De l'orgue

Musique classique sous tous supports
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franki
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De l'orgue

Message par franki »

Je m'adresse aux spécialistes de la musique dite "classique". Si vous deviez me conseiller un CD d'orgue (exemple dans une cathédrale) qui ferait vibrer mes Cabasses, lequel serait-ce ? :-D
merci d'avance

vxl
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Message par vxl »

Si le but est de faire vibrer tes Cabasse :-D :

http://www.acchos.org/store_cd.php#audorg

Dans ce CD tu as du 60hz, du 30 hz, du 16... et même du 8hz :-D
Le plus dur est de trouver le CD en question.

peter77
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Message par peter77 »

voila un très bon classique avec de l'orgue

TOCCATA&FUGUE BWV 565 Deutsche Grammophon 427 668-2
Simon Preston

nowell
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Message par nowell »

Si je puis me permettre: les grandes toccatas par Marie claire Alain.
Alors elle ne paye pas de mine la nana, mais elle est considérée comme une des plus grandes virtuoses d'orgue au monde.
2dité chez erato, incontrounable.

Le cd a été enregistré sur les grandes orgues de l'église Saint sulpice de Paris. C'est un Orgue Cavaillet Coll, plus grand orgue de France, avec des tuyaux au mieux de 16 pieds, voire 32 ( à vérifier ). Il dévoile tout son coffre sur ces magnifiques toccatas toutes plus enlevées les unes que les autres.

UN régal

http://musique.fnac.com/a1113800/Jean-S ... s-CD-album

Certainement une des meilleures prestations des oeuvres présentes dont la très célèbrissime BWV 565 de Bach.

michel_91
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Message par michel_91 »

Si vous désirez quelque chose de spectaculaire toccata de la 5eme symphonie de Charles Marie Widor.

http://www.youtube.com/watch?v=zIhgutjHOmU

Quant à la musique d'orgue de JS Bach plus grand compositeur d'orgue de tout les temps allez voir du côté de andré Isoir

l'orgue est avant tout un instrument soliste ne faite pas l'erreur de le prendre pour un orchestre.

michel_91
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Message par michel_91 »

Pour information:
Au risque de décevoir la toccata et fugue en ré mineur BWV 565 a été attribuée par erreur à JS Bach mais est l'oeuvre d'un de ces copiste Johann Peter Kellner.

sullivan
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Message par sullivan »

Une autre solution pour ceux qui ont de la place : http://annonces.ebay.fr/viewad/orgue-li ... 5001588287

michel_91
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Message par michel_91 »


sullivan
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Message par sullivan »

De quel orgue s'agit il ?

michel_91
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Message par michel_91 »

Bonjour

Cette orgue ce trouve dans l'eglise de Pontaumur dans les Combrailles à 30 Km environ à l'ouest de Clermont-Ferrand.

Unique réplique de l'orgue d'Arnstadt en Thuringe(Allemagne) le 1er orgue de Jean-Sébastien Bach dont il fut le 1er titulaire de 1703 à1707,à l'âge de 18 ans.

Il a été construit à l'atelier de François Delhumeau, facteur d'orgue à la Chassagne, près d'Aubusson(Creuse) et harmonisé par Berndt Kuhnel spécialiste de l'harmonisation des orgues historiques d'Allemagne.

Il est accordé au "Chorton"(La à 465Hz)soit un demi ton plus haut que le diapason actuel.

Il à été inauguré par l'actuel titulaire de l'orgue d'Arnstadt Gottfried Preller et Marie Claire Alain.

Tout les ans, Deuxième semaine du moi août Festival des Combrailles
avec Gilles Cantagrel, musicologue, écrivain.

http://www.bachencombrailles.com/

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franki
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Message par franki »

Merci, pour vos conseils et précieux renseignements :-D

joe295
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Re: De l'orgue

Message par joe295 »

franki a écrit :Je m'adresse aux spécialistes de la musique dite "classique". Si vous deviez me conseiller un CD d'orgue (exemple dans une cathédrale) qui ferait vibrer mes Cabasses, lequel serait-ce ? :-D
merci d'avance
Bonjour,

Un ecxellent enregistrement et une belle interprétation : Les 4 Toccatas et Fugues Fantaisies et Fugue en sol mineur Orgue Grenzig de St Cyprien en Périgord Editions Calliope ; CD n° CAL9718 ou CAL 3318 : Ce sont les mêmes enregistrements (1993)

Fantastique ! A posséder impérativement à moins de ne pas aimer Bach !

