Studio Passavant de Mr Philippe MULLER [la discussion]
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Re: studio Passavant de Mr Philippe MULLER [la discussion]
Si vous écoutez des CD, l'important est de trouver un appareil performant jusque 16 bits. Et c'est le cas pour tous ceux que vous avez sélectionnés.
Si le Mac de vos rêves n'est pas très bon au-delà, c'est normal que vous ne vous en aperceviez pas puisque les enregistrements ne vont pas jusque là. L'essentiel est que vos CD puissent être bien reproduits et pour cela, 16 bits suffisent.
Si le Mac de vos rêves n'est pas très bon au-delà, c'est normal que vous ne vous en aperceviez pas puisque les enregistrements ne vont pas jusque là. L'essentiel est que vos CD puissent être bien reproduits et pour cela, 16 bits suffisent.
Re: studio Passavant de Mr Philippe MULLER [la discussion]
Bonjour,
Je remercie Philippe Muller d'avoir remarqué ma filière sur HCFR et de l'avoir signalée ici, sur "son" propre fil de discussion.
Je souscris à ce qu'il vient d'écrire.
Je précise que mon intention première était de réaliser un document qui permette aux personnes peu versées dans la technique de constater visuellement de manière simple et rapide ce que représente une échelle en bits et de prendre conscience qu'il est très difficile de préserver à la conversion une précision qui atteint vraiment les 24 bits, un chiffre aujourd'hui devenu un argument promotionnel (plus que technique) très courant pour vendre de la "haute définition".
Je remercie Philippe Muller d'avoir remarqué ma filière sur HCFR et de l'avoir signalée ici, sur "son" propre fil de discussion.
Je souscris à ce qu'il vient d'écrire.
Je précise que mon intention première était de réaliser un document qui permette aux personnes peu versées dans la technique de constater visuellement de manière simple et rapide ce que représente une échelle en bits et de prendre conscience qu'il est très difficile de préserver à la conversion une précision qui atteint vraiment les 24 bits, un chiffre aujourd'hui devenu un argument promotionnel (plus que technique) très courant pour vendre de la "haute définition".
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Re: studio Passavant de Mr Philippe MULLER [la discussion]
Votre synthèse est fort appréciable Scylates dans cette jungle où il est toujours très difficile de faire un choix.
Je ne comprend pas pourquoi les mesures ne sont pas proportionnelles par rapport à la montée en gamme chez un constructeur. Je prends l'exemple ici de Marantz, où la platine 7003 semble mieux réussie que ses "grandes sœurs" :
Y auraient ils d'autres critères à prendre en compte que ces tests dans le choix de son matériel. Je ne parle pas d'esthétique, ou d'accessoires domotiques mais uniquement d'un point de vue technique et fidélité de reproduction.
Je ne comprend pas pourquoi les mesures ne sont pas proportionnelles par rapport à la montée en gamme chez un constructeur. Je prends l'exemple ici de Marantz, où la platine 7003 semble mieux réussie que ses "grandes sœurs" :
Y auraient ils d'autres critères à prendre en compte que ces tests dans le choix de son matériel. Je ne parle pas d'esthétique, ou d'accessoires domotiques mais uniquement d'un point de vue technique et fidélité de reproduction.
Re: studio Passavant de Mr Philippe MULLER [la discussion]
Les quatre modèles de Marantz ne me paraissent pas très différents : ils divergent à peu près vers 17/18 bits sur CD. Comme ils sont dotés du même convertisseur, ce n'est finalement pas très étonnant et montre que le constructeur maîtrise ses processus de fabrication. S'il fallait en désigner un meilleur qu'un autre, je dirais que c'est le dernier : il n'y a qu'une erreur localisée vers 16/17 bits sur chaque canal avant que l'appareil ne dévie franchement de la linéarité à 20 bits. Il faudrait comparer le détails des mesures des quatre appareils pour confirmer cette impression. Mais comme un CD est sur 16 bits, ce qui se passe en-dessous n'est pas si grave. Il ne faut pas oublier que la mesure à moins de -100 dB (ou plus exactement à moins de -98 dB) à partir d'un CD est forcément réalisée grâce à des signaux mélangés à du dithering. Je ne suis pas sûr que le dithering aide à entendre d'hypothétiques signaux musicaux à des niveaux aussi bas, mais je suis sûr qu'il doit bien aider à diminuer les erreurs de quantification lors du passage de 24 bits (ou plus), format de travail dans les studios modernes, à 16 bits pour produire un CD. Après, c'est vrai que les erreurs de linéarité à bas niveau peuvent être corrélées à d'autres formes de distorsion (harmonique, artefacts de conversion) qui limitent la dynamique utile, mais on peut le vérifier à partir d'une autre spécification (j'ai en projet un nouveau tableau à ce sujet).
