Installation de Balticlover (McIntosh-Cabasse)

[BowiePop]

L'input cd, sur ton 2500 en rca, c'est pour ton lecteur philips je suppose ?

[BalticLover]

Oui pour la lecture des SACD sur mon lecteur bluray Philips

[zely30]

Un sélecteur d'enceintes ne te plairait pas ?
Ce serait moins contraignant que les fiches bananes à débrancher et rebrancher, non ?

[BalticLover]

J'y ai pensé mais j'ai dans l'idée que je vais perdre en qualité (même si la perte est infime) et puis ça ajoute un appareil supplémentaire et en l'occurrence des parasites supplémentaires à mon installation.

Il faut que je me renseigne à ce sujet car je peux toujours changer d'avis, tu connais le dicton...

[fabs29]

De mémoire Luxman en fait un très bon

[BalticLover]

Voici sans doute le prochain compagnon de mes McIntosh : un lecteur réseau audiophile Lumïn DSD streamer. Autrement dit fini le NPS2000 et les Flac. On va passer à la catégorie au dessus des flac,des studios master et studios master HD. Voici venu le temps du DSD. Un format qui va certainement m'obliger à acquérir de nouveaux disques durs de plusieurs Téras mais attention la qualité.

Voici le Lumïn :


Uploaded with ImageShack.us



Uploaded with ImageShack.us

Alimentation séparée.


Uploaded with ImageShack.us



Uploaded with ImageShack.us

et voici l'adresse du site où vous pourrez en savoir plus sur ce véritable bijou que l'on considère déjà comme meilleur que le lecteur CD-SACD Esotéric K-03
Propos tiré du site Audiophile magazine.com
http://www.audiophile-magazine.com/banc ... -streamer/

" En comparaison de mon Esoteric K-03, utilisé cette fois en tant que lecteur CD (et non que simple DAC), le Lumin en lecture de fichiers red book a été simplement meilleur. L'équilibre tonal m'a semblé meilleur, les timbres plus réalistes, l'image tridimensionnelle aussi bonne que celle de l'Esoteric (alors qu'il s'agit là d'un point fort du lecteur). La dynamique est excellente et le Lumin fait le trou par rapport à l'Esoteric sur l'aspect liquide de la restitution même si on peut trouver encore mieux dans ce domaine... Cela n'est sincèrement pas une maigre performance lorsqu'on est conscient des aptitudes déjà impressionnantes de la nouvelle génération de lecteurs Esoteric, qui comptent à mon avis parmi les meilleurs lecteurs CD / SACD du marché.


Si on s'amuse ensuite à mettre en parallèle les deux appareils en lecture DSD, la comparaison tourne encore plus à la faveur du streamer made in Hong-Kong. L'Esoteric, à côté du Lumin, sonne maigre et numérique. Le lumin en streaming du flux DSD natif m'a tout bonnement donné l'impression de m'emmener dans la salle de concert avec ce rare sentiment de vérité et d'évidence grâce à un cocktail inédit de douceur, d'ampleur et de naturel. A la première écoute d'un flux DSD natif, j'ai eu la sensation que les murs de ma pièce d'écoute avaient tout bonnement disparu.

[BalticLover]

Voici un site où l'on peut télécharger du DSD natif :

http://www.channelclassics.com/dsd/podger-34113.html

Ce doit être exceptionnel !

Voilà ce que pense Audiophile magazine de Channel Classics :

http://www.audiophile-magazine.com/repo ... -classics/

A lire, c'est vraiment pas long et intéressant.

[BowiePop]

Motivé le BL, appelles moi si t'es toujours là !

[chimoult]

Là tu me fait envie

Ca fait des mois que je regarde cette bête ! Un digne concurrent du Linn Klimax

[papetlse]

Là tu me fait envie

Ca fait des mois que je regarde cette bête ! Un digne concurrent du Linn Klimax

Une envie à + 3000 roros il faut dire

[Crao]

Voici un site où l'on peut télécharger du DSD natif :

http://www.channelclassics.com/dsd/podger-34113.html

Ce doit être exceptionnel !

Sans vouloir être rabat joie ça doit être exactement pareil que le même fichier convertit en 16/44.1. On en a déjà parlé avant, c'est le mixage qui est important, pas le format de stockage.

