Les films que j'dois être le seul à r'garder ...
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Ce sont des DVD produits par Disney, c'est un gage, à-priori, de qualité.
A l'usage, la qualité du son est très bonne et respecte le format stéréo d'origine. L'image est également de très bonne qualité avec parfois quelques tressaillements tout a fait bénins.
Les pistes américaines avec la voix de Clarence Nash ainsi que les traductions d'origine en voix françaises sont disponibles (excepté sur un (ou deux, je ne sais plus) dessins animés du coffret trois, qui ne sont pas disponibles en version française.
Donc dans l'ensemble, c'est du très, très bon travail.
A l'usage, la qualité du son est très bonne et respecte le format stéréo d'origine. L'image est également de très bonne qualité avec parfois quelques tressaillements tout a fait bénins.
Les pistes américaines avec la voix de Clarence Nash ainsi que les traductions d'origine en voix françaises sont disponibles (excepté sur un (ou deux, je ne sais plus) dessins animés du coffret trois, qui ne sont pas disponibles en version française.
Donc dans l'ensemble, c'est du très, très bon travail.
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Un très bon film au ciné-club, que j'avais déjà vu.
Des pas dans le brouillard - 1955
Avec Stewart Granger et Jean Simmons.
L'histoire se passe sous l'époque victorienne, cadre rigide et donc idéal pour les romans et les films de mœurs. Un avocat - Stewart Granger - se débarrasse de son épouse devenue envahissante en l'empoisonnant progressivement à l'arsenic. La bonne - Jean Simmons - s'en aperçoit et en obtient la preuve ...
Elle va le faire chanter contre non pas de l'argent, mais contre ... des marques d'intérêt.
Un peu trop de marques d'intérêt d'ailleurs ... comment cela va t-il se finir ?
Qu'est-ce que j'aime ce genre de films !
Des pas dans le brouillard - 1955
Avec Stewart Granger et Jean Simmons.
L'histoire se passe sous l'époque victorienne, cadre rigide et donc idéal pour les romans et les films de mœurs. Un avocat - Stewart Granger - se débarrasse de son épouse devenue envahissante en l'empoisonnant progressivement à l'arsenic. La bonne - Jean Simmons - s'en aperçoit et en obtient la preuve ...
Elle va le faire chanter contre non pas de l'argent, mais contre ... des marques d'intérêt.
Un peu trop de marques d'intérêt d'ailleurs ... comment cela va t-il se finir ?
Qu'est-ce que j'aime ce genre de films !
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Ces Messieurs Dames de Pietro Germi ( Signore & Signori en VO ). Palme d'or du Festival de Cannes en 1966, ex-aequo avec un "Homme et une Femme" de Claude Lelouch.
Une comédie de mœurs ou la bourgeoisie italienne de l'époque (de l'époque seulement ? ) en prend pour son grade. Pas un, pas une, n'est irréprochable. Même Virna Lisi ... qui est pourtant si jolie !
Le film n'a pas trop vieilli. Une bonne soirée de cinéma.
Une comédie de mœurs ou la bourgeoisie italienne de l'époque (de l'époque seulement ? ) en prend pour son grade. Pas un, pas une, n'est irréprochable. Même Virna Lisi ... qui est pourtant si jolie !
Le film n'a pas trop vieilli. Une bonne soirée de cinéma.
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Le monstre vient de la mer - 1955
Un des premiers films de la série des monstres nés de la folie des hommes et de leurs expériences radioactives. Une première demi-heure très réussie, basée sur l'ellipse - on ne voit pas le monstre, mais uniquement l'effets de ses actions - , suivie d'une histoire d'amour un peu confuse et peu passionnante pour cette raison, et un final réussi grâce au monstre crée par Ray Harryhausen et à son talent d'animation, où le monstre s'attaque à une ville américaine, semant la terreur sur son passage.
Une très bonne série B de l'époque !
Un des premiers films de la série des monstres nés de la folie des hommes et de leurs expériences radioactives. Une première demi-heure très réussie, basée sur l'ellipse - on ne voit pas le monstre, mais uniquement l'effets de ses actions - , suivie d'une histoire d'amour un peu confuse et peu passionnante pour cette raison, et un final réussi grâce au monstre crée par Ray Harryhausen et à son talent d'animation, où le monstre s'attaque à une ville américaine, semant la terreur sur son passage.
