Ecoutes du jour, 2006 - 2007 - 2008
Bonsoir à tous,
Oui Alain c'est bien normal, tout est culture et passe par la pédagogie...il est utile de le savoir.
Aujourd'hui, fin des grands concerts d'été avec le BERLINER P.O. et RATTLE, super programme de rhapsodies pour cette année à la WALDBÜHNE 2007.
Rhapsodies :
Espana de Chabrier ;
Sur un thème de Paganini de Rachmaninov ;
La Roumaine N°1 de G. ENESCO ;
Pour Clarinette de DEBUSSY avec Mr FUCHS, (clin d'oeil) 1er clarinette fabuleux du Berliner.
Et pour finir le fameux BERLINER LUFT de Paul lincke, une tradition maintenant comme la marche de Radetzky de Strauss au concert du nouvel an à vienne.
Si vous ne connaissez pas je vous l'envoie en fichier joint sur votre e.mail, (4mo environ) pour s'amuser ? chiche !!! en MP pour l'e.mail, et c'est fait, on peut voir si ça marche, parce que sur le forum on ne peut pas.
Donc superbe programme, 25000 personnes en plein air, ambiance bon enfant et musique non stop, depuis 2003 pas un de raté, il existe des DVD, le Berliner est une entreprise subventionnée à 50% seulement, les chefs sont élus et demandés par les musiciens eux-mêmes, et l'entreprise est bénéficiaire, il n'y a bien que les allemands pour pouvoir faire cela !
En mettant l'audio sur les Kara, ça donne bien mais moins qu'un CD quand même.
Du plaisir et rien que cela avec l'élégance de RATTLE en plus...
Bien cordialement
Helvet...
Oui Alain c'est bien normal, tout est culture et passe par la pédagogie...il est utile de le savoir.
Aujourd'hui, fin des grands concerts d'été avec le BERLINER P.O. et RATTLE, super programme de rhapsodies pour cette année à la WALDBÜHNE 2007.
Rhapsodies :
Espana de Chabrier ;
Sur un thème de Paganini de Rachmaninov ;
La Roumaine N°1 de G. ENESCO ;
Pour Clarinette de DEBUSSY avec Mr FUCHS, (clin d'oeil) 1er clarinette fabuleux du Berliner.
Et pour finir le fameux BERLINER LUFT de Paul lincke, une tradition maintenant comme la marche de Radetzky de Strauss au concert du nouvel an à vienne.
Si vous ne connaissez pas je vous l'envoie en fichier joint sur votre e.mail, (4mo environ) pour s'amuser ? chiche !!! en MP pour l'e.mail, et c'est fait, on peut voir si ça marche, parce que sur le forum on ne peut pas.
Donc superbe programme, 25000 personnes en plein air, ambiance bon enfant et musique non stop, depuis 2003 pas un de raté, il existe des DVD, le Berliner est une entreprise subventionnée à 50% seulement, les chefs sont élus et demandés par les musiciens eux-mêmes, et l'entreprise est bénéficiaire, il n'y a bien que les allemands pour pouvoir faire cela !
En mettant l'audio sur les Kara, ça donne bien mais moins qu'un CD quand même.
Du plaisir et rien que cela avec l'élégance de RATTLE en plus...
Bien cordialement
Helvet...
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Bonjour les gens ;
Triple album live : super sympa

http://www.amazon.fr/Triplex-Thomas-Fer ... 102&sr=1-8
Triple album live : super sympa



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Re-super , très sympa !!!!!!!!!!
Carlos Santana

http://www.amazon.fr/Supernatural-Carlo ... 763&sr=1-1
Carlos Santana

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Florent Pagny : Baryton
Pas super fan de Pagny , mais là je trouve l'exercice reussi ( enfin pour mes z'oreilles )
http://www.amazon.fr/Baryton-Florent-Pa ... 7593&sr=1-

