QUELS SONT VOS DERNIERS ACHATS ?
Réglisse,
Oui, je suis tout cela de très très près. Je suis tout marri de croire que je ne ferais que me répéter et que par conséquent si l'on a rien de nouveau a dire...eh bien, l'on se tait.
La Tarentella : déjà parlé de ce CD formidable ainsi que les autres de Christina Pluhar, il faut les avoir, une musique ancienne conjuguée avec une réécriture vraiment musicale.
Pour Vivaldi - Carmignola : pareil, déjà parlé et excusez du peu, je pense qu'il s'agit de la meilleure version, rien moins. Cependant j'insiste en disant qu'il est impératif de se mettre sous les yeux les sonnets qui vont avec, c'est le seul moyen d'aller un peu plus loin que de s'exclamer sur cette "belle musique" c'est bien autre chose.
Et oui, c'est par ce biais de l'illustration du texte, et y compris du texte religieux que la musique va se hisser au niveau de l'illustration ; non plus de textes aussi beaux puissent-ils être ; mais alors des émotions et affects des humains...
Tu vois je redémarre au quart de tour.
J'ai écouté tellement de musique depuis ces trois derniers mois qu'il me faudrait trois pages de ce forum sympa !
Bien cordialement
Helvet...
Oui, je suis tout cela de très très près. Je suis tout marri de croire que je ne ferais que me répéter et que par conséquent si l'on a rien de nouveau a dire...eh bien, l'on se tait.
La Tarentella : déjà parlé de ce CD formidable ainsi que les autres de Christina Pluhar, il faut les avoir, une musique ancienne conjuguée avec une réécriture vraiment musicale.
Pour Vivaldi - Carmignola : pareil, déjà parlé et excusez du peu, je pense qu'il s'agit de la meilleure version, rien moins. Cependant j'insiste en disant qu'il est impératif de se mettre sous les yeux les sonnets qui vont avec, c'est le seul moyen d'aller un peu plus loin que de s'exclamer sur cette "belle musique" c'est bien autre chose.
Et oui, c'est par ce biais de l'illustration du texte, et y compris du texte religieux que la musique va se hisser au niveau de l'illustration ; non plus de textes aussi beaux puissent-ils être ; mais alors des émotions et affects des humains...
Tu vois je redémarre au quart de tour.
J'ai écouté tellement de musique depuis ces trois derniers mois qu'il me faudrait trois pages de ce forum sympa !
Bien cordialement
Helvet...
bonjour, je n'écoute pas beaucoup de classique, c'est par période, et justement, depuis deux jours, j'écoute du Berlioz, la symphonie fantastique(1961), et la damnation de Faust(1958), toutes deux dirigées par Igor Markevitch avec l'orchestre des concerts Lamoureux, une merveille, enregistrements de très bonne qualité, et un Markevitch que je trouve supérieur à Karajan...Là, je vais peut-être me faire engueuler! vos avis?
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- Localisation : VITRE dans le Trois Cinq en Bretagne, yoh !
J'ai les 4 saisons de Carmignola et Chang...
Si la "Chang" me parait introduire une once de fragilité très touchante, le brio et la maestria de la "Carmignola" écrase toutes celles que je connais... (y compris Nigel KENNEDY )
Et si Maitre Helvet précise que c'est la meilleure, alors...
Nous en avons déjà parlé...
Si la "Chang" me parait introduire une once de fragilité très touchante, le brio et la maestria de la "Carmignola" écrase toutes celles que je connais... (y compris Nigel KENNEDY )
Et si Maitre Helvet précise que c'est la meilleure, alors...
Nous en avons déjà parlé...
Sergail,
Nous en avons déjà parlé mais je réitère le conseil que j'ai déjà donné : fais une écoute des 4 saisons avec les sonnets qui vont avec et suis avec précision.
Je les avais mis en entier à ce moment là mais mais le Grand gogol te retrouverait cela en 0,1 seconde...
Carmignola sans aucun doute !!!!!
Bien cordialement
Helvet...
Nous en avons déjà parlé mais je réitère le conseil que j'ai déjà donné : fais une écoute des 4 saisons avec les sonnets qui vont avec et suis avec précision.
Je les avais mis en entier à ce moment là mais mais le Grand gogol te retrouverait cela en 0,1 seconde...