Une très bonne série B de l'époque !
Re:
syber a écrit :L'excellent Sherlock Holmes dans Le Chien des Baskerville !Sergail a écrit :... Peter CUSHING...
Oh lala Syber, tu oses dire que tu es le seul à regarder ça !
Certainement un de mes polars préféré (et Conan Doyle de manière générale), l'adaptation du chien des Baskerville est ici une résussite complète !
+1
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Re: Les films que j'dois être le seul à r'garder ...
Et cuilà, et cuilà que j'ai revu récemment !
Attack of the 50 foot woman - 1958
Une riche et belle femme trompée par son gigolo de mari. Le gigolo s'est entiché d'une nana quelconque. Ils fomentent le projet de la faire disparaitre pour toucher le magot. Ils l'empoisonnent et ... un alien géant s'en mêle et la femme se met à grandir, grandir, grandir sous l'effet du poison !
Normal, non ?
Ce qui va permettre à la richissime nana de se venger de façon particulièrement destructrice !
Je n'arrive toujours pas à savoir si ce film représente le comble du machisme ou si il annonce les prémices du féminisme !
PS : Inutile de dire que la promesse des effets spéciaux que laisse supposer l'affiche, n'est pas tenue compte tenu des moyens technique de l'époque et du budget de cette série B.
Attack of the 50 foot woman - 1958
Une riche et belle femme trompée par son gigolo de mari. Le gigolo s'est entiché d'une nana quelconque. Ils fomentent le projet de la faire disparaitre pour toucher le magot. Ils l'empoisonnent et ... un alien géant s'en mêle et la femme se met à grandir, grandir, grandir sous l'effet du poison !
Normal, non ?
Ce qui va permettre à la richissime nana de se venger de façon particulièrement destructrice !
Je n'arrive toujours pas à savoir si ce film représente le comble du machisme ou si il annonce les prémices du féminisme !
PS : Inutile de dire que la promesse des effets spéciaux que laisse supposer l'affiche, n'est pas tenue compte tenu des moyens technique de l'époque et du budget de cette série B.
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Re: Les films que j'dois être le seul à r'garder ...
Un autre film à l'érotisme discret :
Un million d'années avant J.C
Vous noterez qu'à cette échelle de temps, ce pourrait être Jacques Chirac ou Jeanne Calment. Mais je sais qu'on ne vous la fait pas et le titre anglais (One Million Years B.C.) ne laisse aucune équivoque possible.
Il s'agit d'un film britannique de 1966 dont le scénario a inspiré très directement Jean-Jacques Annaud pour sa Guerre du Feu : l'histoire d'un type habillé en peaux de bête et parlant très mal l'anglais qui se fait exclure de sa tribu mais pas pour ces raisons. Après une traversée du désert à la fois morale et réelle, il rencontre une autre tribu dont le niveau de connaissance est supérieur à la sienne d'origine. Afin de guider le spectateur dans le dédale de ce scénario Bunuellien, la première tribu est composée uniquement de bruns et la seconde tribu est composée uniquement de blonds.
Ce point est véridique et est lourd de sens, je trouve ! Mébon ... 1966 !
Une photo du moment où le brun passe pour un c.. auprès du blond qui lui apprend à se servir d'une lance.
Alors pour se venger d'avoir été véxé, le brun pique la meuf du blond. Et la meuf c'est Raquel Welsch ... j'y reviendrai car c'est bien là un des intérêt du film (là je sens que les plus de soixante ans se réveillent de leur torpeur et versent une larme de Gin dans leur camomille pendant que Madame à le dos tourné).
Sinon, entre temps, il prend la peine de tuer quelques dinosaures qui entravaient sa quête vers la connaissance de soi. Puis il revient conquérant dans sa tribu avec Raquel Welsch et ... une lance : deux motifs de jalousie supplémentaires de la part de ses ex-corréligionnaires. Mais il va te me les mater vite fait ces grincheux, devenir leur chef et augurer d'un avenir radieux en leur apprenant à fabriquer ... des lances. C'est cool non ?
Les effets spéciaux sont de Ray Harryhausen ; je parlerai sans doute prochainement de ses autres films.
Sinon, je voulais vous dire un truc, mais quoi déjà ...
Ah oui Raquel Welsch ! Dans le rôle de Lucy ! Comment dire ? Une photo peut-être ?
