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Re: Quel ampli pour Egéa 3 ?

Posté : mer. 28 déc. 2016 14:43
par Philippe MULLER
Je n'ai pas le souvenir de caissons si éloignés des Galion.

Re: Quel ampli pour Egéa 3 ?

Posté : mer. 28 déc. 2016 17:22
par Philippe MULLER
Au lieu d'ergoter sur les différences de son entre amplis qui font toujours débat depuis des dizaines d'années, ce qui prouve que ce n'est pas si clair que cela ou tellement ténu... il me semblerait très utile pour la communauté de connaître les amplis qui "sonnent" aussi bien que les autres et ceux qui "sonnent" de façon différente ou particulière.

Celui qui veut un très beau bestiau à la puissance illimitée sait qu'il le paiera cher. Quid des amplis qui sont moins jolis, qui font peut-être du bruit de ventilateurs... mais qui sont comparables pour moins cher ? Ceux-là permettraient de passer d'un modèle d'enceintes moyen à un autre meilleur. C'est un bel avantage car on peut aimer la belle musique bien reproduite et ne pas être riche ou ne pas (v)pouvoir y consacrer une fortune (cf. compte-rendu d'Oso dans sa famille ce week-end).

Malgré tout, il faut mettre une procédure de comparaison sérieuse au point sinon nous n'apprendrons rien, sauf que untel a une préférence pour un appareil. Un voltmètre et un sinus de 1kHz sur un CD ne sont pas chers, tout le monde peut en avoir. Le plus difficile est de concevoir un commutateur permettant de passer d'un ampli à l'autre sur la même paire d'enceintes. Il faut qu'il soit simple, peu couteux et efficace sinon personne ne le fera.

Toutes les idées seront les bienvenues.

Re: Quel ampli pour Egéa 3 ?

Posté : mer. 28 déc. 2016 17:45
par Scytales
Philippe MULLER a écrit : Malgré tout, il faut mettre une procédure de comparaison sérieuse au point sinon nous n'apprendrons rien, sauf que untel a une préférence pour un appareil. Un voltmètre et un sinus de 1kHz sur un CD ne sont pas chers, tout le monde peut en avoir. Le plus difficile est de concevoir un commutateur permettant de passer d'un ampli à l'autre sur la même paire d'enceintes. Il faut qu'il soit simple, peu couteux et efficace sinon personne ne le fera.
Il existe un projet très simple publié sur l'excellent site Elliot Sound et que les bricoleurs du dimanche peuvent réaliser : http://sound.whsites.net/absw.htm (le lien est en anglais).

Re: Quel ampli pour Egéa 3 ?

Posté : mer. 28 déc. 2016 17:58
par Philippe MULLER
C'est très intéressant! Le mien est un système réalisé par Cabasse à l'aide d'un très gros relai électrique enfermé dans une boîte insonorisée pour ne pas entendre le claquement mécanique.

Le problème c'est que de nombreux amateurs ont deux mains gauches (ou deux mains droites pour les gauchers). Il faudrait trouver un tutorial avec illustration pas à pas sinon peu se lanceront dans sa réalisation. En tous cas, les composants ne sont pas chers du tout, ça vaut le coup.

Re: Quel ampli pour Egéa 3 ?

Posté : mer. 28 déc. 2016 18:07
par peter77
il faudrait ouvrir un sujet dans le forum adéquat avec tout l’explicatif pour concevoir le boitier et écrire la procédure avant de faire des tests d'ampli.

Re: Quel ampli pour Egéa 3 ?

Posté : mer. 28 déc. 2016 20:23
par brett952
Philippe MULLER a écrit :Je n'ai pas le souvenir de caissons si éloignés des Galion.
Ce n'est peut-être pas vous qui êtes venu alors.....Qui à l'époque réalisait les réglages dès systèmes Etna chez les particuliers?

Re: Quel ampli pour Egéa 3 ?