Carmignola sans aucun doute !!!!!
Bien cordialement
Helvet...
salut Helvet, effectivement, j'ai trouvé ça sur internet:
D'origine Russe, Igor Markevitch s'est d'abord illustré comme compositeur dans la classe d'Alfred Cortot pour le piano, et de Nadia Boulanger pour l'écriture. Dans les années 30, Béla Bartók parlait de son jeune collègue comme "L'une des personnalités les plus remarquables de la musique d'aujourd'hui" ! C'est dire l'importance que doivent revêtir les ballets, oratorios, œuvres pour orchestre, pièces pour piano et musique de chambre écrites de la main de Markevitch, morceaux encore quasiment inconnus de nos jours.
Mais c'est dans les années 40, pendant la Seconde Guerre Mondiale, sous l'impulsion de Willem Mengelberg et de Hermann Scherchen que Markevitch commença la direction d'orchestre. Bientôt invité dans le monde entier, ce magicien de la baguette avait pour qualité principale d'allier l'élégance sans prétention et la puissance analytique dans son interprétation.
Ces qualités se retrouvent totalement dans cette interprétation de légende de la "Symphonie Fantastique" de Berlioz. Alors que la presse internationale se pâme devant la version surestimée de Colin Davis, je persiste et signe en réaffirmant que cette version de la "Fantastique" de Markevitch demeure INSURPASSÉE à ce jour ; il va vraiment au fond de l'œuvre. Écoutez la légèreté des cordes dans un style purement viennois dans "Un bal" ; le caractère délicieusement champêtre avec le dialogue très réussi du hautbois et du cor anglais dans "La scène aux champs" ; le caractère quelque peu inquiétant de la "Marche au supplice" où Markevitch a su faire monter progressivement la tension menant l'artiste au peloton d'exécution. Enfin, l'explosion romantique du "Songe d'une Nuit de Sabbat" avec ses cuivres volontairement boursouflés dans le "Dies Irae" dont seul Markevitch a su retranscrire avec une telle clairvoyance les excès passionnels de Berlioz envers Hariet Smithson. Jamais à aucun moment, on ne ressent l'ennui des longueurs de cette œuvre qui lui sont si souvent reprochées.
Cette version est à réhabiliter d'urgence car les Davis et Dutoit, trop souvent citées en tant que références font bien pâle figure à côté de cette version, la seule vraiment habitée du spectre du fougueux romantique qu'était Hector Berlioz.
Hautement recommandé.
D'origine Russe, Igor Markevitch s'est d'abord illustré comme compositeur dans la classe d'Alfred Cortot pour le piano, et de Nadia Boulanger pour l'écriture. Dans les années 30, Béla Bartók parlait de son jeune collègue comme "L'une des personnalités les plus remarquables de la musique d'aujourd'hui" ! C'est dire l'importance que doivent revêtir les ballets, oratorios, œuvres pour orchestre, pièces pour piano et musique de chambre écrites de la main de Markevitch, morceaux encore quasiment inconnus de nos jours.
Mais c'est dans les années 40, pendant la Seconde Guerre Mondiale, sous l'impulsion de Willem Mengelberg et de Hermann Scherchen que Markevitch commença la direction d'orchestre. Bientôt invité dans le monde entier, ce magicien de la baguette avait pour qualité principale d'allier l'élégance sans prétention et la puissance analytique dans son interprétation.
Ces qualités se retrouvent totalement dans cette interprétation de légende de la "Symphonie Fantastique" de Berlioz. Alors que la presse internationale se pâme devant la version surestimée de Colin Davis, je persiste et signe en réaffirmant que cette version de la "Fantastique" de Markevitch demeure INSURPASSÉE à ce jour ; il va vraiment au fond de l'œuvre. Écoutez la légèreté des cordes dans un style purement viennois dans "Un bal" ; le caractère délicieusement champêtre avec le dialogue très réussi du hautbois et du cor anglais dans "La scène aux champs" ; le caractère quelque peu inquiétant de la "Marche au supplice" où Markevitch a su faire monter progressivement la tension menant l'artiste au peloton d'exécution. Enfin, l'explosion romantique du "Songe d'une Nuit de Sabbat" avec ses cuivres volontairement boursouflés dans le "Dies Irae" dont seul Markevitch a su retranscrire avec une telle clairvoyance les excès passionnels de Berlioz envers Hariet Smithson. Jamais à aucun moment, on ne ressent l'ennui des longueurs de cette œuvre qui lui sont si souvent reprochées.
