C'est vrai, c'était mieux avantsyber a écrit :Quoique depuis 1992 ...
Ecoutes du jour, 2006 - 2007 - 2008
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Bonsoir à tous
Je poursuis donc le survol de mes écoutes de cet été, nous passons au classique et puis dans quelques temps au Jazz.
Classique :
GRIEG Danses symphonic 2 et les suites, Sir Thomas BEECHAM.
SAINT SAENS Havanaise et Capriccio Sarah CHANG
SCHUBERT Sonate pour arpeggione et piano par Mtislav ROSTROPOVITCH et Benjamin BRITTEN ainsi que le trio opus 100 par STERN, ISTOMIN, ROSE.
MOZART Sérénade GRAN PARTITA par Frans BRUGGEN.
KETELBEY Albert In a monastery garden. (pièces d'inspiration classique mais bien plus récentes : 1875/1959)
Avec une certaine lenteur nous changeons de monde et encore plus progressivement de langage.
Ce n'est plus la commande du Prince qui régit la création, le compositeur quitte la fonction de serviteur.
Bien sur prendre son autonomie implique de garder des moyens de subsistance et pour un compositeur l'obligation de la vente et du concert se profile.
Et ils ont énormément peiné et bien longtemps mais ce n'est pas très étonnant, il n'y avait que peu de public, il fallait le sortir de l'église.
Mais même aujourd'hui les artistes ont du mal, au moins pour certains...alors pour eux...
Donc l'on trouve chez Mozart Beethoven Schubert des moments de difficultés et quelques commandes véritablement bienvenues.
Pour Beethoven, l'aristocratie de l'époque s'est regroupée à plusieurs pour lui verser une rente !!!
Enfin cela bouge quand même, et par exemple l'extension de l'orchestre se confirme, les symphonies de 20 mn chez Mozart passent à 40mn et plus chez Beethoven et Schubert.
Toutes ces pièces dont je vous ai mis le titre sont vraiment des moments de grace absolue, très connues certes, mais ce n'est pas pour rien.
Tout de même un peu en dehors des grandes oeuvres mondialement connues. Elles n'en recèlent pas moins des trésors de beautés indicibles.
Il devient évident que nous ne sommes plus du tout dans l'illustration d'un texte mais de plus en plus sur des expressions personnelles de haut niveau d'intériorité offertes en partage, difficultés et rève de monde meilleur, combat pour le bonheur, fraternité active et espoirs de paradis, solitude désespérée et communication par l'amour ou l'empathie. Bien d'autres types d'émotions également
Bon, je vous laisse écouter et vous mettrez par vous-même vos appréciations si vous décidez d'y faire un tour, quand bien même vous ne vous interesseriez qu'à l'aspect beauté ou à celui "j'aime ou j'aime pas" !,
impossible de ne pas ressentir la profondeur de ces musiques et la variété stupéfiante des mélodies et des trouvailles de leurs orchestrations.
GRIEG est une surprise dans la gestion des nappes orchestrales et sa subtilité des variations d'atmosphère, SAINT SAENS, est un vrai mélodiste et son orchestration me rappelle quelques fois une influence Wagnérienne, SCHUBERT, oui, incontournable une inspiration exceptionnelle je le mettrais comme le meilleur des mélodistes, en pertpétuel renouvellement, MOZART n'est plus a présenter, un des plus grand génie de tous les temps.
KETELBEY, ne joue pas dans la même cour mais bien agréable et belle fraicheur d'inspiration.
Tout cela n'étant qu'issu de mes oreilles, pour les votres...il faut leur demander !!!
Nous ne descendrons pas dans l'analyse psychanalytique de cette magnificence...elle serait différente pour chacun ! Je me contenterai seulement de vous alerter en précisant que c'est vraiment du très très lourd, digne de "l'ile déserte".
Je voudrais simplement vous inciter a y jetez un oreille favorable ?
Autre forme de spiritualité humaniste qui nait probablement de la précédente et qui prend son envol.
Bien cordialement et a bientot
Helvet...
Je poursuis donc le survol de mes écoutes de cet été, nous passons au classique et puis dans quelques temps au Jazz.
Classique :
GRIEG Danses symphonic 2 et les suites, Sir Thomas BEECHAM.