Bonne année

Un commentaire de ce disque que je partage : http://audiophilemelomane.free.fr/html/ ... que30.html

clodomire
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Re: De l'orgue

Message par clodomire »

Bonsoir,

Plutôt que mêler sans rime ni raison les différentes écoles d'orgue, je vous propose de vous intéresser à l'orgue classique français, c'est-à-dire en gros sur la période 1650 / 1790.

La littérature française de cette époque présente au moins deux caractéristiques très spécifiques : d'une part, elle est relativement réduite car les organistes français, même s''ils restaient souvent attachés à une paroisse pendant de nombreuses années, parfois toute leur vie, et à ce titre jouaient plusieurs fois par jour lors des offices, étaient maîtres dans un art particulièrement élevé : l'improvisation. Pour se faire connaitre, l'usage voulait qu'un jeune musicien donne à l'impression un Livre d'orgue ; le reste de son existence, la plupart improvisaient sans laisser de trace écrite. D'autre part, à l'inverse des organistes allemands par exemple, les Français développèrent tôt un art particulier, très codifié, qui s'appuie sur la composition et les caractéristiques sonores, assez rigidement définies, de leurs instruments, à tel point que dès la fin du XVIIe siècle les pièces des Livres d'orgue sont désignées non par leur forme musicale mais par le mélange utilisé : ainsi des fugues, que les Français n'apprécient que sur les jeux d'anches, des récits de tierce en taille ou de voix humaine, des basses de trompette, des dialogues sur les jeux d'anches, des grands pleins-jeux, qui se jouent avec une anche de pédale pour battre le plein-jeu, des duos ou trios pour le cornet et le cromorne... Ils n'indiquent donc jamais des registrations précises, car tout homme de goût évidemment les connait.
La conséquence en est que cet art si éminemment lié à l'instrument est condamné à disparaitre avec lui. A l'inverse des Allemands, dont les compositions plus abstraites, plus conceptuelles, supportent d'être exécutées sur des instruments musicologiquement et historiquement incorrects, celles des Français perdent tout sens, toute beauté, sur des orgues étrangers à leur esthétique : comment traduire la poésie d'un récit de tierce ou d'un dialogue sur les grands jeux si l'organiste ne dispose pas des jeux convenables ?
D'où l'importance de l'instrument lui-même. Dans la liste ci-dessous, vous trouverez donc certaines œuvres en double, parce qu'elles sont interprétées sur 2 ou 3 instruments différents et remarquables, chacun renouvelant l'approche et le plaisir.

