Jonathans a écrit :oso a écrit :Philippe MULLER a écrit :Ce n'est pas exactement la bonne raison. Le CD est devenu un support populaire, alors que son potentiel est largement sous-exploité mais surtout, les fichiers numériques se retrouvent en streaming mp3; la qualité est forcément sacrifiée.
Le boom du vinyle est inexistant en classique.
.....et oui: lorsque le final d'une grande symphonie s'épanouit pret de l'étiquette centrale. ...faut pas etre bien difficile sur la qualité pour accepter la bouillie sonore produite par le vinyle

N'importe quoi ! C'est certainement pas pour cette raison qu'il y a pas le "boom" du "classique" en "vinyle"
Ce n'est pas n'importe quoi: vérifiez par vous meme la qualité du son en fin de disque sur des messages à forte dynamique....Sur un quatuor, c'est absolument dégueulasse aussi, sauf si l'éditeur a pris soin d'arreter la piste bien avant la zone critique (et encore...).
Tous les calculs sont disponibles sur vinylengine, c'est pas un secret; Et puis la réduction de la vitesse linéaire lorsqu"on s'approche de la fin, on a beau pleurer et trépigner, s'écrier "c'est pas vrai

"...ça n'est pas très favorable à la lecture dans de bonnes conditions.
Entre les erreurs d'angle, et la réduction de la vitesse linéaire, le salut réside dans la passion pour les 2nd et 3eme mouvements.
Et encore, je ne parle pas de l'usure, du bruit de fond (très élevé sur les réédition modernes "audiophiles" que je possède), et de la moustache qui pousse autour du diamant, des pressages douteux. A ce sujet, j'ai récupéré un Co de Ravel neuf, par S. François, la fameuse version Emi: 6 dB d'écart entre la droite et la gauche.
Les DG: je n'en n'ai pas un seul dont le son n'est pas moche.
Certains decca sont écoutables...mais tellement moins bons que les versions CD.
En tant qu'amateur de classique, je ne demande surtout pas des versions vinyles: beurk. C'est pas la platine que je veux entendre, c'est la musique
En plus de ça, les éditeurs ont peut etre d'autres raisons de ne pas pousser l'usine à gaz dans ce sens.