SAINT SAENS Havanaise et Capriccio Sarah CHANG
SCHUBERT Sonate pour arpeggione et piano par Mtislav ROSTROPOVITCH et Benjamin BRITTEN ainsi que le trio opus 100 par STERN, ISTOMIN, ROSE.
MOZART Sérénade GRAN PARTITA par Frans BRUGGEN.
KETELBEY Albert In a monastery garden. (pièces d'inspiration classique mais bien plus récentes : 1875/1959)
Avec une certaine lenteur nous changeons de monde et encore plus progressivement de langage.
Ce n'est plus la commande du Prince qui régit la création, le compositeur quitte la fonction de serviteur.
Bien sur prendre son autonomie implique de garder des moyens de subsistance et pour un compositeur l'obligation de la vente et du concert se profile.
Et ils ont énormément peiné et bien longtemps mais ce n'est pas très étonnant, il n'y avait que peu de public, il fallait le sortir de l'église.
Mais même aujourd'hui les artistes ont du mal, au moins pour certains...alors pour eux...
Donc l'on trouve chez Mozart Beethoven Schubert des moments de difficultés et quelques commandes véritablement bienvenues.
Pour Beethoven, l'aristocratie de l'époque s'est regroupée à plusieurs pour lui verser une rente !!!
Enfin cela bouge quand même, et par exemple l'extension de l'orchestre se confirme, les symphonies de 20 mn chez Mozart passent à 40mn et plus chez Beethoven et Schubert.
Toutes ces pièces dont je vous ai mis le titre sont vraiment des moments de grace absolue, très connues certes, mais ce n'est pas pour rien.
Tout de même un peu en dehors des grandes oeuvres mondialement connues. Elles n'en recèlent pas moins des trésors de beautés indicibles.
Il devient évident que nous ne sommes plus du tout dans l'illustration d'un texte mais de plus en plus sur des expressions personnelles de haut niveau d'intériorité offertes en partage, difficultés et rève de monde meilleur, combat pour le bonheur, fraternité active et espoirs de paradis, solitude désespérée et communication par l'amour ou l'empathie. Bien d'autres types d'émotions également
Bon, je vous laisse écouter et vous mettrez par vous-même vos appréciations si vous décidez d'y faire un tour, quand bien même vous ne vous interesseriez qu'à l'aspect beauté ou à celui "j'aime ou j'aime pas" !,
impossible de ne pas ressentir la profondeur de ces musiques et la variété stupéfiante des mélodies et des trouvailles de leurs orchestrations.
GRIEG est une surprise dans la gestion des nappes orchestrales et sa subtilité des variations d'atmosphère, SAINT SAENS, est un vrai mélodiste et son orchestration me rappelle quelques fois une influence Wagnérienne, SCHUBERT, oui, incontournable une inspiration exceptionnelle je le mettrais comme le meilleur des mélodistes, en pertpétuel renouvellement, MOZART n'est plus a présenter, un des plus grand génie de tous les temps.
KETELBEY, ne joue pas dans la même cour mais bien agréable et belle fraicheur d'inspiration.
Tout cela n'étant qu'issu de mes oreilles, pour les votres...il faut leur demander !!!
Nous ne descendrons pas dans l'analyse psychanalytique de cette magnificence...elle serait différente pour chacun ! Je me contenterai seulement de vous alerter en précisant que c'est vraiment du très très lourd, digne de "l'ile déserte".
Je voudrais simplement vous inciter a y jetez un oreille favorable ?
Autre forme de spiritualité humaniste qui nait probablement de la précédente et qui prend son envol.
Bien cordialement et a bientot
Helvet...
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Helvet,helvet a écrit :Syber,
Résignation ou sagesse ?
Syber le pragmatique ?
C'est plus du pragmatisme que de la résignation, en tout cas !
En fait, j'ai horreur de me poser des problèmes que je sais ne pas pouvoir résoudre. Ça fatigue mon petit cerveau
Pour ma part, ce que j'aime, c'est le Jazz Bop et Hard Bop des années 1960. Cette musique ne se fait plus de nos jours. Et le courant NeoBop actuel ne me plait pas car je trouve que les musiciens de ce mouvement ressassent un ancien courant musical sans rien apporter : Pas assez créatif pour moi et ils ne me disent rien sur le monde dans lequel je vis.