Pas super fan de Pagny , mais là je trouve l'exercice reussi ( enfin pour mes z'oreilles )
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Bonjour les gens ;
Coîncidence ou pas , toujours est-il que j'ai apris aujourd'hui qu'il passait au Francofolies de la Rochelle . Il se fait tellement très , très rare
Ah heureux veinard de la côte
Yves Simon :
http://www.amazon.fr/Intempestives-Yves ... 706&sr=1-4

Coîncidence ou pas , toujours est-il que j'ai apris aujourd'hui qu'il passait au Francofolies de la Rochelle . Il se fait tellement très , très rare


Ah heureux veinard de la côte


Yves Simon :
http://www.amazon.fr/Intempestives-Yves ... 706&sr=1-4

Bonsoir à tous,
Toujours à la peine sur la musique de BRUCKNER, 7, 8, 9ème.
J'avance un peu quand même, déjà je peux dire que pour les amateurs de grands pans diaprés de cuivres solennels, majestueux et d'une grande puissance, c'est presque plus voire plus que chez Wagner !
La coordination des cordes et des cuivres est grandiose, donc pour d'éventuels tests ou curiosités sur la réaction de son système, c'est du tout bon.
Mais c'est pas le tout, pour ce que j'en perçois, je qualifierais cette orchestration comme l'expression d'une piété religieuse monastique convaincue, ce n'est pas rien et pour tout dire excessif, à mon sens.
L'homme disparait derrière la majesté du religieux, musique de célébration, cette 9ème est d'ailleurs dédiée à "Dieu", OUF ! moi j'ai du mal avec cela mais bon... je sais qu'il y a des hommes foncièrement et authentiquement dévots jusquà ce point de désincarnation pour accéder au spirituel absolu, BACH, et maintenant BRUCKNER.
Je dirais même que Bach tient le pari d'être un homme pieux, tandis que Bruckner devient la piété même.
Il n'en reste pas moins que ses oeuvres en tant qu' "objets d'écoutes" sont absolument magnifiques de subtilités créatives, c'est grandiose, de vraies cathédrales sonores, transcendance de l'esprit, l'homme n'est plus de ce monde terrestre.
Bizarrement, alors que l'on pourrait entendre cela comme une régression de l'intellect, aujourd'hui en regard de son époque où c'était plus admis voire courant, moi je verrais bien cette musique comme un fond sonore de voyages intergalactiques interminables de plusieurs années dans les vaisseaux du futur !!!
Cela m'étonne moi-même cette sensation d'intemporalité absolue et d'éternité pour laquelle nous sommes en route, que me suggère cette écoute.
De plus les références à Wagner sont d'une évidence réelle, alors de quel compositeurs sont elles le fait ? Wagner 1813/1883 ; Bruckner 1824/1896.
et ces oeuvres 7 ; 8 ; 9ème 1882/1893, tandis que nous avons l'antériorité Wagnérienne avec Tannhauser 1843/1845 et la tétralogie 1852/1854 et 1ères auditions de 1869 à 1876.
Ce qui me fait conclure que c'est BRUCKNER qui utilise ces réminiscences, et très clairement.
En final, je dirais que je patauge encore et "grave" on verra par la suite, pour conclure sur une excellente note quand même, quel orchestre et quelle orchestration, du jamais entendu, même si l'on ne comprend pas, l'entendre c'est déjà énorme et grandiose. (97 musiciens d'orchestre).
Sans doute progressivement cela deviendra plus clair dans le commentaire, mais il faudra un peu de temps, j'ai du mal avec cette tournure d'esprit au 21 ème siècle. ...???
Bien cordialement
Helvet...
Toujours à la peine sur la musique de BRUCKNER, 7, 8, 9ème.
J'avance un peu quand même, déjà je peux dire que pour les amateurs de grands pans diaprés de cuivres solennels, majestueux et d'une grande puissance, c'est presque plus voire plus que chez Wagner !
La coordination des cordes et des cuivres est grandiose, donc pour d'éventuels tests ou curiosités sur la réaction de son système, c'est du tout bon.
Mais c'est pas le tout, pour ce que j'en perçois, je qualifierais cette orchestration comme l'expression d'une piété religieuse monastique convaincue, ce n'est pas rien et pour tout dire excessif, à mon sens.
L'homme disparait derrière la majesté du religieux, musique de célébration, cette 9ème est d'ailleurs dédiée à "Dieu", OUF ! moi j'ai du mal avec cela mais bon... je sais qu'il y a des hommes foncièrement et authentiquement dévots jusquà ce point de désincarnation pour accéder au spirituel absolu, BACH, et maintenant BRUCKNER.
Je dirais même que Bach tient le pari d'être un homme pieux, tandis que Bruckner devient la piété même.
Il n'en reste pas moins que ses oeuvres en tant qu' "objets d'écoutes" sont absolument magnifiques de subtilités créatives, c'est grandiose, de vraies cathédrales sonores, transcendance de l'esprit, l'homme n'est plus de ce monde terrestre.
Bizarrement, alors que l'on pourrait entendre cela comme une régression de l'intellect, aujourd'hui en regard de son époque où c'était plus admis voire courant, moi je verrais bien cette musique comme un fond sonore de voyages intergalactiques interminables de plusieurs années dans les vaisseaux du futur !!!
Cela m'étonne moi-même cette sensation d'intemporalité absolue et d'éternité pour laquelle nous sommes en route, que me suggère cette écoute.
De plus les références à Wagner sont d'une évidence réelle, alors de quel compositeurs sont elles le fait ? Wagner 1813/1883 ; Bruckner 1824/1896.
et ces oeuvres 7 ; 8 ; 9ème 1882/1893, tandis que nous avons l'antériorité Wagnérienne avec Tannhauser 1843/1845 et la tétralogie 1852/1854 et 1ères auditions de 1869 à 1876.
Ce qui me fait conclure que c'est BRUCKNER qui utilise ces réminiscences, et très clairement.
En final, je dirais que je patauge encore et "grave" on verra par la suite, pour conclure sur une excellente note quand même, quel orchestre et quelle orchestration, du jamais entendu, même si l'on ne comprend pas, l'entendre c'est déjà énorme et grandiose. (97 musiciens d'orchestre).
Sans doute progressivement cela deviendra plus clair dans le commentaire, mais il faudra un peu de temps, j'ai du mal avec cette tournure d'esprit au 21 ème siècle. ...???
Bien cordialement
Helvet...
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Paul Simon ;
C'est frais , et cela fait du bien

