Cabasse IROISE SCS ou 500
Sur le wiki, l'Iroise 500 semble bien avoir des HPs de 21cm a dôme non inversé, tout en étant présentés comme des LB4.
Il y aurait donc plusieurs versions de LB4! Les miens LB4N, provenant de l'Ibiza MT352, sont à dôme inversé.
michel
PS1 : d'après les photos, les 21m18lb4N des Iroise II ont aussi un dôme inversé ; l'inversion du dôme se serait donc faite en 2002!
PS2 : d'après les documentations Cabasse, l'Egea 500 a un LB3 (coquille?) et l'Iroise 500 des LB4 ; surprenant!
Il y aurait donc plusieurs versions de LB4! Les miens LB4N, provenant de l'Ibiza MT352, sont à dôme inversé.
michel
PS1 : d'après les photos, les 21m18lb4N des Iroise II ont aussi un dôme inversé ; l'inversion du dôme se serait donc faite en 2002!
PS2 : d'après les documentations Cabasse, l'Egea 500 a un LB3 (coquille?) et l'Iroise 500 des LB4 ; surprenant!
convexe = dôme non inversé
c'est normal pour des LB3 que le cache noyau soit convexe.
pour résumer :
Iroise MC & Iroise SCS : LB3 (cache noyau à dôme non inversé)
Iroise 500 : LB4 (cache noyau à dôme non inversé)
Iroise 2 : LB4N (cache noyau à dôme inversé)
à la maison, j'ai essayé sur mes Iroise MC les LB4N : les différences sonores sont très subtiles.
c'est normal pour des LB3 que le cache noyau soit convexe.
pour résumer :
Iroise MC & Iroise SCS : LB3 (cache noyau à dôme non inversé)
Iroise 500 : LB4 (cache noyau à dôme non inversé)
Iroise 2 : LB4N (cache noyau à dôme inversé)
à la maison, j'ai essayé sur mes Iroise MC les LB4N : les différences sonores sont très subtiles.
Merci.
Cela n'exclut donc pas la possibilité qu'à partir de 1996 (date d'apparition du 21M18 LB4 d'après le catalogue Nouveautés 1996 de Cabasse), des enceintes de la série SCS (Egea, Iroise, Pacific) aient été dotées du nouveau haut-parleur en lieu et place du 21M18 LB3, qui avait donc le même cache-noyau.
Des investigations plus poussées devraient permettre de lever le doute.
Cela n'exclut donc pas la possibilité qu'à partir de 1996 (date d'apparition du 21M18 LB4 d'après le catalogue Nouveautés 1996 de Cabasse), des enceintes de la série SCS (Egea, Iroise, Pacific) aient été dotées du nouveau haut-parleur en lieu et place du 21M18 LB3, qui avait donc le même cache-noyau.
Des investigations plus poussées devraient permettre de lever le doute.
Salut à toi Peter !
Tu ne peux pas imaginer à quel point j'en suis satisfait !
D'autant plus heureux que je les utilise maintenant avec un caisson Cabasse Etna II, qui marche lui-même très bien (il sort un grave d'une pureté inouï), malgré le fait que je n'ai pas encore affiné les réglages de l'électronique de filtrage.
Ce n'est pas que les Iroises ne descendent pas elle-mêmes très bas, mais, dans ma pièce et à l'emplacement auxquels se trouvent chacune des trois enceintes, la solution triphonique excitent moins les résonnances de la pièce qu'un usage des Iroise en 2.0 et en large bande.
Le confort d'écoute et la qualité sonore s'en trouvent grandement accrus.
A tel point que j'envisage très sérieusement de ne pas en rester au 2.1, mais de passer au 2.2 !
Mais, les Iroises SCS seules, c'est déjà quelque chose !
AMHA, il ne faut cependant pas adopter à leur égard une approche "audiophile", mais une approche plus technique et pragmatique. Ce sont de formidables outils de reproduction du son, mais ils sont très pointus à utiliser. J'ai mis plusieurs années à apprendre à m'en servir en partant de rien en terme de connaissances techniques dans la sonorisation. Mais la récompense se trouve au bout du chemin.
Tu ne peux pas imaginer à quel point j'en suis satisfait !
D'autant plus heureux que je les utilise maintenant avec un caisson Cabasse Etna II, qui marche lui-même très bien (il sort un grave d'une pureté inouï), malgré le fait que je n'ai pas encore affiné les réglages de l'électronique de filtrage.