Donc : je trouve mon bonheur en achetant des CD de VIEUX albums Bop et Hard Bop des années 1960 et en farfouillant sur le Net pour me tenir au courant des courants musicaux ACTUELS susceptibles de m'intéresser.
Et tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes.
Mébon, nous avons déjà eu à plusieurs reprises la même conversation !
Syber,
Oh oui à plusieurs reprises mais c'est sympa !!!
Par contre je sais pour la même raison que tu t'en arranges suffisemment bien pour être le plus heureux possible.
De plus je te le souhaite...alors
Pour le Jazz, je ferai un petit CR, probablement bien plus court que les deux derniers. Je ne donne pas plus de précision quant à la période et au style, je n'y suis pas assez compétent.
Je crois et tu le sais, que au départ le JAZZ avait exactement le même ROLE que la musique classique et romantique : parler de la vie des hommes autrement qu'avec des mots.
Seulement c'était dans une autre population, dans une autre culture, toute neuve, toute jeune avec un brassage d'ethnie incroyable, en provenance de couches sociales européennes qui n'avaient rien a voir avec la culture de ceux qui étaient restés. De plus l'esclavage a augmenté le brassage culturel... Bref, tu connais la suite bien mieux que moi.................................................
OK
Bien cordialement
Helvet...
Oh oui à plusieurs reprises mais c'est sympa !!!
Pour te connaitre je sais bien que c'est une phrase toute faite, nous ne sommes pas dans le meilleur des mondes, mais seulement dans le notre.Et tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes.
Par contre je sais pour la même raison que tu t'en arranges suffisemment bien pour être le plus heureux possible.
De plus je te le souhaite...alors
Pour le Jazz, je ferai un petit CR, probablement bien plus court que les deux derniers. Je ne donne pas plus de précision quant à la période et au style, je n'y suis pas assez compétent.
Je crois et tu le sais, que au départ le JAZZ avait exactement le même ROLE que la musique classique et romantique : parler de la vie des hommes autrement qu'avec des mots.
Seulement c'était dans une autre population, dans une autre culture, toute neuve, toute jeune avec un brassage d'ethnie incroyable, en provenance de couches sociales européennes qui n'avaient rien a voir avec la culture de ceux qui étaient restés. De plus l'esclavage a augmenté le brassage culturel... Bref, tu connais la suite bien mieux que moi.................................................
OK
Bien cordialement
Helvet...
Modifié en dernier par helvet le mar. 07 oct. 2008 10:06, modifié 3 fois.
helvet a écrit :Je crois et tu le sais, que au départ le BLUES avait exactement le même ROLE que la musique classique et romantique : parler de la vie des hommes autrement qu'avec des mots.
Seulement c'était dans une autre population, dans une autre culture, toute neuve, toute jeune avec un brassage d'ethnie incroyable, en provenance de couches sociales européennes qui n'avaient rien a voir avec la culture de ceux qui étaient restés. De plus l'esclavage a augmenté le brassage culturel... Bref, tu connais la suite bien mieux que moi.................................................
OK
Bien cordialement
Helvet...
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- Localisation : VITRE dans le Trois Cinq en Bretagne, yoh !
Je suis à la recherche d'une version "de référence" de la Symphonie du nouveau monde" d'Antonin Dvorak (j'arrive pas à trouver les accents).
J'en dispose de deux versions :
Arturo TOSCANINI et Bruno WALTER columbia symphony orchestra
http://www.amazon.fr/Dvor%C3%A1k-Symhon ... 118&sr=1-6
La Walter est "honnête", la Toscanini brillante ( Syber ) et j'en cherche plus récente...
Je viens de me commander :
http://www.amazon.fr/Dvorak-Symphonies- ... 480&sr=1-2
Karajan c'est forcément bien...
Alors, d'autres ?
J'en dispose de deux versions :
Arturo TOSCANINI et Bruno WALTER columbia symphony orchestra
http://www.amazon.fr/Dvor%C3%A1k-Symhon ... 118&sr=1-6
La Walter est "honnête", la Toscanini brillante ( Syber ) et j'en cherche plus récente...
Je viens de me commander :
http://www.amazon.fr/Dvorak-Symphonies- ... 480&sr=1-2
Karajan c'est forcément bien...
Alors, d'autres ?