- François Roberday : Fugues et caprices à quatre parties, Michel Chapuis, orgue Jullien de St-Jean-Baptiste de Roquemaure, Astrée E 7768. Seule œuvre connue de Roberday ; un contrepoint très savant et archaïque, d'un charme austère et prenant, joué avec sensibilité et une parfaite maitrise sur un orgue remarquable : 14 jeux seulement, et une richesse musicale inépuisable ;
- Lambert Chaumont : Pièces d'orgue, Serge Schoonbroodt, orgue Boizard de St-Michel en Thiérache, Tempéraments TEM 316 015. Liégeois installé dans la Meuse, Chaumont est un prêtre pauvre et un fin musicien qui nous laisse de belles pièces d'un art tout fançais, bien mises en valeur sur le très bel orgue typiquement classique de St-Michel (1714), auquel est consacré l'intéressante collection Tempéraments créée par Radio France ;
- Louis Couperin : L'œuvre d'orgue, Davitt Moroney, orgue de St-Michel en Thiérache, 3 CD Tempéraments TEM 316001-2-3. Louis, oncle de François le Grand, est un météore de l'orgue français. Nous sont parvenues de lui 70 pièces où se mêlent l'inspiration la plus élevée et une maitrise de l'écriture magnifique. Très belle interprétation d'un claveciniste/organiste anglais qui n'a pas la renommée qu'il mérite ;
- Nicolas Lebègue : Pièces d'orgue, Thierry Maeder, orgue Parisot de ND-de-Guibray, Falaise, Pierre Vérany PV796102. Lebègue, né à Maon en 1631, deviendra rapidement l'un des organistes les plus réputés de Paris, fort estimé du roi lui-même. Son influence sera considérable ; il fixe définitivement les canons esthétiques de l'orgue français et ses élèves comptent les plus grands noms de leur temps. Maeder rend bien le mélange de grandeur et d'intimité de son art, sur un bel instrument soigneusement restauré ;
- Jacques Boyvin : Les Livres d'orgue, Aude Heurtematte, orgue F.H. Clicquot de St-Pierre-et-St-Paul de Souvigny, Tempéraments TEM 316004. Parisien, Boyvin s'établit en Normandie où il sera titulaire de l'orgue de la cathédrale de Rouen, illustré par Jehan Titelouze. Son art est typique du XVIIe siècle : concision, pudeur, éloquence sans emphase, grandeur sans pose. Heurtematte restitue avec panache cet art sur le très beau Clicquot de Souvigny ;
- Jean-Adam Guilain : Suites d'orgue pour le Magnificat, André Isoir & Les Demoiselles de Saint-Cyr, St-Michel en Thiérache, Tempéraments. Guilain, de son vrai nom Wilhelm Freinsberg, est un Allemand installé en France dont la vie est très mal documentée. Il compose dans un style typiquement français. Ce CD présente, outre une belle qualité d'interprétation, la restitution de l'alternatim, c'est-à-dire l'alternance dans les versets de l'orgue et d'un chœur ;
- François Couperin : Messe pour les couvents, Messe pour les paroisses, a/ Pierre Bardon, orgue Isnard de la basilique de St-Maximin-en-Provence, 2 CD Pierre Vérany PV785051/052, b/ Bernard Coudurier, orgue Moucherel de la cathédrale Sainte-Cécile d'Albi, 2 CD BNL 112725A/B.
Ces compositions sont parmi les plus célèbres de l'orgue français, et à juste titre. Le tout jeune Couperin publie en 1690, à 22 ans, une somme proprement géniale, que J. S. Bach copiera d'ailleurs avec admiration.
L'interprétation de Pierre Bardon vaut, soyons clair, plus pour l'orgue, fabuleux, que pour le musicien, simplement honorable. L'instrument d'Isnard est l'un des plus extraordinaire qui soit, à la fois par la qualité de sa facture, le raffinement de ses sonorités et l'audace de son plan ; sans rien renier de de la grande tradition, Frère Isnard innove et conçoit un grand 16 pieds de 4 claviers ; les jeux du 3e, baptisé Résonance, sont prévus pour servir également la Pédale, à laquelle ils fournissent une richesse jusqu'alors connue du seul orgue allemand, avec un Cornet V rangs et 5 anches, dont une Bombarde de 16 et trois Trompettes, dont une en chamade.