Posté : mer. 28 déc. 2016 20:27
par Philippe MULLER
brett952 a écrit :
Philippe MULLER a écrit :Je n'ai pas le souvenir de caissons si éloignés des Galion.
Ce n'est peut-être pas vous qui êtes venu alors.....Qui à l'époque réalisait les réglages dès systèmes Etna chez les particuliers?
Quelle année ?

Re: Quel ampli pour Egéa 3 ?

Posté : mer. 28 déc. 2016 20:32
par brett952
Ce devait être en 1986-1987

Re: Quel ampli pour Egéa 3 ?

Posté : mer. 28 déc. 2016 20:33
par Philippe MULLER
brett952 a écrit :Ce devait être en 1986-1987
C'est donc moi, jusqu'à l'été 1996.

Re: Quel ampli pour Egéa 3 ?

Posté : mer. 28 déc. 2016 21:29
par selvageski
Philippe MULLER a écrit : Le plus difficile est de concevoir un commutateur permettant de passer d'un ampli à l'autre sur la même paire d'enceintes.

Toutes les idées seront les bienvenues.
Perso je ne crois pas à ce genre "d'appareil" , en tout cas je n'y accorde aucune confiance .

Je ne suis pas du tout un aficionados du son des câbles loin de là ...mais j'accorde une grande importance à la continuité du signal et à la qualité des contacts .
Rajouter 2-3 contacts, plus des morceaux de fil, entre les sorties des différents amplis et les enceintes... puis en conclure qu'ils sonnent de la même façon me parait ubuesque .
En tous cas c'est mon avis, que je partage pour moi tout seul ( tant qu'on ne me démontrera pas le contraire)


En cela je suis toujours resté circonspect quand aux expériences de Syber et Crao en ce domaine .

Test ABX ok .. mais on débranche et on rebranche .
Le problème c'est que c'est plus long ...et que la mémoire auditive a déjà disparue
On est pas sorti des ronces :oops: :oops:

Re: Quel ampli pour Egéa 3 ?

Posté : mer. 28 déc. 2016 21:35
par syber
La lumière d'une ampoule change t-elle selon l'interrupteur qui la commande et la nature du câble qui l'alimente ?




Franchement, arrêtez de perdre votre temps avec ces billevesées ! :wink:

Re: Quel ampli pour Egéa 3 ?

Posté : mer. 28 déc. 2016 21:50
par Ubu
selvageski a écrit :
Philippe MULLER a écrit : Le plus difficile est de concevoir un commutateur permettant de passer d'un ampli à l'autre sur la même paire d'enceintes.

Toutes les idées seront les bienvenues.
Perso je ne crois pas à ce genre "d'appareil" , en tout cas je n'y accorde aucune confiance .

Je ne suis pas du tout un aficionados du son des câbles loin de là ...mais j'accorde une grande importance à la continuité du signal et à la qualité des contacts .
Rajouter 2-3 contacts, plus des morceaux de fil, entre les sorties des différents amplis et les enceintes... puis en conclure qu'ils sonnent de la même façon me parait ubuesque .
En tous cas c'est mon avis, que je partage pour moi tout seul ( tant qu'on ne me démontrera pas le contraire)


En cela je suis toujours resté circonspect quand aux expériences de Syber et Crao en ce domaine .

Test ABX ok .. mais on débranche et on rebranche .
Le problème c'est que c'est plus long ...et que la mémoire auditive a déjà disparue
On est pas sorti des ronces :oops: :oops:
Prenons deux amplis différents. Admettons que le commutateur change le son obtenu.
Y a t-il une chance pour que cette différence introduite ne soit non seulement pas la même pour chacun des deux amplis mais pour qu'en plus elle puisse les rendre identiques ? :brick:

Re: Quel ampli pour Egéa 3 ?