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- Localisation : Hauts de Seine
Salut Sergail,
J'ai la version de Toscanini, comme tu le sais.
Je possède également celle de Fritz Reiner chez RCA Living Stereo que je qualifierai de vivifiante dans mon souvenir, et celle de Karel Ancerl chez Supraphon, plus âpre et cinglante, bien loin de l'idée d'un Hiawatha gambadant dans la prairie. Cette dernière version m'a marqué.
Une autre version semble attirer les suffrages, celle de Ferenc Fricsay, proche dans l'esprit de celle de Karel Ancerl ; mais je ne la possède pas.
J'ai la version de Toscanini, comme tu le sais.
Je possède également celle de Fritz Reiner chez RCA Living Stereo que je qualifierai de vivifiante dans mon souvenir, et celle de Karel Ancerl chez Supraphon, plus âpre et cinglante, bien loin de l'idée d'un Hiawatha gambadant dans la prairie. Cette dernière version m'a marqué.
Une autre version semble attirer les suffrages, celle de Ferenc Fricsay, proche dans l'esprit de celle de Karel Ancerl ; mais je ne la possède pas.
Bonsoir à tous,
Je reviens sur mes CD de l'été mais en Jazz cette fois.
Benny Carter : le roi de la balade...
1)JAZZ GIANT en fait un retour de mémoire parce que enfoui dans dans les étagères, mais pour moi un vrai bonheur, c'est le Jazz qui me convient, très bel enregistrement à mon sens. Enregistré en 1957, donc correspondant à une période...BE BOP ? au secours SYBER.
2) Sax à la Carter, superbe, enregistré en 1960, du vrai du solide tonal, mélodique, créatif, même époque donc que le précédent mais je ne m'en lasse pas !!!
Ahmad JAMAL
1)It's magic, vrai beau travail qui m'a paru inspiré...mais je décroche assez vite...je m'ennuie...Dommage pour moi parce que tout le monde se régale et moi je reste en rade, je peux l'écouter en entier mais c'est énervant quand même.
Un peu moins Jazz :
Dr.JOHN GRIS gris, ben du coup, quelques éclairs de satisfactions fortes, mais tellement fugaces, que me le remettant aujourd'hui pour m'asurer du bien fondé de mon opinion je ne peux même pas aller au bout d'un morceau, j'ai zappé à 1mn par titre. Pourtant le parti pris "multi ethnique" m'avait attiré à l'achat, que du regret car il me semble que c'est une piste musicale particulièrement enthousiasmante pour moi, et j'y ressents bien le potentiel...
Marylin MONROE :
Ma foi, jazz, hum pas tout, mais une fraicheur, musique anecdotique, un bon moment malgré tout. Certaines prestations sont étonnantes et plaisantes.
The PUPPINI SISTERS :
Même chose une manière désuète, complètement, mais un charme surrané qui fait sourire, mais c'est agréable de sourire, je dirais presque que c'est de la culture générale en musique ?
Encore moins Jazz, mais complétement Variétés :
Le grand orchestre du splendid, les irrésistibles. Bon ben c'est pour rire certes mais c'est bon quand même !!!
Voilà j'en ai terminé avec le retard, je reviens vous voir avec du plus récemment écouté dès que j'ai matière à vous en parler.
Bien cordialement
Helvet...
Je reviens sur mes CD de l'été mais en Jazz cette fois.
Benny Carter : le roi de la balade...
1)JAZZ GIANT en fait un retour de mémoire parce que enfoui dans dans les étagères, mais pour moi un vrai bonheur, c'est le Jazz qui me convient, très bel enregistrement à mon sens. Enregistré en 1957, donc correspondant à une période...BE BOP ? au secours SYBER.
2) Sax à la Carter, superbe, enregistré en 1960, du vrai du solide tonal, mélodique, créatif, même époque donc que le précédent mais je ne m'en lasse pas !!!
Ahmad JAMAL
1)It's magic, vrai beau travail qui m'a paru inspiré...mais je décroche assez vite...je m'ennuie...Dommage pour moi parce que tout le monde se régale et moi je reste en rade, je peux l'écouter en entier mais c'est énervant quand même.
