Bonsoir à tous,
Bien que n'écrivant que peu parce que je n'ai pas écouté de quoi vous mettre de CR vraiment conséquent, il n'empèche que la musique tourne tous les jours.
Notament les ouvertures de Offenbach, par Karajan, un véritable feu d'artifice sonore...moi j'adore, dans le genre plein d'idées, jusqu'à la poésie, voire même la satyre bien plus profonde, c'est formidable. Pour faire briller nos systèmes c'est tout indiqué.
Les Planètes de Gustav Holst, de bien belle pages orchestrales aussi, Uranus ? et bien d'autres, du plaisir, rien d'une profondeur abyssale mais du divertissement solide.
Les dernières symphonies de Haydn, les londoniennes par Karajan et Harnoncourt, la pression monte, et il met Beethoven sur la rampe de lancement, c'est déjà plus conséquent, moins divertissant au sens orchestral pur, mais c'est un vrai plaisir de l'invention a savourer.
En Jazz, seulement le travail de Dave Grusin sur West Side Story, que je me suis remis plusieurs fois tant le traitement rythmique est exaltant, et puis alors quel Big Band, je pense que ceux qui étaient à la première écoute des "sphères" en mars 2007 s'en souviennent encore, donc a remettre dans toute les oreilles.
En Jazz aussi, les titres de "Carnets de route" de Aldo Romano dans "Suite Africaine" le 1999, de très belle pages, et puis d'autres aussi sans queue ni tètes, mais ce n'est pas mon domaine et si Maitre Es Jazz Syber passe par ici, et qu'il connait il peut vous en dire plus que moi !
Pour le plus dense, mois de la musique sacrée oblige, le Stabat Mater et le Nisi Dominus de Vivaldi, D'abord par Andras Scholl, puis Jaroussky et ensuite par Rinaldo Alessandrini, une première fois sans les textes et dès la semaine qui vient avec les textes, au mot à mot.
Ce qui me rappelle une demande de Walt Distrait, L'homme aux airbags

sur la musique religieuse, il y a là de quoi y passer quelques semaines, alors si tu veux M'sieur !
J'écoute et je réécoute et je vous en dit plus si j'arrive a tout entendre de ce compositeur. Cela m'a amené à une reflexion sur l'importance comparée de Bach et de Vivaldi, ne serait-il pas possible que nous ayons fait une inversion, c'est Bach qui s'inspire et oh combien de Vivaldi, mais pas du tout l'inverse ! Peut-être doit-on rééquilibrer un peu nos connaissances sur le sujet ?
Voilà, dès que je peux en dire plus, j'arrive !
Bien cordialement à vous tous
Helvet...