A Albi, l'interprétation de Coudurier est magnifique, à la fois pour son jeu et pour l'instrument, là aussi exceptionnellement respecté lors de sa restauration par Bartolomeo Formentelli. Il sonne avec une majesté et une gravitas envoutantes dans le vaisseau d'Albi ; en outre, les versets alternent avec de brèves interpolations du plain-chant entonné par la basse-taille Michel Laplénie. Un somptueux coffret, qui offre en généreux complément trois Suites de Guilain.
- Nicolas de Grigny : La Messe & les Hymnes, a/André Isoir respectivement à l'orgue François-Henri Clicquot de la cathédrale Saint-Pierre de Poitiers et Isnard de Saint-Maximin, 2 CDE Calliope 9911 & 9912, b/ B. Coudurier, orgue Moucherel (attribution, très probable) de Cintegabelle, 2 CD BNL 112812 & 112813.
Grigny, c'est sans doute le sommet absolu de l'orgue français, la grandeur et la poésie, la science de l'écriture et l'inspiration, la virtuosité et le naturel. Disparu à 31 ans en 1703, Grigny est à la France ce que Purcell est à l'Angleterre : un génie, incomparable, unique, sans élève, isolé. Son œuvre ne saurait être épuisée par une seule interprétation ; les deux que je sélectionne sont des plus recommandables, à la fois pour la qualité proprement musicale et pour celle des instruments. Coudurier propose, comme pour Couperin, l'alternance des brefs versets du plain-chant et de l'orgue. Ce qui pourrait n'apparaitre que comme une lubie de musicologue soucieux de "reconstitution" a une raison artistique ; en introduisant le ton du verset, le chœur prépare l'auditeur au climat de ce qui va suivre ;
- Louis Marchand : L'œuvre d'orgue, Jean-Baptiste Robin, orgue Clicquot de St-Pierre de Poitiers, Triton TRI 331118. Louis Marchand, maître de Guilain et peut-être de Rameau, fut avant tout un virtuose réputé jusqu'en Allemagne, terre des orgues et des organistes s'il en est. Organiste du roi à la Chapelle royale, il se rend d'ailleurs au cours d'un long voyage européen en Allemagne. Selon une anecdote d'authenticité douteuse, il se serait dérobé à une joute musicale avec J.S. Bach en 1717, à Dresde ;
- F. Couperin/J.K.F. Fisher/Muffat/Marchand/Blow, Gustav Leonhardt, orgue Dom Bedos de Celles/Quoirin de Ste-Croix de Bordeaux, Alpha 017. Ce disque vaut pour l'interprète, peut-être le plus grand claveciniste de notre temps et un extraordinaire musicien, et l'instrument. Le bénédictin Dom Bedos de Celles est resté célèbre pour un remarquable traité de facture d'orgue, qui faisait partie de l'Encyclopédie de d'Alembert et est une des sources les plus sures pour la connaissance de la facture classique française. Presque tous les instruments qu'il a construits ont disparu. L'orgue de Ste-Croix de Bordeaux a une histoire mouvementée ; dire de lui que c'est un Dom Bedos est quelque peu exagéré dans la mesure où une grande partie de la tuyauterie, des sommiers et de la mécanique est de Pascal Quoirin. Toutefois le résultat est somptueux ; Pascal Quoirin a scrupuleusement respecté le plan de Dom Bedos et les directives de son traité. L'instrument sonne avec une ampleur, une majesté, une onctusoité remarquables et Leonhardt, avec des œuvres parfois passablement éloignées de son esthétique, en tire poésie et force. Un témoignage magnifique.