Un peu moins Jazz :
Dr.JOHN GRIS gris, ben du coup, quelques éclairs de satisfactions fortes, mais tellement fugaces, que me le remettant aujourd'hui pour m'asurer du bien fondé de mon opinion je ne peux même pas aller au bout d'un morceau, j'ai zappé à 1mn par titre. Pourtant le parti pris "multi ethnique" m'avait attiré à l'achat, que du regret car il me semble que c'est une piste musicale particulièrement enthousiasmante pour moi, et j'y ressents bien le potentiel...
Marylin MONROE :
Ma foi, jazz, hum pas tout, mais une fraicheur, musique anecdotique, un bon moment malgré tout. Certaines prestations sont étonnantes et plaisantes.
The PUPPINI SISTERS :
Même chose une manière désuète, complètement, mais un charme surrané qui fait sourire, mais c'est agréable de sourire, je dirais presque que c'est de la culture générale en musique ?
Encore moins Jazz, mais complétement Variétés :
Le grand orchestre du splendid, les irrésistibles. Bon ben c'est pour rire certes mais c'est bon quand même !!!
Voilà j'en ai terminé avec le retard, je reviens vous voir avec du plus récemment écouté dès que j'ai matière à vous en parler.
Bien cordialement
Helvet...
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Helvet,
Je ne crois pas pour Benny Carter !
Il est plutôt dans la mouvance des Big Band et du Swing, donc avant le Bop. En tout cas à l'origine. Mais heureusement pour lui, il a enregistré des disques après cette période, je ne sais pas si son style a évolué entre temps.
En même temps, la réponse m'est facile connaissant tes goûts.
Je ne crois pas pour Benny Carter !
Il est plutôt dans la mouvance des Big Band et du Swing, donc avant le Bop. En tout cas à l'origine. Mais heureusement pour lui, il a enregistré des disques après cette période, je ne sais pas si son style a évolué entre temps.
En même temps, la réponse m'est facile connaissant tes goûts.
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- Enregistré le : jeu. 01 mai 2008 17:01
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- Intarissable
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- Enregistré le : jeu. 14 sept. 2006 18:46
- Localisation : Hauts de Seine
Je viens de m'écouter :
Album qui doit se trouver dans toutes vos discothèque, j'imagine .
C'est toujours un plaisir d'écouter la rencontre - Ô combien réussie - du maître de l'orchestration du big band et le "patron" de l'improvisation mystique en solo.
En ce moment, j'écoute :
Changement d'univers. On passe aux débuts du Baroque et à la création d'une nouvelle forme d'expression. Le disque est formellement aride (clavecin solo pendant une heure !), mais sous réserve de concentration se révèle d'une grande expressivité. Cette musique est encore empreinte d'une grande pudeur des sentiments. Le livret accompagnant le CD donne quelques indications historiques bien présentées.
Prise de son de très bon niveau. Micros ni trop proches, ni trop éloignés de l'instrument. L'instrument est très bien représenté dans son volume, avec toutefois une très faible profondeur, mais cela est un peu la caractéristique du clavecin.
La réverbération n'est pas trop exagérée et parait naturelle.
A noter que la première moitié du disque est jouée sur un modèle de clavecin Italien et la seconde sur un Français. Et la différence de sonorité entre les deux instruments "saute" littéralement aux oreilles.
Album qui doit se trouver dans toutes vos discothèque, j'imagine .
C'est toujours un plaisir d'écouter la rencontre - Ô combien réussie - du maître de l'orchestration du big band et le "patron" de l'improvisation mystique en solo.
En ce moment, j'écoute :
Changement d'univers. On passe aux débuts du Baroque et à la création d'une nouvelle forme d'expression. Le disque est formellement aride (clavecin solo pendant une heure !), mais sous réserve de concentration se révèle d'une grande expressivité. Cette musique est encore empreinte d'une grande pudeur des sentiments. Le livret accompagnant le CD donne quelques indications historiques bien présentées.
Prise de son de très bon niveau. Micros ni trop proches, ni trop éloignés de l'instrument. L'instrument est très bien représenté dans son volume, avec toutefois une très faible profondeur, mais cela est un peu la caractéristique du clavecin.
La réverbération n'est pas trop exagérée et parait naturelle.
A noter que la première moitié du disque est jouée sur un modèle de clavecin Italien et la seconde sur un Français. Et la différence de sonorité entre les deux instruments "saute" littéralement aux oreilles.