Posté : mer. 28 déc. 2016 21:53
par selvageski
Mon ampoule même avec du fil de fer elle s'allume ...

jamais essayé sur les enceintes ni les amplis ...mais tu as peut être raison :wink:

Re: Quel ampli pour Egéa 3 ?

Posté : mer. 28 déc. 2016 21:55
par brett952
Des cables en platine sinon rien moi je vous dit! :::terroir

Re: Quel ampli pour Egéa 3 ?

Posté : mer. 28 déc. 2016 21:57
par selvageski
Ubu a écrit :
selvageski a écrit :
Philippe MULLER a écrit : Le plus difficile est de concevoir un commutateur permettant de passer d'un ampli à l'autre sur la même paire d'enceintes.

Toutes les idées seront les bienvenues.
Perso je ne crois pas à ce genre "d'appareil" , en tout cas je n'y accorde aucune confiance .

Je ne suis pas du tout un aficionados du son des câbles loin de là ...mais j'accorde une grande importance à la continuité du signal et à la qualité des contacts .
Rajouter 2-3 contacts, plus des morceaux de fil, entre les sorties des différents amplis et les enceintes... puis en conclure qu'ils sonnent de la même façon me parait ubuesque .
En tous cas c'est mon avis, que je partage pour moi tout seul ( tant qu'on ne me démontrera pas le contraire)


En cela je suis toujours resté circonspect quand aux expériences de Syber et Crao en ce domaine .

Test ABX ok .. mais on débranche et on rebranche .
Le problème c'est que c'est plus long ...et que la mémoire auditive a déjà disparue
On est pas sorti des ronces :oops: :oops:
Prenons deux amplis différents. Admettons que le commutateur change le son obtenu.
Y a t-il une chance pour que cette différence introduite ne soit non seulement pas la même pour chacun des deux amplis mais pour qu'en plus elle puisse les rendre identiques ? :brick:
ben suis pas loin de penser que oui ...

Re: Quel ampli pour Egéa 3 ?

Posté : mer. 28 déc. 2016 21:59
par Philippe MULLER
selvageski a écrit : Perso je ne crois pas à ce genre "d'appareil" , en tout cas je n'y accorde aucune confiance .

Je ne suis pas du tout un aficionados du son des câbles loin de là ...mais j'accorde une grande importance à la continuité du signal et à la qualité des contacts .
Rajouter 2-3 contacts, plus des morceaux de fil, entre les sorties des différents amplis et les enceintes... puis en conclure qu'ils sonnent de la même façon me parait ubuesque .
En tous cas c'est mon avis, que je partage pour moi tout seul ( tant qu'on ne me démontrera pas le contraire)


En cela je suis toujours resté circonspect quand aux expériences de Syber et Crao en ce domaine .

Test ABX ok .. mais on débranche et on rebranche .
Le problème c'est que c'est plus long ...et que la mémoire auditive a déjà disparue
On est pas sorti des ronces :oops: :oops:
Essayez avant de déclarer que ça ne marche pas ! Pour le moment, vous ne faites rien avancer. Votre électronique comporte des centaines de contacts et bouts de fils et, malgré cela, on lit que tel ampli est fidèle, transparent, dynamique, formidable, épatant et j'en passe des plus ridicules.
Alors, si des milliers de contacts, de bouts de fils et de composants permettent de faire des lecteurs transparents et des amplis limpides pour passer des enregistrement qui sont passées à travers des kilomètres de câbles et des dizaines d'appareils entre le musicien et le CD, dites-moi comment quatre contacts et deux bouts de fils peuvent soudainement massacrer ce si beau signal qui a pu traverser les pires turpitudes sans devenir inécoutable ? De grâce, un peu de sérieux s'il vous plaît !

Essayez, essayez d'abord et puis nous en reparlerons.

Je comprends le ras-le-bol de Syber et je le partage.

Re: Quel ampli pour Egéa 3 ?