De toutes, façon, il faut savoir raison garder : si les défauts sont situés à des niveaux inaudibles, la seule raison de s'en inquiéter ce n'est pas de vérifier un risque de détérioration des qualités sonores, mais éventuellement de vérifier que le prix de l'appareil est en rapport avec ses performances objectives.
Un convertisseur est en soit un objet technique très compliqué et sa mise en place dans l'environnement électronique d'un appareil complet est tout aussi compliquée. Les possibilités de créer des source de distorsion qui amoindrissent les performances sont très nombreuses. Mais, encore une fois, il faut vérifier si les défauts sont à des niveaux audibles ou pas. Je crois qu'il y a un papier de l'Audio Engineering Society (AES) au sujet de la résolution minimale pour éviter toute forme de distorsion audible, mais je n'y ai pas accédé (les papiers de l'AES sont payants. Pourquoi pas si on s'intéresse aux études académiques ?).
A mon avis, les premiers critères techniques à regarder sont, comme pour les amplificateurs, préamplificateurs, et autres électroniques, la distorsion et le rapport signal/bruit à haut niveau. Pourquoi à haut niveau ? Parce qu'en numérique, il est toujours avantageux de rester au plus près du 0 dFS (le niveau maximum en numérique), car c'est là que la distorsion et le bruit sont en principe minimaux, et d'atténuer ensuite le signal si son niveau est trop élevé.
De toutes, façon, il faut savoir raison garder : si les défauts sont situés à des niveaux inaudibles, la seule raison de s'en inquiéter ce n'est pas de vérifier un risque de détérioration des qualités sonores, mais éventuellement de vérifier que le prix de l'appareil est en rapport avec ses performances objectives.
Un convertisseur est en soit un objet technique très compliqué et sa mise en place dans l'environnement électronique d'un appareil complet est tout aussi compliquée. Les possibilités de créer des source de distorsion qui amoindrissent les performances sont très nombreuses. Mais, encore une fois, il faut vérifier si les défauts sont à des niveaux audibles ou pas. Je crois qu'il y a un papier de l'Audio Engineering Society (AES) au sujet de la résolution minimale pour éviter toute forme de distorsion audible, mais je n'y ai pas accédé (les papiers de l'AES sont payants. Pourquoi pas si on s'intéresse aux études académiques ?).
A mon avis, les premiers critères techniques à regarder sont, comme pour les amplificateurs, préamplificateurs, et autres électroniques, la distorsion et le rapport signal/bruit à haut niveau. Pourquoi à haut niveau ? Parce qu'en numérique, il est toujours avantageux de rester au plus près du 0 dFS (le niveau maximum en numérique), car c'est là que la distorsion et le bruit sont en principe minimaux, et d'atténuer ensuite le signal si son niveau est trop élevé.
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Re: studio Passavant de Mr Philippe MULLER [la discussion]
Qu'utilises tu comme Dac Scytales?
Re: studio Passavant de Mr Philippe MULLER [la discussion]
J'utilise le même appareil depuis plus de dix ans : un lecteur de CD/SA-CD Sony SCD-555ES qui contient un des derniers systèmes de conversion N/A propres à Sony (une association de puces CXD8762, CXD9521 et CXA8042).BowiePop a écrit :Qu'utilises tu comme Dac Scytales?
Modifié en dernier par Scytales le ven. 14 août 2015 21:49, modifié 1 fois.
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Re: studio Passavant de Mr Philippe MULLER [la discussion]
Cette platine m'a toujours fait saliverScytales a écrit :J'utilise le même appareil depuis plus de dix ans : un lecteur de CD/SA-CD Sony SCD-555ES qui contient un des derniers systèmes de conversion N/A propres à Sony (une association de puces CXD9762, CXD9521 et CXA8042).BowiePop a écrit :Qu'utilises tu comme Dac Scytales?
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Re: studio Passavant de Mr Philippe MULLER [la discussion]
Et de mémoire c'est l'une des rare platine dédiée avec sortie analogique 5.1 pour le SACD.