[madorre]

En gros Esoteric sa sonne numérique c'est ça? vu le prix... Bon, dans deux ou trois ans on en dira de même de cet appareil.
+1 avec Crao, en lisant l'article, on voit simplement qu'ils appliquent ce qu'il faut faire dans une prise de son classique (et je dirais même toute prise de son acoustique), placement des micros (de bonne qualité), réglage soigné du niveau, et traitement minimal...on savait ça dans les années 60.
Le problème, c'est que depuis des années on abuse des traitements divers aussi bien à la prise de son qu'au mixage ou mastering.
C'est surtout ça qui fait la différence.

[zapats]

+1, et c'est là que c'est frustrant : avec un bon système on ne peut pas tout écouter... il faut choisir ses enregistrements, et là patatras... tant d'investissements pour une si maigre collection...

Dans tous les cas, moi je reste avec mes Flacs soit t'il tirés de CD, DVD-A, SACD ou vynils !

[BalticLover]

On en a déjà parlé avant, c'est le mixage qui est important, pas le format de stockage.

Je suis d'accord avec toi mais il ne faut pas oublier que certains formats de stockage éviteront bien souvent des traitements, mixages ou mastering parfois périlleux et hasardeux comme le dit si bien Thierry Nkaoua.

Me concernant, je me place davantage dans la philosophie de Channel Classics qui explique bien que c'est l'absence de mixage et de mastering (après la prise son) qui leur permet d'obtenir aujourd'hui des enregistrements d'excellentes qualités, à condition biensûr qu'en amont le matériel utilisé soit de haute volée et les musiciens et ingénieurs, qualifiés, expérimentés et passionnés.

http://www.audiophile-magazine.com/repo ... -classics/ Petit résumé :

Le meilleur Mix/Mastering, c'est pas de Mastering. Ce qui a pu être considéré comme une faiblesse du DSD, a poussé Channel Classics à concentrer tout son savoir faire musical et technologique à la prise de son, au plus près des musiciens.

C'est à la prise de son, et uniquement à la prise de son, et en analogique, que le "Mix/Mastering" est effectué. Aucun traitement DSP, aucune Equalisation, aucun changement de niveau, aucune réverbation après coup.

L'Alchimie de Channel Classics c'est l'alliance entre les meilleures technologies, les musiciens et le Directeur de Channel Classics qui est aussi Ingénieur du Son en chef, C. Jared Sacks, et aussi:
aucun post-processing numérique, aucun traitement, aucune conversion à aucun moment, pas de Mix/Mastering.

Le SACD ou les pistes DSD que je télécharge, c'est exactement ce qui est sorti de la prise de son.
Quand on sait que l'on pourra "bidouiller" après coup en PCM, cela n'encourage peut-être pas l'excellence.

l'une des clés technologiques de la qualité des albums de Channel Classics: c'est l'ABSENCE DE MIX/MASTERING après la prise de son.

S'appuyer jusqu'au bout sur une technologie, le DSD, pour éliminer radicalement l'une des phases périlleuses et hasardeuses de la fabrication d'un enregistrement, le Mix/Mastering, est sans aucun doute suffisamment rare pour être souligné. Il a à lui-seul justifié cet article.

Comme pour un amplificateur de puissance, un étage de sortie, ou un préamplificateur, le trajet le plus court du signal audio est une option de conception inévitable quand on cherche la plus grande transparence et la plus grande fidélité d'un maillon à un autre.

Avec ce type d'enregistrements, le trajet de la musique depuis les musiciens jusqu'à nos enceintes est on ne peut plus court. Adieu les reverb, les EQ, les compressions, les bidouilles en tous genres.

Et cela s'entend.

Thierry NKAOUA

+1, et c'est là que c'est frustrant : avec un bon système on ne peut pas tout écouter... il faut choisir ses enregistrements, et là patatras... tant d'investissements pour une si maigre collection...

+1 mais j'aurais terminé la phrase ainsi :
"Tant d'investissements pour une si maigre collection mais un maximum d'émotions".
Bref, j'abuse un peu, je vous l'accorde car des émotions j'en ai aussi beaucoup en écoutant de très bons flacs en 16bits/44hz et en qualité Studio Masters. Vous le savez comme moi, on trouve aujourd'hui des albums en flac 16/44 meilleurs que la version Studio Master. Alors certes, ce n'est pas une généralité mais ça existe, et cela est souvent la conséquence d'un mauvais mix/mastering une fois de plus.