Cette version est à réhabiliter d'urgence car les Davis et Dutoit, trop souvent citées en tant que références font bien pâle figure à côté de cette version, la seule vraiment habitée du spectre du fougueux romantique qu'était Hector Berlioz.
Hautement recommandé.
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C'est bien Gogol 1er.reglisse a écrit :Gogol 1er, Helvet écouterai du punk
Je me suis refait (très fort) une cession "Berruriers noirs" (je crois que mon 30bz18 n'a pas aimé...).
Et pis dans le punk et ses origines : Iggy and The Stooges
http://www.amazon.fr/Stooges/dp/B000005 ... pd_sim_m_1
et puis :
http://www.amazon.fr/Raw-Power-Iggy-Pop ... pd_sim_m_1 (nlle version)
Jean,
Ne pas oublier Charles MUNCH avec BOSTON et aussi J.E. GARDINER avec son orchestre romantique et révolutionnaire.
La première, ancienne, de 1962 et la seconde de 1993 toutes deux Diapason d'or, mais encore une fois nous ne sommes pas égaux devant les émotions, alors ...probablement il faut avoir au moins ces 3 là.
Cordialement et bonnes écoutes.
Helvet...
Ne pas oublier Charles MUNCH avec BOSTON et aussi J.E. GARDINER avec son orchestre romantique et révolutionnaire.
La première, ancienne, de 1962 et la seconde de 1993 toutes deux Diapason d'or, mais encore une fois nous ne sommes pas égaux devant les émotions, alors ...probablement il faut avoir au moins ces 3 là.
Cordialement et bonnes écoutes.
Helvet...
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- Localisation : Hauts de Seine
http://www.amazon.fr/gp/product/B001IAGQXG
L'intégrale de l'oeuvre de Rachmaninov.
Les critiques sont bonnes.
hello syber ok tu as acheté l'integrale de rachmaninov le Jeu 11 Déc 2008 19:24, et puis le père noele est arrivé sans doute les bras chargés… et puis repondre à toutes ces questions sur le forum, ça occupe j'imagine…
pour ma part, en attendant d'avoir un de ces jours un systeme d'ecoute correct… je m'achete toujours des disques… le dernier classique : les brandebourgeois par rinaldo alessandrini… une revelation, maginifique version en attendant des cabasse digne de ces violons et clavecins…
à+
jim
pour ma part, en attendant d'avoir un de ces jours un systeme d'ecoute correct… je m'achete toujours des disques… le dernier classique : les brandebourgeois par rinaldo alessandrini… une revelation, maginifique version en attendant des cabasse digne de ces violons et clavecins…
à+
jim
Hello,
encore une petite merveille de J Savall, pour les amoureux de violes et de musique Celtique :
http://www.amazon.fr/Celtic-Viol-Compil ... 698&sr=1-1
encore une petite merveille de J Savall, pour les amoureux de violes et de musique Celtique :
http://www.amazon.fr/Celtic-Viol-Compil ... 698&sr=1-1
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- Intarissable
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- Enregistré le : jeu. 14 sept. 2006 18:46
- Localisation : Hauts de Seine
http://www.amazon.fr/gp/product/B000OPP ... oh_product
Les dix sonates de Beethoven pour violon et piano, par Haskil et Grumiaux.
Acheté de confiance car il s'agit d'enregistrements historiques. J'ai toute confiance dans la qualité de l'interprétation et je verrai bien si le son reste acceptable en fonction de nos critères actuels ...
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- Intarissable
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- Localisation : Hauts de Seine
http://www.amazon.fr/gp/product/B000024 ... oh_product
Elisabeth Schwarzkopf et George Szell dans une sélection de lieder pour orchestre de Richard Strauss.
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- Volubile
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- Enregistré le : jeu. 21 août 2008 15:06
- Localisation : Savoie libre et indépendante
Ca doit pas être facile de faire rentrer la bouteille de shampoin dans le lecteur CD ....syber a écrit :
http://www.amazon.fr/gp/product/B000024 ... oh_product
Elisabeth Schwarzkopf et George Szell dans une sélection de lieder pour orchestre de Richard Strauss.