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Re: studio Passavant de Mr Philippe MULLER [la discussion]
Pour en revenir au studio Passavant, je vous conseille ce numéro 74 de janvier 2013 du magasine Stéréo Prestige avec un article fort intéressant de 5 pages sur "La chaine numérique : De la prise de son analogique au studio master" par T. Gluzman avec de jolies photos du studio Passavant et les explications de M. Muller sur la relation entre le choix d’échantillonnage final par rapport aux soins apportés à l'environnement technique de la prise de son, que j'ai relu un peu par hasard cette semaine.
J'ai appris que le magazine Stereo Prestige n'existait plus, c'est dommage.
Très pratique pour s'occuper quand on emmène les enfants à la plage par exemple!
J'ai appris que le magazine Stereo Prestige n'existait plus, c'est dommage.
Très pratique pour s'occuper quand on emmène les enfants à la plage par exemple!
Re: studio Passavant de Mr Philippe MULLER [la discussion]
Non, stéréo 2.0 seulement. La photo ci-dessus montre l'arrière d'un changeur 5 plateaux SCD-C222ES.Jonathans a écrit :Et de mémoire c'est l'une des rare platine dédiée avec sortie analogique 5.1 pour le SACD.
On est un peu loin du studio Passavant, non ?
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Re: studio Passavant de Mr Philippe MULLER [la discussion]
Je corrige cette anomalie, désolé !
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Re: studio Passavant de Mr Philippe MULLER [la discussion]
C'est à cette occasion que nous avions constaté qu'en l'état actuel de la technologie, et malgré un environnement très soigné, il était quasiment impossible de différencier la version HD de la version CD du même Master réalisé à Passavant.BowiePop a écrit :Pour en revenir au studio Passavant, je vous conseille ce numéro 74 de janvier 2013 du magasine Stéréo Prestige avec un article fort intéressant de 5 pages sur "La chaine numérique : De la prise de son analogique au studio master" par T. Gluzman avec de jolies photos du studio Passavant et les explications de M. Muller sur la relation entre le choix d’échantillonnage final par rapport aux soins apportés à l'environnement technique de la prise de son, que j'ai relu un peu par hasard cette semaine.
J'ai appris que le magazine Stereo Prestige n'existait plus, c'est dommage.
Très pratique pour s'occuper quand on emmène les enfants à la plage par exemple!
En tous cas, les conclusions sont invariablement les mêmes quand les comparaisons sont faites sérieusement et en vérifiant que les deux copies proviennent exactement du même Master: soit il n'y a pas de différences, soit c'est très incertain.
Peut-être qu'un jour les haut-parleurs auront moins de distorsions, à supposer que ce soit elles qui masquent les différences.
Re: studio Passavant de Mr Philippe MULLER [la discussion]
M. Muller, est-ce que vous connaissez ces deux papiers édités par Brüel & Kjaer : Svend Gade, "Sound Intensity, Part 1: Theory," and "Sound Intensity, Part 2: Instrumentation and Applications." ?
Malheureusement, je n'arrive pas à dénicher ces documents sur l'Internet. Ils sont cités par Edmund Meitner dans un vieil entretien à Stereophile que j'ai relu (lien) et ce qu'il vulgarise à partir de ces papiers a suscité ma curiosité. En particulier, la description du dispositif de prise de son (2 microphones disposés à une distance précise l'un de de l'autre) me fait irrésistiblement penser à la technique de prise de son pour deux canaux que vous utilisez, ainsi que d'autres. Est-ce qu'il y a des connexions entre ces méthodes ?
Malheureusement, je n'arrive pas à dénicher ces documents sur l'Internet. Ils sont cités par Edmund Meitner dans un vieil entretien à Stereophile que j'ai relu (lien) et ce qu'il vulgarise à partir de ces papiers a suscité ma curiosité. En particulier, la description du dispositif de prise de son (2 microphones disposés à une distance précise l'un de de l'autre) me fait irrésistiblement penser à la technique de prise de son pour deux canaux que vous utilisez, ainsi que d'autres. Est-ce qu'il y a des connexions entre ces méthodes ?
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Re: studio Passavant de Mr Philippe MULLER [la discussion]
Je ne connais pas ces papiers.
La méthode employée à Passavant est simple, héritée des séances de Live Music: 2 micros écartés comme les enceintes. La suite ressemble à ce qui peut se passer quand on confie le même appareil photo à des dizaines de photographes plus ou moins expérimentés: ça va du très bon au franchement mauvais parce que la technique ne remplace pas le bon goût, elle le sert. La mise en œuvre est assez compliquée; il faut doser l'absence de trou entre les deux canaux, la profondeur, le rapport champ direct / champ réfléchi etc... Il faut prévoir ce qui arrivera et cela requiert de la pratique, car tout se joue souvent à un ou deux centimètres près, ce qui peut surprendre quand les micros sont écartés de plusieurs mètres. Ma chance fut de bien connaître GC, François Bellec et Bernard Neveu, tous trois adeptes exclusifs de ce principe. Leur expérience m'a beaucoup appris.