Posté : mer. 28 déc. 2016 21:59
par Ubu
Pour en avoir le cœur net, il faudrait faire un ABX entre différents commutateurs. Il faudrait néanmoins trouver une solution pour commuter les commutateurs sans utiliser de commutateurs pour ne pas introduire de biais oust

Re: Quel ampli pour Egéa 3 ?

Posté : mer. 28 déc. 2016 22:01
par Philippe MULLER
La continuité, ça se vérifie.

Re: Quel ampli pour Egéa 3 ?

Posté : mer. 28 déc. 2016 22:01
par brett952
Ubu a écrit :Pour en avoir le cœur net, il faudrait faire un ABX entre différents commutateurs. Il faudrait néanmoins trouver une solution pour commuter les commutateurs sans utiliser de commutateurs pour ne pas introduire de biais oust
:ptdr:

Re: Quel ampli pour Egéa 3 ?

Posté : jeu. 29 déc. 2016 10:42
par syber
Je viens de tomber à l'instant sur cet article du Monde : http://passeurdesciences.blog.lemonde.f ... a-science/

Je reproduis ici, la partie de l'article qui fait écho à notre conversation.

Peut-on entendre ce à quoi l'on croit de la même manière que l'on peut voir ce à quoi l'on croit ? :wink:
Ces travaux ne font que confirmer la capacité de l’esprit humain à échafauder les plus incroyables théories pour éviter que ne soient détruites les principales idées qui le structurent. De nombreux exemples existent mais celui que je préfère est une histoire d’astronomes qui avaient vu un objet volant non identifié. C’est un Canadien, John Woolley, qui la raconte et je me permets d’en reproduire de larges extraits ici, comme je l’avais fait en 2010 dans mon précédent blog. L’histoire remonte au milieu des années 1970, époque à laquelle John Woolley travaillait dans le groupe d’astrophysique de l’université d’Alberta. Un crédit avait été obtenu pour doter l’observatoire d’un nouveau télescope et l’ancien instrument avait été installé sur le toit d’un autre bâtiment pour des cours ou des sessions d’astronomie ouvertes au public. Un soir, après l’une d’entre elles, John Woolley et un étudiant contemplaient le ciel à l’œil nu lorsqu’une escadrille de quatre ovnis, sortie de nulle part, passa au-dessus d’eux avant de disparaître subitement.

« Les ovnis étaient ronds et blancs, se souvient John Woolley, et ils volaient en formation diamant : un devant, deux sur les côtés et un qui fermait la marche. Ils ont balayé environ 90 degrés de ciel en moins de trois secondes. » Les deux hommes échangèrent quelques mots :

L’étudiant : « Ahhh, tu as vu ça ? »

John Woolley : « Ouais, j’ai vu ça, d’accord. »

L’étudiant : « Okaaay. C’était quoi ? »

John Woolley : « Je ne sais pas, mais gardons les yeux ouverts. Ils vont peut-être revenir. »

Et les deux hommes de scruter le ciel, non plus pour regarder les étoiles, mais pour chercher ce qui était alors, au sens littéral de l’expression, des objets volants non identifiés. Ceux-ci mesuraient chacun un quart de degré, étaient séparés les uns des autres d’environ 5 degrés mais, dans ce ciel sans nuage, rien ne permettait d’estimer la distance à laquelle ils se trouvaient. Soit ils étaient très proches et petits, auquel cas leur vitesse était relativement modeste, soit ils étaient lointains, volumineux et très rapides. John Woolley et son acolyte auraient pu se demander toute leur vie ce qu’ils avaient vu. Heureusement pour eux, les quatre ovnis revinrent. C’étaient quatre pigeons.

