
Junju : son premier album en 2006, que je ne connais pas.

Esperanza, son deuxième album sorti en 2008, porte bien son nom : sa musique brille et communique joie de vivre et gaité à l'auditeur grâce à de fortes influences brésiliennes et caribéennes. Esperanza chante en anglais, portugais et espagnol.

Chamber music society, sorti en 2010, est très différent du précédent. Il offre une musique intimiste et plutôt mélancolique, utilisant notamment des instruments classiques à cordes (violon, violoncelle, alto) et la vocalise. Au passage, on remarquera la superbe reprise de Wild is the Wind de Ned Washington et Dimitri Tiomkin.

Nouveau changement de programme en 2012 avec le quatrième album, Radio Music Society. Ici ce ne sont pas moins les swing bigs bands, le jazz funk/rock d'Herbie Hancock et Miles Davis, le free/ethno Jazz de Pharoah Sanders, le R'n'B et la Soul Music qui ont été convoqués, mélangés et liés par cette étonnante musicienne.
Si Esperenza Spalding poursuit sur ce rythme, le cinquième album ne devrait plus tarder. A suivre !