Elles sont mignonnes les cro-magnonnes, hein ? Non seulement une simple peau de bête habille cette femme, mais en gros plan elle est maquillée comme pour une soirée de gala et ... elle a des faux cils de 2 cm de long .
Vive la préhistoire vu d'Hollywood !
Un million d'années avant J.C
Vous noterez qu'à cette échelle de temps, ce pourrait être Jacques Chirac ou Jeanne Calment. Mais je sais qu'on ne vous la fait pas et le titre anglais (One Million Years B.C.) ne laisse aucune équivoque possible.
Il s'agit d'un film britannique de 1966 dont le scénario a inspiré très directement Jean-Jacques Annaud pour sa Guerre du Feu : l'histoire d'un type habillé en peaux de bête et parlant très mal l'anglais qui se fait exclure de sa tribu mais pas pour ces raisons. Après une traversée du désert à la fois morale et réelle, il rencontre une autre tribu dont le niveau de connaissance est supérieur à la sienne d'origine. Afin de guider le spectateur dans le dédale de ce scénario Bunuellien, la première tribu est composée uniquement de bruns et la seconde tribu est composée uniquement de blonds.
Ce point est véridique et est lourd de sens, je trouve ! Mébon ... 1966 !
Une photo du moment où le brun passe pour un c.. auprès du blond qui lui apprend à se servir d'une lance.
Alors pour se venger d'avoir été véxé, le brun pique la meuf du blond. Et la meuf c'est Raquel Welsch ... j'y reviendrai car c'est bien là un des intérêt du film (là je sens que les plus de soixante ans se réveillent de leur torpeur et versent une larme de Gin dans leur camomille pendant que Madame à le dos tourné).
Sinon, entre temps, il prend la peine de tuer quelques dinosaures qui entravaient sa quête vers la connaissance de soi. Puis il revient conquérant dans sa tribu avec Raquel Welsch et ... une lance : deux motifs de jalousie supplémentaires de la part de ses ex-corréligionnaires. Mais il va te me les mater vite fait ces grincheux, devenir leur chef et augurer d'un avenir radieux en leur apprenant à fabriquer ... des lances. C'est cool non ?
Les effets spéciaux sont de Ray Harryhausen ; je parlerai sans doute prochainement de ses autres films.
Sinon, je voulais vous dire un truc, mais quoi déjà ...
Ah oui Raquel Welsch ! Dans le rôle de Lucy ! Comment dire ? Une photo peut-être ?
Elles sont mignonnes les cro-magnonnes, hein ? Non seulement une simple peau de bête habille cette femme, mais en gros plan elle est maquillée comme pour une soirée de gala et ... elle a des faux cils de 2 cm de long .
Vive la préhistoire vu d'Hollywood !
Re: Les films que j'dois être le seul à r'garder ...
vous avez des sacrés films a regarder vous, syber, moi qui te pensais une référence en culture, tu baisses dans ma côte personnelle
ceci dit, bien vu le maquillage
ceci dit, bien vu le maquillage
Re: Les films que j'dois être le seul à r'garder ...
syber a écrit :Un autre film à l'érotisme discret :
Elles sont mignonnes les cro-magnonnes, hein ? Non seulement une simple peau de bête habille cette femme, mais en gros plan elle est maquillée comme pour une soirée de gala et ... elle a des faux cils de 2 cm de long .
Vive la préhistoire vu d'Hollywood !
pauvres bêtes ! on aurait pu leur épargner çà , non ?
bon dimanche
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Re: Les films que j'dois être le seul à r'garder ...
J'ai vu ça ce WE :
Tarzan s'évade, de Richard Thorpe - 1936
Un film qui ferait passer Tintin au Congo pour un manifeste anti-colonialiste !
Bon, tout le monde l'a vu celui-là ! Mais si, vous savez bien ! Les lianes qui sont en fait des trapèzes à peine maquillés, la lutte sous l'eau avec le faux crocodile, l'antilope empaillée qui est sauvée de la noyade, le type qui se fait écarteler entre deux branches d'arbres courbées ... sans que l'on voit une seule image du type en train de se faire écarteler entre les deux branches d'arbres
Et pourtant ça me fait autant vibrer que pas mal d'effets spéciaux modernes en image de synthèse ...
Tarzan s'évade, de Richard Thorpe - 1936
Un film qui ferait passer Tintin au Congo pour un manifeste anti-colonialiste !