EMORY COOK:
Une maison de disques totalement oubliée de nos jours Cook Records enregistrait comme cela de 1952 à 1966. Son catalogue fait une large place à la musique de genre mais l'expérience fut assez intéressante. Cook réalisa un bras stéréo pour platine muni de deux cellules mono indépendantes pour reproduire de la vraie stéréo, y compris dans les basses; bien entendu, les disques disposaient de deux sillons. Les prises de son d'Emory Cook présentaient une forte séparation gauche/droite et pas beaucoup de centre mais il faut se souvenir qu'il s'agissait des débuts de la stéréo et que, pour faire le spectacle, il fallait entendre fortement le relief et on ne s'en privait pas (comme au débuts du home-cinéma avec des ambiances à la tonne).
Si cette aventure parallèle aux débuts de Cabasse vous intéresse, ne manquez pas: http://www.roger-russell.com/cook/cook.htm et http://www.preservationsound.com/?p=5695 http://www.roger-russell.com/cook/cook2.htm http://www.roger-russell.com/cook/cook3.htm ... et sans doute d'autres contributions.
Les disques Cook faisaient la joie des démonstrateurs américains pendant les salons hifi, notamment son enregistrement de locomotives qui faisait, paraît-il, sensation dans le stand Bozak.
La méthode employée à Passavant est simple, héritée des séances de Live Music: 2 micros écartés comme les enceintes. La suite ressemble à ce qui peut se passer quand on confie le même appareil photo à des dizaines de photographes plus ou moins expérimentés: ça va du très bon au franchement mauvais parce que la technique ne remplace pas le bon goût, elle le sert. La mise en œuvre est assez compliquée; il faut doser l'absence de trou entre les deux canaux, la profondeur, le rapport champ direct / champ réfléchi etc... Il faut prévoir ce qui arrivera et cela requiert de la pratique, car tout se joue souvent à un ou deux centimètres près, ce qui peut surprendre quand les micros sont écartés de plusieurs mètres. Ma chance fut de bien connaître GC, François Bellec et Bernard Neveu, tous trois adeptes exclusifs de ce principe. Leur expérience m'a beaucoup appris.
EMORY COOK:
Une maison de disques totalement oubliée de nos jours Cook Records enregistrait comme cela de 1952 à 1966. Son catalogue fait une large place à la musique de genre mais l'expérience fut assez intéressante. Cook réalisa un bras stéréo pour platine muni de deux cellules mono indépendantes pour reproduire de la vraie stéréo, y compris dans les basses; bien entendu, les disques disposaient de deux sillons. Les prises de son d'Emory Cook présentaient une forte séparation gauche/droite et pas beaucoup de centre mais il faut se souvenir qu'il s'agissait des débuts de la stéréo et que, pour faire le spectacle, il fallait entendre fortement le relief et on ne s'en privait pas (comme au débuts du home-cinéma avec des ambiances à la tonne).
Si cette aventure parallèle aux débuts de Cabasse vous intéresse, ne manquez pas: http://www.roger-russell.com/cook/cook.htm et http://www.preservationsound.com/?p=5695 http://www.roger-russell.com/cook/cook2.htm http://www.roger-russell.com/cook/cook3.htm ... et sans doute d'autres contributions.
Les disques Cook faisaient la joie des démonstrateurs américains pendant les salons hifi, notamment son enregistrement de locomotives qui faisait, paraît-il, sensation dans le stand Bozak.
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ENREGISTREMENT LIVE à PASSAVANT le 30 octobre (JAZZ)
On me demande souvent s'il est possible d'assister à une prise de son. En règle générale les musiciens ne sont pas d'accord parce qu'ils ont besoin de concentration.
Cependant il nous arrive de réaliser des enregistrements en public et ce sera le cas avec le pianiste Pierre-Yves Plat, musicien déjanté, spécialiste du Boogie-Woogie (il fut l'élève de Fabrice Eulry), dont la spécialité est le détournement musical.
Il a déjà enregistré chez nous et souhaite remettre le couvert.
Pierre-Yves fut la doublure pianistique (les mains) de Gad Elmaleh dans le film Un bonheur n’arrive jamais seul » avec Sophie Marceau.
