Les films de gangsters
Posté : ven. 23 mai 2008 13:31
Même si on ne peut que déplorer le fait qu’il donne auprès de gens facilement impressionnables une bonne image des voyous, en les rendant cool, attrayants, et parfois comme étant une voie bien plus intéressante à suivre que celle des honnêtes gens, le film de gangsters n’en reste pas moins un genre, avec quelques œuvres majeures.
Les parrain

Les autres chef d’œuvres de Coppola.
"C’est un film, y’a tout dedans".
On ne présente plus ces films passionnants racontant l’ascension de Michael Corleone. Ici, la maffia est accessoire, c’est avant tout des hommes qui sont présentés.
Le troisième volume, le seul à ne pas avoir reçu d’oscar, est mon préféré, le plus humain.
Le cercle rouge

Melville a toujours fait des films d’hommes, celui-ci est sans doute le plus aboutit.
Delon, Bourvil (dans son dernier rôle) et Montand, une intrigue solide et inexorable.
Aniki mon frère

De Kitano, avec l’envoûtante musique de Joe Hisahishi
Il raconte l’histoire d’un yakuza exilé aux E.U. qui y montera son clan, et la chute de celui-ci. C’est un très bon film, avec une mise en scène parfois étonnante (cadrage, effets, …) plein de sensibilité et de poésie. C’est avant tout l’histoire d’un soldat perdu, qui ne fait que ce qu’il sait faire.
A noter, très bon DTS vo.
Les affranchis / Casino


Scorcèse a ceci de bien qu’il est dissuasif. Il présente le milieu comme ce qu’il est, de simples hommes d’affaires qui tuent pour de l’argent. Derrière la vitrine brillante, il n’y a pas d’amis, chacun risque une balle parfois pour rien au détour d’un verre entre copains.
La mise en scène est magnifique (surtout pour Casino), fourmillant d’idées et d’inventions.
J’aurais du rajouter Mean Streets, mais j’ai moyennement accroché. Il faut que je le revoie.
L’impasse

Une histoire de rédemption. Al Pacino prisonnier de son milieu tente de s’en sortir et lutte seul contre tous.
Excellente prestation de Sean Penn, un grand De Palma. La scène finale est vraiment inspirée et prenante.
King of New York

Autre histoire de rédemption avec Christopher Walken. Grand chef maffieux qui veut maintenant faire de grandes choses. Point de vue un peu trop manichéen, mais histoire prenante. A noter l’apparition de jeunes acteurs pas trop connus à l’époque : David Caruso, Laurence Fishburns et Wesley Snipes.
Les parrain

Les autres chef d’œuvres de Coppola.
"C’est un film, y’a tout dedans".
On ne présente plus ces films passionnants racontant l’ascension de Michael Corleone. Ici, la maffia est accessoire, c’est avant tout des hommes qui sont présentés.
Le troisième volume, le seul à ne pas avoir reçu d’oscar, est mon préféré, le plus humain.
Le cercle rouge

Melville a toujours fait des films d’hommes, celui-ci est sans doute le plus aboutit.
Delon, Bourvil (dans son dernier rôle) et Montand, une intrigue solide et inexorable.
Aniki mon frère

De Kitano, avec l’envoûtante musique de Joe Hisahishi
Il raconte l’histoire d’un yakuza exilé aux E.U. qui y montera son clan, et la chute de celui-ci. C’est un très bon film, avec une mise en scène parfois étonnante (cadrage, effets, …) plein de sensibilité et de poésie. C’est avant tout l’histoire d’un soldat perdu, qui ne fait que ce qu’il sait faire.
A noter, très bon DTS vo.
Les affranchis / Casino


Scorcèse a ceci de bien qu’il est dissuasif. Il présente le milieu comme ce qu’il est, de simples hommes d’affaires qui tuent pour de l’argent. Derrière la vitrine brillante, il n’y a pas d’amis, chacun risque une balle parfois pour rien au détour d’un verre entre copains.
La mise en scène est magnifique (surtout pour Casino), fourmillant d’idées et d’inventions.
J’aurais du rajouter Mean Streets, mais j’ai moyennement accroché. Il faut que je le revoie.
L’impasse

Une histoire de rédemption. Al Pacino prisonnier de son milieu tente de s’en sortir et lutte seul contre tous.
Excellente prestation de Sean Penn, un grand De Palma. La scène finale est vraiment inspirée et prenante.
King of New York

Autre histoire de rédemption avec Christopher Walken. Grand chef maffieux qui veut maintenant faire de grandes choses. Point de vue un peu trop manichéen, mais histoire prenante. A noter l’apparition de jeunes acteurs pas trop connus à l’époque : David Caruso, Laurence Fishburns et Wesley Snipes.