Bon, tout le monde l'a vu celui-là ! Mais si, vous savez bien ! Les lianes qui sont en fait des trapèzes à peine maquillés, la lutte sous l'eau avec le faux crocodile, l'antilope empaillée qui est sauvée de la noyade, le type qui se fait écarteler entre deux branches d'arbres courbées ... sans que l'on voit une seule image du type en train de se faire écarteler entre les deux branches d'arbres
Et pourtant ça me fait autant vibrer que pas mal d'effets spéciaux modernes en image de synthèse ...
Re: Les films que j'dois être le seul à r'garder ...
De celui-là, je ne me souviens que de la scène de l'écartèlement entre les deux arbres.
Et en ce qui concerne les combats avec des croco en plastoc, Crocodile Dundee s'en sort pas mal aussi
Et en ce qui concerne les combats avec des croco en plastoc, Crocodile Dundee s'en sort pas mal aussi
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Re: Les films que j'dois être le seul à r'garder ...
Un petit détour par le cinéma français avec ce film vu hier soir :
Tartarin de Tarascon, dans sa version de 1934 avec l'immense RAIMU. Le scénario et les dialogues sont de Marcel Pagnol.
L'histoire d'un hâbleur, mythomane, qui à force de raconter ses chasses au lion imaginaires se voit contraint par son auditoire de prendre le bateau pour se rendre en Afrique et effectivement ramener un trophée de chasse. De quiproquos en escroqueries lamentables dont il sera la victime, il finira par abattre un ... lion dressé et ... reviendra de façon bien involontaire en héros dans sa ville !
Raimu est magnifique dans ce rôle de héros dérisoire.
Tartarin de Tarascon, dans sa version de 1934 avec l'immense RAIMU. Le scénario et les dialogues sont de Marcel Pagnol.
L'histoire d'un hâbleur, mythomane, qui à force de raconter ses chasses au lion imaginaires se voit contraint par son auditoire de prendre le bateau pour se rendre en Afrique et effectivement ramener un trophée de chasse. De quiproquos en escroqueries lamentables dont il sera la victime, il finira par abattre un ... lion dressé et ... reviendra de façon bien involontaire en héros dans sa ville !
Raimu est magnifique dans ce rôle de héros dérisoire.
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Re: Les films que j'dois être le seul à r'garder ...
Le Monstre des Temps Perdus (1953), de Eugène Lourié
Au nord du cercle polaire arctique, une base secrète a été installée pour y réaliser des essais nucléaires. Une expédition hautement scientifique dirigée par le Professeur Tom Nesbitt et le Colonel Jack Evans s’est rendue sur les lieux. Lorsqu’une bombe atomique est lâchée au-dessus du pôle, des conséquences imprévues surviennent; un monstre préhistorique endormi depuis plus de 100 millions d’années se réveille.
Et comme de bien entendu, il ne faut jamais réveiller la bête qui dors car elle ne va pas être contente du tout et provoquer de lourds dégats ...
Mais bien évidemment (message subliminal du film ?), si ce sont les expériences nucléaires qui ont réveillé la bête, c'est également "l'atome" qui permettra de s'en débarrasser, grâce à l'envoi au fusil d'une grenade contenant du métal irradié.
A noter : le tireur s'appelle Lee Van Cleef, la Brute dans le Bon, La Brute et le Truand et également le héros de la série des Sabata.
Au nord du cercle polaire arctique, une base secrète a été installée pour y réaliser des essais nucléaires. Une expédition hautement scientifique dirigée par le Professeur Tom Nesbitt et le Colonel Jack Evans s’est rendue sur les lieux. Lorsqu’une bombe atomique est lâchée au-dessus du pôle, des conséquences imprévues surviennent; un monstre préhistorique endormi depuis plus de 100 millions d’années se réveille.
Et comme de bien entendu, il ne faut jamais réveiller la bête qui dors car elle ne va pas être contente du tout et provoquer de lourds dégats ...
Mais bien évidemment (message subliminal du film ?), si ce sont les expériences nucléaires qui ont réveillé la bête, c'est également "l'atome" qui permettra de s'en débarrasser, grâce à l'envoi au fusil d'une grenade contenant du métal irradié.
A noter : le tireur s'appelle Lee Van Cleef, la Brute dans le Bon, La Brute et le Truand et également le héros de la série des Sabata.