« Voir ce à quoi on croit »

Voici l’analyse que John Woolley fait de cette histoire : « C’est un cas classique de “Voir ce à quoi on croit”. J’ai tendance à considérer l’information issue de nos sens comme passant à travers des filtres – ou comme étant mise en forme par nos cerveaux – tout comme nous essayons de donner du sens à tout ce qui se passe autour de nous. Cela signifie que la même information sensorielle peut être interprétée assez différemment par nos cerveaux suivant les occasions, suivant les filtres ou les formes qui opèrent à ces moments donnés. Dans le cas de nos pigeons, la lumière de l’éclairage public, en dessous de nous, nous était renvoyée bien mieux par le ventre blanc et rond des pigeons que par le reste de leur corps, ce qui faisait ressortir bien plus les ventres sur le ciel noir. Aussitôt que nous avons vu les quatre objets blancs, un filtre ovni a surgi dans nos cerveaux. Il est absolument extraordinaire de voir avec quelle efficacité le filtre ovni a évacué le reste des pigeons. Au premier passage, on n’avait pas le moindre soupçon sur le fait qu’il puisse s’agir de pigeons. Au moment où ils ont effectué leur second passage, chacun de nous était parvenu à mettre de côté le filtre ovni et à le remplacer par un filtre plus du genre “OK, que regardons-nous vraiment ?” Alors que les pigeons approchaient de nouveau, ces ventres ronds et blancs étaient si fascinants qu’il fallut beaucoup de concentration pour voir au-delà d’eux le reste des pigeons. »

L’histoire est déjà instructive mais elle ne s’arrête pas là… « Quelque temps plus tard, pendant une séance d’observation publique, j’étais de nouveau sur le toit en train de regarder le ciel. A côté de moi se tenait un jeune d’environ 14 ans, lorsqu’un pigeon solitaire vola au-dessus de nos têtes. Le garçon se retourna vers moi et me dit : “Waouh ! Vous avez vu ça ? Un ovni vient juste de traverser la Grande Ourse !” “Oui”, ai-je répondu, “cela arrive de temps en temps ici, et il s’avère que ce ne sont pas des ovnis mais des pigeons”. Je me suis ensuite lancé dans l’explication des ventres blancs qui reflétaient la lumière et des filtres dans le cerveau qui sélectionnaient les données, etc, etc. Bien que cet événement se soit passé environ deux décennies avant la sortie de Men In Black, j’ai dû faire une assez bonne imitation du personnage tenu par Will Smith qui essaie de convaincre quelqu’un qu’il n’a pas vu ce qu’il vient juste de voir, parce que ce garçon ne croyait rien de ce que je lui disais. Il savait ce qu’il avait vu (perçu, en réalité) et il n’avait certainement vu aucun pigeon. Son incrédulité totale vis-à-vis de ce qu’il entendait se lisait sur son visage. Je pouvais quasiment voir les engrenages tourner dans sa tête, alors qu’il tentait de mettre en adéquation ce que je lui disais avec ce qu’il avait vu (perçu). »

« Pendant qu’il essayait de trouver ce qui se passait, poursuit John Woolley, l’expression sur son visage passa graduellement de l’incrédulité à la compréhension puis à l’”Eureka !”. Il recula alors d’un pas, pointa un doigt vers moi et cria : “VOUS FAITES PARTIE DE LA CONSPIRATION !” J’étais tellement déconcerté que je ne pus donner de meilleure réponse que “NON, NON, honnêtement, c’était un pigeon !” Il tourna le dos et s’en alla, apparemment convaincu de deux choses. Premièrement que des soucoupes volantes nous rendaient visite et, deuxièmement, qu’existait un vaste complot destiné à cacher cette information au grand public. Et tout ça parce qu’il n’avait pas su reconnaître un pigeon. »

Quand on veut croire dur comme fer à quelque chose, rien, pas même la plus rationnelle des démonstrations, ne pourra vous faire changer d’avis, de filtre, de structure mentale. Il est si difficile d’envoyer ses convictions par-dessus les moulins, si rassurant de les protéger, qu’on préférera imaginer des complots abracadabrants, comme le fait que le réchauffement climatique est un canular inventé par les Chinois, plutôt que de regarder la vérité en face.

Pierre Barthélémy