pas trajédie, le destin n'est pas une occasion de se battre, seulement une route à suivre.
Mysticisme serein, quelques regrets faisant perler les larmes, stoique, fier et serein mais pas hurler de douleur et de colère...
La Beauté extatique, focalisation absolue sur une nostalgie acceptée du toisième mouvement est une des plus grandes pages de la musique,(à mon sens) et Rudolph Serkin me parait insurpassable, absolument fantastique...L'intellectualisation surpasse l'émotion pourtant puissante...
Cette fois, je crois que l'on est plus proche de SCHUBERT que de Beethoven, bien que le thème du destin apparait encore mais si modifié...
Voilà, une page exceptionnelle de la musique, fin d'une époque classique dans la forme et romantique dans l'ame... après on passe à Wagner, Chopin, Liszt....Et Brahms lui résume à lui seul toute la musique des 2 siecles précédents... INCONTOURNABLE !!!
Un très grand moment, vraiment, difficile cependant, je vous le conseille, mais en plusieurs fois, une boussole n'y suffit pas il faut un GPS !!!
Bien, je ne sais pas si vous pouvez tirer quelque chose de tout cela, mais je vais passer au double concerto pour corde, et saluer Crao de nouveau...
Bien cordialement
Helvet...
Sergail,
J'ai bien eu du mal, tu as raison c'est un métier, pour les images sans prendre la bande passante, en faisant "enregistrer sous", j'ai pos réussi, j'chuis dépité, ce sera pour une prochaine fois....
En tout cas tu les as par SERKIN, géantissime absolu ; ARRAU, un des plus grands parmi les plus grands, POLLINI, accusé mais va savoir, d'alterner le bon et le moins bon, mais pour moi un grand maitre du piano, et je t'ai rajouté FREIRE, diapason d'or tres récent 2007 je crois.
Les yeux fermés n'importe lequel (perso j'ai un faible pour SERKIN) parceque c'est un grand beethovénien alors !!!Mais je recois Nelson Freire dans 8 jours par Caiman...
http://www.amazon.fr/Brahms-Concerto-pi ... 782&sr=1-1
http://www.amazon.fr/Brahms-Concerto-pi ... 106&sr=1-2
http://www.amazon.fr/Brahms-Concertos-p ... 174&sr=1-1
http://www.amazon.fr/Concerto-pour-pian ... 387&sr=1-1
http://www.amazon.fr/Brahms-Piano-Conce ... 387&sr=1-2
http://www.amazon.fr/Brahms-Piano-Conce ... 520&sr=1-1
Voilà, au plaisir de te lire
Helvet...
J'ai bien eu du mal, tu as raison c'est un métier, pour les images sans prendre la bande passante, en faisant "enregistrer sous", j'ai pos réussi, j'chuis dépité, ce sera pour une prochaine fois....
En tout cas tu les as par SERKIN, géantissime absolu ; ARRAU, un des plus grands parmi les plus grands, POLLINI, accusé mais va savoir, d'alterner le bon et le moins bon, mais pour moi un grand maitre du piano, et je t'ai rajouté FREIRE, diapason d'or tres récent 2007 je crois.
Les yeux fermés n'importe lequel (perso j'ai un faible pour SERKIN) parceque c'est un grand beethovénien alors !!!Mais je recois Nelson Freire dans 8 jours par Caiman...
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http://www.amazon.fr/Concerto-pour-pian ... 387&sr=1-1
http://www.amazon.fr/Brahms-Piano-Conce ... 387&sr=1-2
http://www.amazon.fr/Brahms-Piano-Conce ... 520&sr=1-1
Voilà, au plaisir de te lire
Helvet...
Bonsoir à tous,
Aujourd'hui, Jazz encore, Duke Ellington encore, Festival de Newport encore...
Le 19 sur le CD 1 est fabuleux comme l'a déja fait remarquer Syber, il s'agit du morceau "Diminuendo in blue and crescendo in blue" avec Paul Gonçalves au sax, SUPER
Le 17 sur le CD 2 est aussi fabuleux, I got it bad (and that ain't good)
Cela pourrait donner une super chorégraphie en Rock Jive bien réglé avec 3 ou 4 couples... super
J'ai continué aussi avec Brahms, mais ce sera pour une autre fois...
Bien à tous
Helvet...
Aujourd'hui, Jazz encore, Duke Ellington encore, Festival de Newport encore...
Le 19 sur le CD 1 est fabuleux comme l'a déja fait remarquer Syber, il s'agit du morceau "Diminuendo in blue and crescendo in blue" avec Paul Gonçalves au sax, SUPER
Le 17 sur le CD 2 est aussi fabuleux, I got it bad (and that ain't good)
Cela pourrait donner une super chorégraphie en Rock Jive bien réglé avec 3 ou 4 couples... super
J'ai continué aussi avec Brahms, mais ce sera pour une autre fois...
Bien à tous
Helvet...