http://www.amazon.fr/One-Trick-Pony-Pau ... 88&sr=1-11
C'est frais , et cela fait du bien



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Bonjour ;
Et hop , un petit Neil Young de légende ,

http://www.amazon.fr/Harvest-Neil-Young ... 243&sr=1-4
Et hop , un petit Neil Young de légende ,

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Et dans la série "legende" j'ai nommé Misteeeeeeeeer Jethro Tull , sublime , et que dire de la pochette

http://www.amazon.fr/Stormwatch-Jethro- ... 20&sr=1-12




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Graeme Allwright ;
Sympa et ça mange pas de pain!!!!!!!!!!!

http://www.amazon.fr/Emm%C3%A8ne-moi-Gr ... 216&sr=1-3
Sympa et ça mange pas de pain!!!!!!!!!!!

http://www.amazon.fr/Emm%C3%A8ne-moi-Gr ... 216&sr=1-3
- Crao
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Ca me rappelle mon enfance, mes parents écoutaient çaalain a écrit :Graeme Allwright ;
Sympa et ça mange pas de pain!!!!!!!!!!!
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Bonsoir à tous,
Musiques de divertissement aujourd'hui et ces derniers jours, je vous mets les liens, histoire de désengourdir les kara qui parfois en ont peut-être un peu marre du classique.
J'ai commencé avec la musique du film CHICAGO, Catherine Zetta-Jones et Renée Zellweger, un must de ces musiques de Music-hall dans la pure tradition américaine.
Voila un CD qui peut servir de démo, mais comme tous les morceaux ne sont pas du même niveau, je ne m'autorise pas à le conseiller aussi fort que les 2 précédents....quoique !!!!