Bonnes écoutes.
Modifié en dernier par clodomire le lun. 01 mars 2010 12:56, modifié 1 fois.

tof
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Re: De l'orgue

Message par tof »

merci pour le récit, c'est intéressant.

joe295
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Re: De l'orgue

Message par joe295 »

Merci pour ces explications enrichissantes, l'orgue est un instrument vraiment superbe et très lié à l'acoustique du lieu, malheureusement difficile de reproduire chez soi :-D

joe295
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Re: De l'orgue

Message par joe295 »

[quote="clodomire"]Bonsoir,


"- Nicolas de Grigny : La Messe & les Hymnes, a/André Isoir respectivement à l'orgue François-Henri Clicquot de la cathédrale Saint-Pierre de Poitiers et Isnard de Saint-Maximin, 2 CDE Calliope 9911 & 9912, b/ B. Coudurier, orgue Moucherel (attribution, très probable) de Cintegabelle, 2 CD BNL 112812 & 112813.
Grigny, c'est sans doute le sommet absolu de l'orgue français, la grandeur et la poésie, la science de l'écriture et l'inspiration, la virtuosité et le naturel. Disparu à 31 ans en 1703, Grigny est à la France ce que Purcell est à l'Angleterre : un génie, incomparable, unique, sans élève, isolé. Son œuvre ne saurait être épuisée par une seule interprétation ; les deux que je sélectionne sont des plus recommandables, à la fois pour la qualité proprement musicale et pour celle des instruments. Coudurier propose, comme pour Couperin, l'alternance des brefs versets du plain-chant et de l'orgue. Ce qui pourrait n'apparaitre que comme une lubie de musicologue soucieux de "reconstitution" a une raison artistique ; en introduisant le ton du verset, le chœur prépare l'auditeur au climat de ce qui va suivre ;"


A priori le double CD de l'intégrale de l'oeuvre pour orgue de N. De Grigny n'est plus en vente... J'ai pu écouter des extraits sur le net et la musique me plaît beaucoup ; je découvre ce compositeur seulement maintenant et qui de plus est naît pas très loin de chez moi ; il n'est jamais trop tard en remarque...
Merci encore pour ce guide des musiques d'orgues...

joe295
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Re: De l'orgue

Message par joe295 »

J'ai acheté le double CD "Premier livre d'Orgue : Messe et hymnes " Nicolas de Grigny interprété par Odile Bailleux sorti récemment ; l'enregistrement est de 1983 mais a été retraité numériquement de façon a éliminé le souffle résiduel, cela est expliqué dans le livret dans la douzaine de ligne consacrées à la prise de son/matériel.

Je n'ai pas tout écouté mais le double CD ne me déçoit pas pour l'instant, on sent de la réverbération mais il n'y a pas de bouillie sonore.

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Re: De l'orgue

Message par orgue65 »

Bonjour à tous,

Cela fait plusieurs jours que je parcourais ce forum, et j'ai enfin décidé de m'inscrire !
Je suis un jeune musicien, passionné par la musique et surtout par l'orgue, car c'est l'instrument que je pratique.
Cela fait une dizaine d'année que je possède une chaîne "Hi-Fi" grand public, et je veux passer à autre chose, et j'ai déjà prévu d'acheter des enceintes Cabasses!

Sinon pour en revenir au sujets de l'orgue :-D
Voici quelques cds que je conseillerais:

- Pour en revenir aux Hymnes de Nicolas de Grigny, il y a un double cd exceptionnel par Olivier Vernet , enregistré sur un orgue classique français historique, paru chez Ligia Digital : http://www.amazon.fr/hymnes-Nicolas-Gri ... 51&sr=8-19

- L'intégrale Bach , toujours par Olivier Vernet: http://www.amazon.fr/LOeuvre-Pour-Orgue ... 105&sr=8-1

- L'intégrale Buxtehude, soit par Olivier Vernet ou par Ton Koopman .

Pour ce qui est de la musique d'orgue symphonique, par exemple Widor, ou encore Vierne , Dupré,
http://www.amazon.com/Louis-Vierne-Comp ... 561&sr=1-2
http://www.amazon.com/Dupr%C3%A9-Organ- ... 686&sr=1-9
http://www.amazon.com/Widor-Syms-Op-13- ... 711&sr=1-1 ( il commence cette intégrale )

Il y aussi l'excellent organiste Daniel Roth qui a enregistré à St Sulpice ( là ou il est titulaire ) ce très beau disque: http://www.amazon.fr/Reubke-Sonate-en-m ... 821&sr=1-4

Voilà déjà quelques disques et de nombreuses heures d'écoutes!!!

joe295
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Re: De l'orgue

Message par joe295 »

Un SACD d'orgue que j'écoute beaucoup depuis quelques temps, que je conseille : UGAB Cintegabelle J-P Rameau par Yves Rechsteiner.

Il y a aussi le SACD "Midnight at Notre Dame" par Olivier Latry ; ce sont des transcriptions à l'orgue d'oeuvres très connues... Le prélude op.3 n°2 de Rachmaninov joué à l'origine au piano est remarquablement transcris à l'orgue... un morceau très sombre.

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