Ce n'est pas que les Iroises ne descendent pas elle-mêmes très bas, mais, dans ma pièce et à l'emplacement auxquels se trouvent chacune des trois enceintes, la solution triphonique excitent moins les résonnances de la pièce qu'un usage des Iroise en 2.0 et en large bande.
Le confort d'écoute et la qualité sonore s'en trouvent grandement accrus.
A tel point que j'envisage très sérieusement de ne pas en rester au 2.1, mais de passer au 2.2 !
Mais, les Iroises SCS seules, c'est déjà quelque chose !
AMHA, il ne faut cependant pas adopter à leur égard une approche "audiophile", mais une approche plus technique et pragmatique. Ce sont de formidables outils de reproduction du son, mais ils sont très pointus à utiliser. J'ai mis plusieurs années à apprendre à m'en servir en partant de rien en terme de connaissances techniques dans la sonorisation. Mais la récompense se trouve au bout du chemin.
Pour le moment, au minimum (50 Hz), et les Iroises sont filtrées en passe-haut à partir de 70/80 Hz, à la louche.
Grâce à l'adjonction du caisson (qui est placé dans un angle de la pièce), j'ai pu repositionner les enceintes plus près du murs arrières sans préjudice pour le grave. Avant, elles étaient éloignées de près d'1,80 mètres du mur derrière elles. Sans une telle distance, les résonnances dans le grave étaient bien trop désagréablement prononcées. Maintenant, elles sont situées à un mètre du mur arrière (le minimum préconisé par Cabasse à l'époque).
Grâce à l'adjonction du caisson (qui est placé dans un angle de la pièce), j'ai pu repositionner les enceintes plus près du murs arrières sans préjudice pour le grave. Avant, elles étaient éloignées de près d'1,80 mètres du mur derrière elles. Sans une telle distance, les résonnances dans le grave étaient bien trop désagréablement prononcées. Maintenant, elles sont situées à un mètre du mur arrière (le minimum préconisé par Cabasse à l'époque).
Michel K,
En ce qui me concerne, je suis passé au triphonique pour descendre plus bas, car dans ma pièce, j'avais une perte de niveau moyen régulière mais assez importante sous 60/50 Hz. Je n'ai découvert qu'à l'usage du caisson le bénéfice de la moindre perturbation du grave.
J'utilise à la fois un filtre actif Cabasse "subwoofer electronic adapter" (le modèle avec correction de la courbe de réponse des voies satellites) et les filtres actifs incorporés aux amplis Polaris, attaqués tous deux à partir du préamplificateur, qui dispose de deux paires de sorties. Le filtre actif séparé est commuté en mono et utilisé uniquement pour le filtrage passe-bas sur la voie de grave, les Polaris filtrent en passe-haut les Iroises.
En fait, j'ai deux filtres actifs, l'un avec des entrées/sorties RCA et l'autre avec des entrées/sorties XLR. Je garderais probablement les deux, car le second pourrait un jour me permettre de tirer de plus grandes longueurs de câbles afin d'éloigner le rack d'électroniques des enceintes et le rapprocher de la zone d'écoute. Pour le moment, j'utilise le filtre en RCA, en meilleur état esthétique.
En ce qui me concerne, je suis passé au triphonique pour descendre plus bas, car dans ma pièce, j'avais une perte de niveau moyen régulière mais assez importante sous 60/50 Hz. Je n'ai découvert qu'à l'usage du caisson le bénéfice de la moindre perturbation du grave.
J'utilise à la fois un filtre actif Cabasse "subwoofer electronic adapter" (le modèle avec correction de la courbe de réponse des voies satellites) et les filtres actifs incorporés aux amplis Polaris, attaqués tous deux à partir du préamplificateur, qui dispose de deux paires de sorties. Le filtre actif séparé est commuté en mono et utilisé uniquement pour le filtrage passe-bas sur la voie de grave, les Polaris filtrent en passe-haut les Iroises.
En fait, j'ai deux filtres actifs, l'un avec des entrées/sorties RCA et l'autre avec des entrées/sorties XLR. Je garderais probablement les deux, car le second pourrait un jour me permettre de tirer de plus grandes longueurs de câbles afin d'éloigner le rack d'électroniques des enceintes et le rapprocher de la zone d'écoute. Pour le moment, j'utilise le filtre en RCA, en meilleur état esthétique.