http://www.amazon.fr/Chicago-Artistes-D ... 398&sr=1-2
Après j'ai continué avec MANCINI et ses musiques de films particulièrement entrainantes, le Greatest Hits, et le The Best of Henry Mancini.
Même chose que pour le précédent, une pèche infernale, plus élaborée orchestralement, une rythmique bien sentie, que du plaisir.
Encore une fois je n'ose pas les recommander parce que ce sont des morceaux variés, donc cerains ne sont pas particulièrement probants pour les démos, tandis que d'autres oui, mais dans ce cas c'est vous qui voyez. Le premier est mieux dans cet esprit.

http://www.amazon.fr/Mancinis-Greatest- ... 924&sr=1-1

http://www.amazon.fr/Best-Henry-Mancini ... 154&sr=1-1
Ensuite et pour finir un CD des soeurs Katia et Marielle Labèque sur les danses symphoniques de West Side Story de Bernstein, transcrites pour 2 pianos et batteries et percussions.
Belle débauche d'énergie là encore mais toujours de niveau varié, donc, curiosité certes mais sans insister plus pour l'aspect démo, je ne voudrais pas que vous soyez décu d'une recommandation. Moi j'aime bien ....

http://www.amazon.fr/Bernstein-Story-Sy ... 615&sr=1-1
Voila 2 ou 3 jours de musiques bien remplis et ça bouge bien tout ça !
Bien à vous, cordialement
Helvet...
Musiques de divertissement aujourd'hui et ces derniers jours, je vous mets les liens, histoire de désengourdir les kara qui parfois en ont peut-être un peu marre du classique.
J'ai commencé avec la musique du film CHICAGO, Catherine Zetta-Jones et Renée Zellweger, un must de ces musiques de Music-hall dans la pure tradition américaine.
Voila un CD qui peut servir de démo, mais comme tous les morceaux ne sont pas du même niveau, je ne m'autorise pas à le conseiller aussi fort que les 2 précédents....quoique !!!!

http://www.amazon.fr/Chicago-Artistes-D ... 398&sr=1-2
Après j'ai continué avec MANCINI et ses musiques de films particulièrement entrainantes, le Greatest Hits, et le The Best of Henry Mancini.
Même chose que pour le précédent, une pèche infernale, plus élaborée orchestralement, une rythmique bien sentie, que du plaisir.
Encore une fois je n'ose pas les recommander parce que ce sont des morceaux variés, donc cerains ne sont pas particulièrement probants pour les démos, tandis que d'autres oui, mais dans ce cas c'est vous qui voyez. Le premier est mieux dans cet esprit.

http://www.amazon.fr/Mancinis-Greatest- ... 924&sr=1-1

http://www.amazon.fr/Best-Henry-Mancini ... 154&sr=1-1
Ensuite et pour finir un CD des soeurs Katia et Marielle Labèque sur les danses symphoniques de West Side Story de Bernstein, transcrites pour 2 pianos et batteries et percussions.
Belle débauche d'énergie là encore mais toujours de niveau varié, donc, curiosité certes mais sans insister plus pour l'aspect démo, je ne voudrais pas que vous soyez décu d'une recommandation. Moi j'aime bien ....