Cet artiste est très spectaculaire et drôle; on ne s'ennuiera pas. Un projecteur permettra de suivre les mains sur le clavier.
L'ambiance de nos Live est très sympathique, la majorité des spectateurs étant constituée d'habitués qui nous suivent depuis plus de dix-sept ans. Cela fait davantage club que salle de concert.
Rendez-vous vendredi 30 octobre à 19h30 au Studio à Passavant (Doubs). Une participation assez symbolique sera demandée (13€ - gratuit pour les enfants) mais il y aura de quoi grignoter et s'hydrater (c'est compris dans la participation). Si vous êtes intéressés, faites-le savoir par MP.
Attention ! le nombre de places est limité à 100 et nous avons déjà pas mal de réservations.
Pour mieux connaître Pierre-Yves Plat: http://www.pierreyvesplat.com/
Cependant il nous arrive de réaliser des enregistrements en public et ce sera le cas avec le pianiste Pierre-Yves Plat, musicien déjanté, spécialiste du Boogie-Woogie (il fut l'élève de Fabrice Eulry), dont la spécialité est le détournement musical.
Il a déjà enregistré chez nous et souhaite remettre le couvert.
Pierre-Yves fut la doublure pianistique (les mains) de Gad Elmaleh dans le film Un bonheur n’arrive jamais seul » avec Sophie Marceau.
Cet artiste est très spectaculaire et drôle; on ne s'ennuiera pas. Un projecteur permettra de suivre les mains sur le clavier.
L'ambiance de nos Live est très sympathique, la majorité des spectateurs étant constituée d'habitués qui nous suivent depuis plus de dix-sept ans. Cela fait davantage club que salle de concert.
Rendez-vous vendredi 30 octobre à 19h30 au Studio à Passavant (Doubs). Une participation assez symbolique sera demandée (13€ - gratuit pour les enfants) mais il y aura de quoi grignoter et s'hydrater (c'est compris dans la participation). Si vous êtes intéressés, faites-le savoir par MP.
Attention ! le nombre de places est limité à 100 et nous avons déjà pas mal de réservations.
Pour mieux connaître Pierre-Yves Plat: http://www.pierreyvesplat.com/
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Re: studio Passavant de Mr Philippe MULLER [la discussion]
Je tiens à préciser que l'enregistrement sera réalisé dans les règles de l'Art de la Live Music Cabasse: deux micros omnis (B&K ou Schoeps) écartés comme des enceintes.
Le Studio de Passavant a été pensé pour cela.
Les réactions du public seront captées, c'est même souhaité.
PM
Le Studio de Passavant a été pensé pour cela.
Les réactions du public seront captées, c'est même souhaité.
PM
Re: studio Passavant de Mr Philippe MULLER [la discussion]
Je serai présent à cette soirée, qui s'annonce fabuleuse. Je me réjoui d'y être.
Je ferai un petit compte rendu et si j'y arrive (et je peux), quelques photos.
Je ferai un petit compte rendu et si j'y arrive (et je peux), quelques photos.
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Re: studio Passavant de Mr Philippe MULLER [la discussion]
Super Tof !
J'attends ton CR et les photos
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Re: studio Passavant de Mr Philippe MULLER [la discussion]
Assister au concert qui donnera lieu à la publication d'un enregistrement hifi n'est pas très fréquent.
Le Steinway D Grand Concert ne sera pas sonorisé, c'est assez rare en jazz pour être signalé.
Le problème de l'audiophile qui n'écoute pas de Classique, c'est qu'il n'a pas souvent l'occasion d'entendre la musique autrement qu'à travers des haut-parleurs. Comme notre piano est le même instrument que celui que l'on peut entendre en pure acoustique à la Philharmonie de Paris, Carnegie Hall ou le Musikverein et que nous ne pouvons pas accueillir plus de cent personnes (ce qui n'est pas si mal pour un studio), la puissance potentielle de l'instrument sera amplement suffisante pour l'entendre au naturel.
Le Steinway D Grand Concert ne sera pas sonorisé, c'est assez rare en jazz pour être signalé.
Le problème de l'audiophile qui n'écoute pas de Classique, c'est qu'il n'a pas souvent l'occasion d'entendre la musique autrement qu'à travers des haut-parleurs. Comme notre piano est le même instrument que celui que l'on peut entendre en pure acoustique à la Philharmonie de Paris, Carnegie Hall ou le Musikverein et que nous ne pouvons pas accueillir plus de cent personnes (ce qui n'est pas si mal pour un studio), la puissance potentielle de l'instrument sera amplement suffisante pour l'entendre au naturel.