Seulement depuis l'acquisition de mes 2 appareils McIntosh, je suis plus exigeant au niveau de la qualité d'enregistrement des albums. Ce qui me pousse à découvrir d'autres horizons comme le DSD et par la même occasion d'autres produits technologiques haut de gamme comme le Lumïn (streamer DSD). Ce dernier étant capable de lire biensûr des Flac, flac HD et autres formats Lossless intéressants que le Yamaha NPS2000 ne peut pas lire.

À plus.

[BowiePop]

Je suis mitigé sur ton analyse.

Le choix de channel classic est une approche artistique, qui d'après Madorre est bien connu depuis longtemps, et je ne vois pas ce que le format dsd pourrait apporter de plus sur sa "traduction" numérique par rapport à un flac en 24 bits, largement suffisant d'après mes lectures en terme de précision et de dynamique.

Perso, j'attendrais que McIntosh sorte un lecteur réseau haut de gamme avant de remplacer mon NP-S2000.

Je suis passé chez Dam, hier, on a discuté du MA8000, de REW et des micros de mesure et de leurs limites, et en parlant de ce futur lecteur réseau Mac, je me suis laissé aller à imaginer un système intégrant un Men 220 "mixé" au lecteur réseau, pour un traitement numérique optimal de la source; mais quand j'ai réfléchi au prix que cela pourrait atteindre, les Océans sont peut être une bonne affaire, avec leur système 4 voies actif ^^ !!

Mais pourquoi je ne prend pas les Océan Je n'ai pas le budget

[man]

Mais pourquoi je ne prend pas les Océan Je n'ai pas le budget

Pas besoin de budget pour ça ! Pour ce qui est de l'océan, je crois que tu es bien servi dans ton coin !

Et je suis d'accord, c'est quoi ce nouveau gadget BL !

[Crao]

Je suis d'accord avec toi mais il ne faut pas oublier que certains formats de stockage éviteront bien souvent des traitements, mixages ou mastering parfois périlleux et hasardeux comme le dit si bien Thierry Nkaoua.

Le format de stockage n'a rien à voir ni de près ni de loin avec le traitement du son ou son absence. Déjà à l'époque du vinyle certains labels faisaient de la gravure directe. Dans ce cas en numérique on enregistre directement en 16/44.1 et on touche plus. Le fait de faire du DSD ne change vraiment rien à la qualité de restitution, mais ça fait bien dans un discourt marketing. En plus ça donne l'impression d'appartenir à une caste d'happy few qui peuvent se le permettre. Mais il n'y a aucune justification qualitative derrière.

[man]

+1

Pour cela il suffit d'écouter les versions DSD des albums des Stones ... Une cata, les versions originales sont bien meilleures ...

[Fredaxis]

Ce n'est vraiment qu'un message marketing limite escroquerie.
Rien de nouveau sous le soleil, le format DSD est le format natif des SACD.
Et cela ne change en rien le besoin de mixage et de mastering fait par les ingé son.

Pour info, Jriver lit le DSD depuis la version 17 (qui a plus de 2 ans), nous en sommes à la 19.

Il y a vraiment plus a se focaliser sur le Dynamique Range et la qualité artistique du mix.
C'est le même genre de discours que nous promettre des merveilles avec du 24/192.
Un bon enregistrement est bon même en 320k
Un mauvais enregistrement est mauvais même en 24/192, et souvent même pire avec les remastering successifs (à cause du DR qui se dégrade pour satisfaire la lecture sur des petits systèmes et lecteurs nomades de tous genres).


La vraie avancée est de traiter sa pièce en se basant sur des mesures (donc pas de manière empirique) et de fignoler avec de la correction électronique numérique type FIR.

[zapats]

+1000

Mesurer et optimiser son système sur base de mesures : correction active (FIR) et passive (habillage)
Choisir ses albums sur base du DR (http://www.dr.loudness-war.info/) de la qualité d'enregistrements / mixage (il faut connaître les prenneurs de son, les bons ingénieurs de son et les bons studios, comme celuis de Passavant pour les musiques non amplifiées).