http://www.amazon.fr/Bernstein-Story-Sy ... 615&sr=1-1
Voila 2 ou 3 jours de musiques bien remplis et ça bouge bien tout ça !
Bien à vous, cordialement
Helvet...
- Crao
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Excellent film, excellente musique.helvet a écrit :J'ai commencé avec la musique du film CHICAGO, Catherine Zetta-Jones et Renée Zellweger, un must de ces musiques de Music-hall dans la pure tradition américaine.
Voila un CD qui peut servir de démo, mais comme tous les morceaux ne sont pas du même niveau, je ne m'autorise pas à le conseiller aussi fort que les 2 précédents....quoique !!!!
http://www.amazon.fr/Chicago-Artistes-D ... 398&sr=1-2
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Bonjour les gens ;
Une petite Véronique Chanson , ch'ai pour le renouveau ;

http://www.amazon.fr/Olympia-2005-Limit ... 78&sr=1-18
Une petite Véronique Chanson , ch'ai pour le renouveau ;

http://www.amazon.fr/Olympia-2005-Limit ... 78&sr=1-18
Bonsoir à tous,
Aujourd'hui première audition de l'ensemble des poèmes symphoniques de Richard STRAUSS, 1864/1949.
J'ai commencé par "Mort et transfiguration", la charge émotionnelle est familière, sans être exceptionnelle, tout ces sentiments ayant déjà été explicités par de nombreux compositeurs depuis Bach, mais c'est tout de même attachant.
De 1890 à 1915 Neuf poèmes symphoniques, (après il passe aux opéras) nous nous rapprochons de plus en plus de dates qui nous inciteraient a penser que nous entrons dans l'ère de la musique moderne.
Avec Richard Strauss, pas du tout, si, subtilement il se rapproche des limites de la musique tonale et par conséquent de l'utilisation des dissonances, mais nous sommes très loin de Stockhausen quand même, Il s'agirait plutot d'un "rescapé de la période classiquo-romantique".
Déja avec Alban Berg 1885/1935 ; Anton Webern 1883/1945 ; Arnold Schoenberg 1874/1951, nous rentrons dans l'atonalité, le dodécaphonisme et les séries.
Nous avançons doucement, et Richard Strauss est le dernier compositeur de cette lignée, Debussy, Ravel, Fauré, St Saens, ne dépassent pas 1937.
Donc avec Strauss 1949, et puis Stravinsky 1971, si nous comparons la musique de ces deux compositeurs, par exemple, la symphonie alpestre de 1915 de Strauss, et le Sacre du printemps de Stravinsky 1913 et même Pétruchka 1911, la distance musicale est fantastique.
Avec nos trois viennois précédement cités nous allons vers le dodécaphonisme et la musique moderne dont on sait qu'elle ne donnera à peu près rien et qu'elle videra les salles de concerts, en même temps qu'elle révèle son incapacité à porter les émotions humaines ...
Je me demande si les compositeurs des musiques pour le cinéma n'auraient pas compris cela... mais pas les "savants de la musique" qui ne se soucient guère des facultés logarythmiques de l'audition humaine pour repérer la beauté des sons. Enfin Bref !
Ce n'est que mon avis, et chacun peut et doit penser par lui-même !
Tout cela pour vous dire que je vais poursuivre ce cycle d'écoutes et de comparaison entre ces genres différents et vous ferais part des découvertes s'il y en a !
Après je me suis fait un intermède sympa avec la suite New Orléans de Duke Ellington, un régal absolu !
Bien cordialement
Helvet...
Aujourd'hui première audition de l'ensemble des poèmes symphoniques de Richard STRAUSS, 1864/1949.
J'ai commencé par "Mort et transfiguration", la charge émotionnelle est familière, sans être exceptionnelle, tout ces sentiments ayant déjà été explicités par de nombreux compositeurs depuis Bach, mais c'est tout de même attachant.
De 1890 à 1915 Neuf poèmes symphoniques, (après il passe aux opéras) nous nous rapprochons de plus en plus de dates qui nous inciteraient a penser que nous entrons dans l'ère de la musique moderne.
Avec Richard Strauss, pas du tout, si, subtilement il se rapproche des limites de la musique tonale et par conséquent de l'utilisation des dissonances, mais nous sommes très loin de Stockhausen quand même, Il s'agirait plutot d'un "rescapé de la période classiquo-romantique".
Déja avec Alban Berg 1885/1935 ; Anton Webern 1883/1945 ; Arnold Schoenberg 1874/1951, nous rentrons dans l'atonalité, le dodécaphonisme et les séries.
Nous avançons doucement, et Richard Strauss est le dernier compositeur de cette lignée, Debussy, Ravel, Fauré, St Saens, ne dépassent pas 1937.
Donc avec Strauss 1949, et puis Stravinsky 1971, si nous comparons la musique de ces deux compositeurs, par exemple, la symphonie alpestre de 1915 de Strauss, et le Sacre du printemps de Stravinsky 1913 et même Pétruchka 1911, la distance musicale est fantastique.
Avec nos trois viennois précédement cités nous allons vers le dodécaphonisme et la musique moderne dont on sait qu'elle ne donnera à peu près rien et qu'elle videra les salles de concerts, en même temps qu'elle révèle son incapacité à porter les émotions humaines ...
Je me demande si les compositeurs des musiques pour le cinéma n'auraient pas compris cela... mais pas les "savants de la musique" qui ne se soucient guère des facultés logarythmiques de l'audition humaine pour repérer la beauté des sons. Enfin Bref !
Ce n'est que mon avis, et chacun peut et doit penser par lui-même !
Tout cela pour vous dire que je vais poursuivre ce cycle d'écoutes et de comparaison entre ces genres différents et vous ferais part des découvertes s'il y en a !
Après je me suis fait un intermède sympa avec la suite New Orléans de Duke Ellington, un régal absolu !
Bien cordialement
Helvet...
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Bonjour les gens ;
Mon petit intermède à moi ,
Chris Rea : ESPRESSO LOGIC

http://www.amazon.fr/Espresso-Logic-Chr ... 653&sr=1-1
Mon petit intermède à moi ,
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Bonsoir à tous,
Dans la continuité des poèmes symphoniques de Richard Strauss, j'ai mis dans le panier également les suites pour orchestre de Béla Bartok 1881/1945, là encore un langage musical très différent, qui nous propulse de plain pied dans la modernité.
Aujourd'hui, le "Mandarin merveilleux", incontestablement nous avons changé de monde musical par rapport à Strauss, les oreilles s'en trouvent un peu décontenancées.
Il est clair qu'il s'agit bien de musique, construite, pensée, élaborée, structurée, expressive, faisant appel à des réminiscences folkloriques, mais tellement optimisées qu'il y faut une accoutumance.
Je pense que nous sommes à une époque charnière.
Tous les pupitres de l'orchestre sont concernés et se retrouvent sollicités mais c'est vraiment différent, la surprise passée, ma foi c'est plaisant...
Je vous en dirais plus si je réussis à bien me familiariser avec cette "langue nouvelle" ! tout en continuant Strauss !
Bien cordialement
Helvet...
Dans la continuité des poèmes symphoniques de Richard Strauss, j'ai mis dans le panier également les suites pour orchestre de Béla Bartok 1881/1945, là encore un langage musical très différent, qui nous propulse de plain pied dans la modernité.
Aujourd'hui, le "Mandarin merveilleux", incontestablement nous avons changé de monde musical par rapport à Strauss, les oreilles s'en trouvent un peu décontenancées.
Il est clair qu'il s'agit bien de musique, construite, pensée, élaborée, structurée, expressive, faisant appel à des réminiscences folkloriques, mais tellement optimisées qu'il y faut une accoutumance.
Je pense que nous sommes à une époque charnière.
Tous les pupitres de l'orchestre sont concernés et se retrouvent sollicités mais c'est vraiment différent, la surprise passée, ma foi c'est plaisant...
Je vous en dirais plus si je réussis à bien me familiariser avec cette "langue nouvelle" ! tout en continuant Strauss !
Bien cordialement
Helvet...